19-08-2010, 15:49
(Modification du message : 19-08-2010, 16:09 par roscoltrane.)
Je viens de finir la saison 1 d'Engrenages.
C'est un article de rock and folk ou les inrocks je sais plus qui m'a decidé à essayer malgré la conclusion bidon "La saison 3 d'Engrenages enfonce un dernier clou dans le cercueil de Julie Lescaut..."
Mais les scénaristes qui disent que sans des séries américaines comme the Shield ou the Wire, Engrenages n'aurait jamais existé, m'ont convaincu.
Et bien la fin de cet épisode 8 m'a juste glacé le sang. Les flashbacks sur la mort d'Elina sont effroyables. Le cynisme et l'opportunisme de l'avocate Karlsson sont sans limites, comme la faculté de Laborde de rebondir. En général j'aime bien finir un film ou une série sur une grosse sensation de malaise, bah là ça a pas loupé.
On tombe rarement dans le cliché dans Engrenages (à part les narines de Gilou) et ce froid réalisme est tout ce que j'aime dans cette série. C'est aussi ce que j'avais apprécié dans the Wire ou the Corner, la faculté de la série a nous faire entrer dans un milieu qui nous est inconnu, et y entrainer par la nature entière des personnages comme une impression de déjà vécu.
Allez hop, je vais enchaîner sur la saison 2 je crois, à moins que je m'accorde une pose pour commencer Life on Mars ou the Tudors.
C'est un article de rock and folk ou les inrocks je sais plus qui m'a decidé à essayer malgré la conclusion bidon "La saison 3 d'Engrenages enfonce un dernier clou dans le cercueil de Julie Lescaut..."
Mais les scénaristes qui disent que sans des séries américaines comme the Shield ou the Wire, Engrenages n'aurait jamais existé, m'ont convaincu.
Et bien la fin de cet épisode 8 m'a juste glacé le sang. Les flashbacks sur la mort d'Elina sont effroyables. Le cynisme et l'opportunisme de l'avocate Karlsson sont sans limites, comme la faculté de Laborde de rebondir. En général j'aime bien finir un film ou une série sur une grosse sensation de malaise, bah là ça a pas loupé.
On tombe rarement dans le cliché dans Engrenages (à part les narines de Gilou) et ce froid réalisme est tout ce que j'aime dans cette série. C'est aussi ce que j'avais apprécié dans the Wire ou the Corner, la faculté de la série a nous faire entrer dans un milieu qui nous est inconnu, et y entrainer par la nature entière des personnages comme une impression de déjà vécu.
Allez hop, je vais enchaîner sur la saison 2 je crois, à moins que je m'accorde une pose pour commencer Life on Mars ou the Tudors.