14-07-2005, 17:10
Dans quel état d’esprit abordez vous ce match ?
Ça sera notre troisième match depuis la reprise de l’entraînement. Pour l’instant on a montré deux visages, un premier à Annecy contre Châteauroux. Il y avait beaucoup de jus de la part de l’ensemble du groupe puis un peu plus de fatigue face à Istres. Au cours des trois jours qui ont précédé ce match le coach a fait en sorte que tout le monde retrouve ce jus qui nous permettra de répondre présent sur ce match aller de samedi.
Vous avez déjà travaillé sur ce match à Berne ?
Non pas encore. Le coach a fait le déplacement pour les voir jouer au tour précédent. Maintenant je pense qu’il y aura un moment voulu pour parler de cette équipe.
C’est une équipe qui a un visage très offensif, vous risquez d’avoir du boulot derrière ?
Oui c’est vrai mais je crois que c’est l’ensemble de l’équipe qui va avoir beaucoup de travail à effectuer. On est en pleine reprise, on essaye de trouver une certaine osmose dans ce que le coach nous demande dans l'ensemble, tout ça se met en application petit à petit. C’est vrai que là les premiers défenseurs seront les attaquants. Ça sera à nous d’être vigilants et d’essayer de déployer le jeu qu’on essaye de mettre en place.
C’est difficile en pleine préparation d’être tout de suite tenu à un résultat ?
Ce n’est pas plus mal. Les matchs amicaux servent au coach dans la préparation pour faire une revue d’effectif, pour faire tourner un peu l’ensemble des joueurs. Là on se doit tout de suite de rentrer dans le vif du sujet par ce match de coupe Intertoto où il nous faut absolument des résultats positifs pour pouvoir prétendre à la qualification.
Sur le plan de la préparation athlétique…
Elle n’est pas bouleversée. Vous savez il y a eu un programme d’établi pour changer un peu les habitudes. On a eu trois semaines de préparation avant ce premier match. En temps normal on prend toujours quatre semaines pour commencer à enchaîner les matchs amicaux. Là il y a une semaine de moins, on a fait en fonction de cela et on a travaillé.
Comment jugez-vous le collectif marseillais ?
Je ne vais pas vous apprendre grand-chose. Pour l’instant vous en avez dit assez. C’est une équipe qui a beaucoup plus de vitesse, qui aura un fond de jeu avec je dirais plus de maîtrise et beaucoup plus orientée vers l’offensive. Maintenant il ne faut pas non plus se voiler la face. C’est un groupe en construction. Il va falloir lui donner un certain temps, même si on se doit d’avoir des résultats rapidement. Je pense que c’est un groupe qui est bâti pour l’avenir.
Vous connaissez le jeu de certaines des nouvelles recrues ?
Je les connais pour avoir joué contre eux. On connaît leurs caractéristiques. À part ça, je dirais des étrangers qui viennent d’arriver et les autres… Sabri a évolué un certain temps dans le championnat de France, on connaît ses qualités. Maintenant c’est tout un ensemble qui fait que cette année l’Olympique de Marseille essaye de trouver une certaine osmose entre les anciennes générations et la nouvelle génération. On va essayer de faire un panaché de tout ça pour être performant.
La présence de Lamouchi au milieu de terrain peut apporter un plus parce que ça sera lui aussi un leader ?
Oui certainement mais je crois que tout le monde doit se sentir un peu leader dans l’âme. Il y a une personne qui est choisie pour porter le brassard mais ça ne veut pas dire que cette personne là a le droit de tout. C’est tout le monde qui doit apporter sa pierre à l’édifice et donner le meilleur de soi-même pour que l’équipe soit performante. Tout le monde doit se sentir un peu leader dans l’âme pour qu’on s’y retrouve tous à la fin.
Pensez-vous que cette année l’OM est à même d’obtenir enfin un bon classement ?
