Hier, 21:26
un western spaghetti à la bourguignonne ?
Auxerre, c'est un peu le village de Sergio Leone, où les cow-boys locaux, affamés de points, attendent de pied ferme le shérif marseillais et sa bande de gâchettes.
L'OM, c'est Clint Eastwood, le regard froid et la gâchette facile, mais attention, à Auxerre, on ne rigole pas avec l'honneur. Ici, on se bat pour le blason, comme dans un film de cape et d'épée.
Le stade de l'Abbé-Deschamps, c'est un peu le décor de « Il était une fois dans l'Ouest », avec ses tribunes en bois qui grincent et son public qui rugit comme un criquet. On s'attendrait presque à voir Charles Bronson débarquer avec son harmonica.
Le match, c'est un duel au soleil, un combat de coqs où chaque tacle est un coup de feu, chaque but une balle perdue.
Le football est un sport cruel, comme le disait Jean Gabin dans « Le Quai des brumes » : « On est venu, on a vu, on a été vaincu ».
Alors, qui sortira vainqueur de ce western spaghetti à la bourguignonne ?
L'OM, le shérif impitoyable, ou Auxerre, le village gaulois qui résiste encore et toujours à l'envahisseur ?
Une chose est sûre, ce soir, on va en prendre plein les yeux, comme devant un bon film de Sergio Leone sauf si l'arbitre en réalisateur médiocre nous sert un navet dont les hommes en noir ont le secret.
Auxerre, c'est un peu le village de Sergio Leone, où les cow-boys locaux, affamés de points, attendent de pied ferme le shérif marseillais et sa bande de gâchettes.
L'OM, c'est Clint Eastwood, le regard froid et la gâchette facile, mais attention, à Auxerre, on ne rigole pas avec l'honneur. Ici, on se bat pour le blason, comme dans un film de cape et d'épée.
Le stade de l'Abbé-Deschamps, c'est un peu le décor de « Il était une fois dans l'Ouest », avec ses tribunes en bois qui grincent et son public qui rugit comme un criquet. On s'attendrait presque à voir Charles Bronson débarquer avec son harmonica.
Le match, c'est un duel au soleil, un combat de coqs où chaque tacle est un coup de feu, chaque but une balle perdue.
Le football est un sport cruel, comme le disait Jean Gabin dans « Le Quai des brumes » : « On est venu, on a vu, on a été vaincu ».
Alors, qui sortira vainqueur de ce western spaghetti à la bourguignonne ?
L'OM, le shérif impitoyable, ou Auxerre, le village gaulois qui résiste encore et toujours à l'envahisseur ?
Une chose est sûre, ce soir, on va en prendre plein les yeux, comme devant un bon film de Sergio Leone sauf si l'arbitre en réalisateur médiocre nous sert un navet dont les hommes en noir ont le secret.
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Citation :En tout cas, si Pape doit partir pour "x" raisons,une chose est sûre : je me mettrai dans ses valises. J'ai tellement aimé travailler, j'ai vécu tellement de choses avec lui et avec cette équipe que je ne pourrai pas le faire avec d'autres"@nigo