27-05-2007, 22:18
Allez je me lance pour la présentation
J'ai découvert le foot avec l'om un soir de mai, en 1993 si ma mémoire est bonne, le 26. Premier match, premiers frissons, beaucoup d'incompréhension, un ersatz de passion.
Alors, oui la flamme m'est venue tel un footix mangeant son grain, oui j'ai aimé le premier club que j'ai vu gagner. Ce soir là, j'ai coulé mes premières larmes bleues et blanches et depuis je n'ai jamais retourné mon veston.
Par la suite j'ai du quitter notre beau pays pour parcourir l'Afrique avec heureusement la parabole alambic distillant les images de canal horizons. Et puis, ce fut le grand retour en France, mon père eut alors la délicatesse de m'emmener au stade, c'était om nantes en 1997-1998, premiers cris, premiers chants, le ressort était décidément bien solide.Même sans ouvreuse, ce théatre était bien celui de mes rêves.
Aujourd'hui, les maillots et autres attributs mercantiles de ce cher om fleurissent dans mon petit 2 pièces comme les points sur les 2 ailes des coccinelles. N'étant pas homme, d'église ma foi est toute concentrée sur ces deux lettres entrecroisées parcourues du plus doux des messages.
Le temps a passé mais aujourd'hui plus que jamais je piaffe et compte les jours entre deux nouvelles visites du virage nord. Lucide et déterminé, demain encore je boirai mon moka en terrasse, ralant les orientations politiques de la provence comme le lyonnisme de l'équipe, et avec le beau temps je ressentirai un doux sentiment de plénitude. Si la coupe est à moitié vide, mon amour est à moitié plein.
J'ai découvert le foot avec l'om un soir de mai, en 1993 si ma mémoire est bonne, le 26. Premier match, premiers frissons, beaucoup d'incompréhension, un ersatz de passion.
Alors, oui la flamme m'est venue tel un footix mangeant son grain, oui j'ai aimé le premier club que j'ai vu gagner. Ce soir là, j'ai coulé mes premières larmes bleues et blanches et depuis je n'ai jamais retourné mon veston.
Par la suite j'ai du quitter notre beau pays pour parcourir l'Afrique avec heureusement la parabole alambic distillant les images de canal horizons. Et puis, ce fut le grand retour en France, mon père eut alors la délicatesse de m'emmener au stade, c'était om nantes en 1997-1998, premiers cris, premiers chants, le ressort était décidément bien solide.Même sans ouvreuse, ce théatre était bien celui de mes rêves.
Aujourd'hui, les maillots et autres attributs mercantiles de ce cher om fleurissent dans mon petit 2 pièces comme les points sur les 2 ailes des coccinelles. N'étant pas homme, d'église ma foi est toute concentrée sur ces deux lettres entrecroisées parcourues du plus doux des messages.
Le temps a passé mais aujourd'hui plus que jamais je piaffe et compte les jours entre deux nouvelles visites du virage nord. Lucide et déterminé, demain encore je boirai mon moka en terrasse, ralant les orientations politiques de la provence comme le lyonnisme de l'équipe, et avec le beau temps je ressentirai un doux sentiment de plénitude. Si la coupe est à moitié vide, mon amour est à moitié plein.
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:incline:"un sous marin, pour une baleine, c'est un gros suppositoire" Jean Carmet
:incline:"un sous marin, pour une baleine, c'est un gros suppositoire" Jean Carmet