Vous savez, j’ai appris pas mal de choses en un an. Il ne faut pas se projeter dans l’avenir. Il faut vivre les moments présents. La saison passée, avec les noms qui étaient présents à l’Olympique de Marseille, on attendait beaucoup de cette équipe. Elle n’a pas eu des résultats à la hauteur des espérances. Cette année peut-être que le club a peut-être moins fait au niveau des noms, mais je l’espère, mieux dans la qualité. Cela n’enlève rien aux joueurs qui sont partis au niveau de leurs qualités, simplement il y a un contexte un peu particulier ici. Il faut s’y adapter. J’espère que les nouveaux s’y adapteront parfaitement bien mais je pense que le coach essaye de mettre en application et en place un système pour que tout le monde se sente bien ici.
Quel système ?
Qu’on soit unis les uns aux autres, qu’on essaye de former un groupe avec une solidarité exemplaire et qu’on donne le meilleur de soi même pour que tout le monde en tire des bénéfices à la fin.
Quel sera votre système de jeu face aux Suisses ?
Je pense que l' on ne jouera pas différemment de ce qu’on a pu faire jusqu’à présent lors des matchs amicaux. Un 4-4-2 tout simple.
En ce qui vous concerne vous avez prolongé avec Marseille ?
Pas encore.
C’est votre souhait ?
C’est le souhait des deux parties, pour l’instant il y a des discussions en cours. Je pense qu’il y avait des priorités, c’était concevable. Maintenant, vous le savez, il n’y a pas de précipitation. On discute, les dirigeants m’ont fait part de leur envie que je reste et comme moi je le souhaite aussi, les deux parties sont d’accord, on trouvera un terrain d’entente.
Vous auriez pu changer de club comme cela s’est murmuré ?
Non. J’aurais arrêté. S’il avait fallu que je change de club, je pense que j’aurais arrêté oui. Pour l’instant la tête est présente, le corps a encore envie et le projet à long terme du club me plaît. Ca me réjouît d’en faire partie et ça me donne envie de continuer. C’est pour cette raison qu’il y a une prolongation qui est à l’étude. Mais à partir du moment où je sentirai qu’il y a soit la tête, soit que l’aspect psychologique ou l’aspect physique qui n’arrivent plus à suivre, il faut laisser la place aux autres. Ça va faire quand même ma 15e année de professionnalisme, il arrive un moment où il faut savoir dire stop.
Vous avez eu des alertes pour parler comme ça ?
Non. Vous savez il ne faut pas se voiler la face. J’arrive à un âge où le foot actuel demande tellement… Est-ce que moi je suis capable d’être à la hauteur de ce qu’on me demande ? Pour l’instant je pense que oui mais je ne sais pas de quoi sera fait demain. Donc il faut tout analyser. Je me suis toujours promis de ne pas faire l’année de trop et d’arrêter au bon moment. Quand j’estimerai que c’est le bon moment j’arrêterai.
Quelqu’un ou quelque chose vous a poussé à prendre cette décision ?
Non. C’est une mûre réflexion prise en compagnie de ma femme. Elle m’a dit que si je sentais encore des capacités pour continuer, il fallait continuer. Mais pour l’instant, je ne me suis pas posé la question de savoir si j’allais arrêter demain, mais simplement je ne me vois pas partir pour partir à l’étranger, ça serait absurde. En France, partir autre part qu’à l’OM à l’heure actuelle je ne vois pas un grand intérêt. Le challenge qui m’a été proposé me plaît, c’est la raison pour laquelle on met à l’étude une prolongation d’un an.
Vous êtes prêt à disputer tous les matchs ?
Vous savez, si j’étais parti avec le sentiment de faire 20 matchs sur 40, j’aurais dis stop avant. Si je suis là, c'est que je n’ai jamais triché, j’ai toujours donné le maximum de moi-même. Si je suis là, c’est pour aller au bout de ce que j’ai envie de faire. Maintenant il y a un groupe qui est assez important, je pense qu’il y a des joueurs de très grande qualité, le coach aura le choix et c’est les meilleurs qui joueront.
