Franchement, je ne me souviens pas de ma première rencontre avec l'OM.
Par contre je me rappelle être descendu sur Marseille alors que j'étais
encore favouille ... je n'avais pas encore l'age de descendre la balayure.
C'était pour le mariage d'une cousine de mon père. Un soir, mon père
m'annonce qu'il va voir un match au vélodrome. Tel un morfale je me suis
accroché aux jambes de mon père pour lui supplier d'y aller avec lui.
J'étais déjà donc fan. Il m'a répondu 'ô jobastre, t'es trop petit ...'
(enfin c'est ce qu'il aurait dit si il n'avait pas été natif de Paris ...)
'tu regarderas à la TV' ... les rataillons en somme. Finalement, dégouté,
j'ai passé ma soirée aux cabèches ! Suite à ça j'ai pourri mon père toute
la semaine ... chaque minute devenait une raison d'engatse. La semaine
d'après je suis resté muet (après une ou deux baffes quand même). Mes
parents se sont inquiètés ... moi d'habitude si bazarette.
J'aime l'OM même dans les moments difficiles, même gangrainé par les
successions d'incompétents, à commencer par notre actionnaire, notre
entraîneur, beye ... (bon j'arrête là)
Je n'ai que quelques mots à ajouter : droit au but !
Par contre je me rappelle être descendu sur Marseille alors que j'étais
encore favouille ... je n'avais pas encore l'age de descendre la balayure.
C'était pour le mariage d'une cousine de mon père. Un soir, mon père
m'annonce qu'il va voir un match au vélodrome. Tel un morfale je me suis
accroché aux jambes de mon père pour lui supplier d'y aller avec lui.
J'étais déjà donc fan. Il m'a répondu 'ô jobastre, t'es trop petit ...'
(enfin c'est ce qu'il aurait dit si il n'avait pas été natif de Paris ...)
'tu regarderas à la TV' ... les rataillons en somme. Finalement, dégouté,
j'ai passé ma soirée aux cabèches ! Suite à ça j'ai pourri mon père toute
la semaine ... chaque minute devenait une raison d'engatse. La semaine
d'après je suis resté muet (après une ou deux baffes quand même). Mes
parents se sont inquiètés ... moi d'habitude si bazarette.
J'aime l'OM même dans les moments difficiles, même gangrainé par les
successions d'incompétents, à commencer par notre actionnaire, notre
entraîneur, beye ... (bon j'arrête là)
Je n'ai que quelques mots à ajouter : droit au but !