(14-01-2011, 13:20)Madinho a écrit : Tié fou, mazargues il prend même pas le bus, il se déplace qu'en vélo, et encore fait en matières recyclées.
Il hésite même à marcher de peur de devoir user les semelles de ses chaussures faites en matériaux polluants.
(14-01-2011, 16:00)caveman a écrit :L'important, c'est la légende(14-01-2011, 13:20)Madinho a écrit : Il hésite même à marcher de peur de devoir user les semelles de ses chaussures faites en matériaux polluants.
Fake, il marche en espadrille !
Ceci dit vous verriez l'état de mes pompes. On en est à un point tel que je vais aller faire les soldes tout à l'heure.
(14-01-2011, 15:12)Acarp47 a écrit :Ben moi dans mon nouveau voisinage je les ai. Plus le touarègue aussi Et le volvo chaipasquoi aussi. Tous avec les vitres teintées dégaines et les pneus de 42 pouces.(14-01-2011, 15:03)Oc! a écrit : Surtout que le dernier et très moche. Non, vraiment je ne comprends pas non plus qu'on puisse acheter ca plutôt qu'un Audi Q7.
Non, vraiment je ne comprends pas non plus qu'on puisse acheter ca plutôt qu'une Porsche
Tellement des gros culs tous qu'ils dépassent de tous les côtés des places de parking.
Et j'ai des voisins dont je viens de compter la sixième voiture... pour deux.
Si. Dont le touarègue en question, une audi R5 (c'est un pote qui m'a dit que c'était ce modèle), deux mercedes classe C et deux utilitaires, le tout étant neuf.
Autant vous dire que la lettre au fisc est déjà partie
Voilà, j'adore mon voisinage. Et non Oc! n'est pas mon voisin.
(14-01-2011, 15:23)Dragnir a écrit : J'ai l'impression que Marseille a tendance à se corsiser à ce niveau : la taille des bagnoles est inversement proportionnelle à l'espace disponible pour circuler.Très juste comme remarque.
Il y a quelques années je fus allé en villégiature à Empuriabrava (). C'était le début de la mode des 4x4, et bien le paysage automobile se scindait en deux groupes, les béhèmes (ceux qui n'avaient pas encore changé), et les quatre-quatre (ceux qui avaient changé), et ben je préférais les béhèmes en fait.
C'était la première fois que je me rendais dans un vrai ghetto de riches, et j'ai eu la (demi-)surprise de voir qu'avec tout leur pognon ils étaient quand même exactement tous pareils, exactement comme le pékin du coin avec son survet' crocodile règlementaire.