30-04-2022, 14:53
(Modification du message : 30-04-2022, 17:52 par Mr.Grieves.)
Niveau séries, cela a été longtemps la disette cause covid mais ca recommence à tourner correctement (assez pour en avoir 4 ou 5 en rotation). Vite fait mal fait j’ai torché ca à la MT du match.
Peaky Blinder saison finale.
C’était bien, pas fou non plus. Un léger problème de balance entre la partie politique puis la partie gitan qui réapparait, peut-être un peu trop de Tommy ( et un peu trop mastermind du crime qui a toujours un coup d’avance sur les autres) mais ca reste des détails.
C’était bien torché et la musique bute toujours autant.
Winnig time : the rise of the Lakers Dinasty.
Toujours aussi fun. Je pige pas trop la levée de boucliers, c’est écrit en gros du départ, fiction inspiré de faits réels (donc les menace de procès, bof quoi. Surtout que ca synthétise pour les besoins de la fiction, ca surjoue certains évènements ou personnages mais rien de bien méchant non plus…. )
Et pour les puristes, entre ce qu’on sait des Lakers ,de la NBA des 80’s et le fact checking, on a une bonne idée de ce qui s’est passé réellement.
Tokyo Vice.
Michael Mann en producteur, le reflexe de Pavlov, c’est d’y aller immédiatement. C’est assez inégal sur le fond et la forme mais ca se suit (c’est sûr qu’on voit assez vite quand c’est Mann qui est derrière la caméra)
Pachinko.
Meilleur drama de l’année haut la main. Je me garde le final pour la bonne bouche. Apple
Shining girls.
En parlant d’Apple, Elisabeth Moss plus Michelle Mac Laren (grosse pourvoyeuse d’épisodes de Breaking Bad) c’était passage obligé. Deux épisodes pour l’instant, ca se met en place. Ca semble assez basique (une victime avec l’aide d’un collègue journaliste traque son serail killer qui l’a laissé pour morte et éventrée) mais c’est bien plus compliqué que cela. Le serial Killer semble sévir depuis les années 60 ( ?) et surtout la victime depuis l’agression semble refouler son trauma en se plongeant dans plusieurs réalités, ce qui ne facile pas la traque.
Je ne vous surprendrais pas en vous disant qu’Elisabeth Moss est encore une fois magistrale et qu’elle porte le show sur ses épaules.
We own the City
Last but not least, HBO, le retour du tandem David Simon et de l’écrivain Pelecanos (déjà ensemble sur The Wire) à Baltimore, et cette fois ci, après l’angle du trafique de drogue, c’est au tour de la police (et des violences policières) d’en prendre pour son grade.
Sur le pilote, du Simon pur jus, c’est incroyablement documenté, peut-être un peu confus -c’est une mini serie de 8 épisodes donc l’introduction de touts les personnages, de toutes les temporalité (2008 et 2017) et des enquêtes (au moins au nombre de 3 ) pèsent un peu sur la fluidité - mais c’est compensé par une implacable démonstration et une réalisation sèche et efficace.
Peaky Blinder saison finale.
C’était bien, pas fou non plus. Un léger problème de balance entre la partie politique puis la partie gitan qui réapparait, peut-être un peu trop de Tommy ( et un peu trop mastermind du crime qui a toujours un coup d’avance sur les autres) mais ca reste des détails.
C’était bien torché et la musique bute toujours autant.
Winnig time : the rise of the Lakers Dinasty.
Toujours aussi fun. Je pige pas trop la levée de boucliers, c’est écrit en gros du départ, fiction inspiré de faits réels (donc les menace de procès, bof quoi. Surtout que ca synthétise pour les besoins de la fiction, ca surjoue certains évènements ou personnages mais rien de bien méchant non plus…. )
Et pour les puristes, entre ce qu’on sait des Lakers ,de la NBA des 80’s et le fact checking, on a une bonne idée de ce qui s’est passé réellement.
Tokyo Vice.
Michael Mann en producteur, le reflexe de Pavlov, c’est d’y aller immédiatement. C’est assez inégal sur le fond et la forme mais ca se suit (c’est sûr qu’on voit assez vite quand c’est Mann qui est derrière la caméra)
Pachinko.
Meilleur drama de l’année haut la main. Je me garde le final pour la bonne bouche. Apple
Shining girls.
En parlant d’Apple, Elisabeth Moss plus Michelle Mac Laren (grosse pourvoyeuse d’épisodes de Breaking Bad) c’était passage obligé. Deux épisodes pour l’instant, ca se met en place. Ca semble assez basique (une victime avec l’aide d’un collègue journaliste traque son serail killer qui l’a laissé pour morte et éventrée) mais c’est bien plus compliqué que cela. Le serial Killer semble sévir depuis les années 60 ( ?) et surtout la victime depuis l’agression semble refouler son trauma en se plongeant dans plusieurs réalités, ce qui ne facile pas la traque.
Je ne vous surprendrais pas en vous disant qu’Elisabeth Moss est encore une fois magistrale et qu’elle porte le show sur ses épaules.
We own the City
Last but not least, HBO, le retour du tandem David Simon et de l’écrivain Pelecanos (déjà ensemble sur The Wire) à Baltimore, et cette fois ci, après l’angle du trafique de drogue, c’est au tour de la police (et des violences policières) d’en prendre pour son grade.
Sur le pilote, du Simon pur jus, c’est incroyablement documenté, peut-être un peu confus -c’est une mini serie de 8 épisodes donc l’introduction de touts les personnages, de toutes les temporalité (2008 et 2017) et des enquêtes (au moins au nombre de 3 ) pèsent un peu sur la fluidité - mais c’est compensé par une implacable démonstration et une réalisation sèche et efficace.