17-08-2010, 16:14
(Modification du message : 17-08-2010, 16:22 par roscoltrane.)
N'empêche si vous aviez lu le wiki des roses jusqu'au bout vous vous coucheriez ptet moins cons et moins excités ce soir.
Prévention [modifier]
Outre une toilette minutieuse à l'eau et au savon, seule la digue dentaire permet de prévenir les risques de transmissions des MST.
Digue dentaire l'utilisation d'une barrière en latex offre la même protection qu'un préservatif. Cet accessoire est le même que celui recommandé pour la pratique du cunnilingus. Il est malheureusement difficile à se procurer en dehors des fournisseurs spécialisés en articles médicaux ou des Sex shops.
Lavement
les inconvénients dus aux reliquats de matières fécales peuvent être réduits par la pratique du lavement avant l'acte, dans le cas d'un anulingus perforant qui s'apparente à une sodomie, mais également pour un anulingus plus classique où la proximité du contenu de l'ampoule rectale se fait sentir. Cependant, le lavement ne constitue pas une réduction du risque de maladies infectieuses, les germes ou les ufs les induisant ne sont pour la plupart pas situés dans les fèces. Les virus et bactéries les plus virulents sont situés dans la paroi intestinale ou dans le sang, et les ufs de parasites sont souvent déposés sur la marge de l'anus, dans les replis de celui-ci, attendant d'être transmis par voie manuportée. Le lavement, par la contrainte importante qu'elle fait subir à la partie inférieure du tube digestif, ou de la mauvaise utilisation de la canule, ainsi que de ses bords potentiellement coupants, pourrait même induire des microlésions et augmenter les risques infectieux.
Le lavement peut être aussi pratiqué par plaisir : il s'agit alors de clystérophilie.
Cas des parasites intestinaux [modifier]
Le cycle de transmission oro-fécal de certains parasites intestinaux est habituellement engendré par une mauvaise hygiène des mains après défécation ou par grattage de l'anus à cause du prurit induit par les parasites, ce qui est source d'autocontamination et de réinfestation.
Dans le cas de l'anulingus, cette contamination est extrêmement probable, voire systématique. Il peut s'ensuivre un cycle de réinfestations perpétuelles pour un couple dont les deux membres ont recours à cette pratique. Cette pratique n'est pas toujours prise en compte dans les risques potentiels de contamination oro-fécale.
Cas du ténia [modifier]
Ce ver nécessite habituellement un hôte intermédiaire qui est le plus souvent un bovin ou un porc, chez qui la larve se développe et qui est consommé ensuite par l'être humain. Dans le cas de contamination par ingestion d'ufs de ténia, l'homme peut alors servir d'hôte intermédiaire de substitution. Il se développe alors une maladie correspondant au développement de l'uf appelé cysticercose, autrement plus dangereuse que l'infection au ténia normal. Cette maladie provoque des atteintes très grave des muscles voire du cerveau.
Il est donc recommandé de ne pas pratiquer l'anulingus sur une personne souffrant de ténia sans une protection par digue buccale. Toutefois la contamination est moins probable en raison de la taille des ufs, visibles à l'il nu.
Prévention [modifier]
Outre une toilette minutieuse à l'eau et au savon, seule la digue dentaire permet de prévenir les risques de transmissions des MST.
Digue dentaire l'utilisation d'une barrière en latex offre la même protection qu'un préservatif. Cet accessoire est le même que celui recommandé pour la pratique du cunnilingus. Il est malheureusement difficile à se procurer en dehors des fournisseurs spécialisés en articles médicaux ou des Sex shops.
Lavement
les inconvénients dus aux reliquats de matières fécales peuvent être réduits par la pratique du lavement avant l'acte, dans le cas d'un anulingus perforant qui s'apparente à une sodomie, mais également pour un anulingus plus classique où la proximité du contenu de l'ampoule rectale se fait sentir. Cependant, le lavement ne constitue pas une réduction du risque de maladies infectieuses, les germes ou les ufs les induisant ne sont pour la plupart pas situés dans les fèces. Les virus et bactéries les plus virulents sont situés dans la paroi intestinale ou dans le sang, et les ufs de parasites sont souvent déposés sur la marge de l'anus, dans les replis de celui-ci, attendant d'être transmis par voie manuportée. Le lavement, par la contrainte importante qu'elle fait subir à la partie inférieure du tube digestif, ou de la mauvaise utilisation de la canule, ainsi que de ses bords potentiellement coupants, pourrait même induire des microlésions et augmenter les risques infectieux.
Le lavement peut être aussi pratiqué par plaisir : il s'agit alors de clystérophilie.
Cas des parasites intestinaux [modifier]
Le cycle de transmission oro-fécal de certains parasites intestinaux est habituellement engendré par une mauvaise hygiène des mains après défécation ou par grattage de l'anus à cause du prurit induit par les parasites, ce qui est source d'autocontamination et de réinfestation.
Dans le cas de l'anulingus, cette contamination est extrêmement probable, voire systématique. Il peut s'ensuivre un cycle de réinfestations perpétuelles pour un couple dont les deux membres ont recours à cette pratique. Cette pratique n'est pas toujours prise en compte dans les risques potentiels de contamination oro-fécale.
Cas du ténia [modifier]
Ce ver nécessite habituellement un hôte intermédiaire qui est le plus souvent un bovin ou un porc, chez qui la larve se développe et qui est consommé ensuite par l'être humain. Dans le cas de contamination par ingestion d'ufs de ténia, l'homme peut alors servir d'hôte intermédiaire de substitution. Il se développe alors une maladie correspondant au développement de l'uf appelé cysticercose, autrement plus dangereuse que l'infection au ténia normal. Cette maladie provoque des atteintes très grave des muscles voire du cerveau.
Il est donc recommandé de ne pas pratiquer l'anulingus sur une personne souffrant de ténia sans une protection par digue buccale. Toutefois la contamination est moins probable en raison de la taille des ufs, visibles à l'il nu.