André Luis vous le connaissez ?
Pas du tout.
Son arrivée peut modifier le positionnement en défense ?
Il n’y a que l’entraîneur qui peut répondre à cette question. Moi je suis là, j’essaye d’être le plus performant possible sur le terrain et peu importe le positionnement que j’aurais. Le principal, c’est d’être performant pour que l’équipe gagne.
Comment sentez-vous l’état d’esprit du groupe par rapport à la saison dernière ? Il y a une différence ?
La différence, c’est déjà qu’il y a un entraîneur à sa tête. Il y a des personnes aussi qui ont pris le pouvoir au niveau de la direction donc on va essayer de trouver une certaine stabilité, une certaine sérénité pour travailler correctement, convenablement et arrêter de faire parler de nous dans toutes les pages des journaux, que ce soient des pages sportives ou extra sportives. Ça fatigue. Le coach essaye de faire passer son discours et ça se passe très bien à l’heure actuelle. Il y a un certain état d’esprit qui se crée, c’est à sa demande, et je crois que le message passe bien.
Votre envie de prolonger signifie que vous avez digéré les difficultés de la saison dernière ?
Avec l’âge, j’ai acquis une certaine expérience. Il faut savoir tirer des conséquences positives que ce qu’on a vécu. C’est ce que j’ai réussi à faire durant la trêve. Je repars avec l’intention de revivre autre chose tout en gardant l’expérience passée.
Cette expérience vous permet d’aider ceux qui arrivent ?
J’ai discuté avec quelques-uns de l’environnement marseillais, de l’obligation de résultats. C’est pour ça que je pense que ce sont tous les joueurs qui ont une certaine expérience par rapport au club, un certain acquis, qui se doivent de mettre au parfum les nouveaux. Comme ça on les prépare un peu, pour les prévenir de ce qui va se passer.
Vous pensez que Lyon sera encore intouchable cette saison ?
A mon avis le championnat va être plus relevé. Nous verrons beaucoup plus d' équipes qui pourront prétendre à quelque chose. Même si Lyon avait fait un écart à un certain moment, après, ça a été un peu plus serré. Après il y a eu un creux et il y a eu la deuxième partie du championnat. Je pense que cette année on n’aura pas ce phénomène là. Maintenant toutes les équipes qui se disent candidates à un titre ont envie de rivaliser avec l’Olympique Lyonnais. Marseille en fait partie.
Ça sera notre troisième match depuis la reprise de l’entraînement. Pour l’instant on a montré deux visages, un premier à Annecy contre Châteauroux. Il y avait beaucoup de jus de la part de l’ensemble du groupe puis un peu plus de fatigue face à Istres. Au cours des trois jours qui ont précédé ce match le coach a fait en sorte que tout le monde retrouve ce jus qui nous permettra de répondre présent sur ce match aller de samedi.
Vous avez déjà travaillé sur ce match à Berne ?
Non pas encore. Le coach a fait le déplacement pour les voir jouer au tour précédent. Maintenant je pense qu’il y aura un moment voulu pour parler de cette équipe.
C’est une équipe qui a un visage très offensif, vous risquez d’avoir du boulot derrière ?
Oui c’est vrai mais je crois que c’est l’ensemble de l’équipe qui va avoir beaucoup de travail à effectuer. On est en pleine reprise, on essaye de trouver une certaine osmose dans ce que le coach nous demande dans l'ensemble, tout ça se met en application petit à petit. C’est vrai que là les premiers défenseurs seront les attaquants. Ça sera à nous d’être vigilants et d’essayer de déployer le jeu qu’on essaye de mettre en place.
C’est difficile en pleine préparation d’être tout de suite tenu à un résultat ?
Ce n’est pas plus mal. Les matchs amicaux servent au coach dans la préparation pour faire une revue d’effectif, pour faire tourner un peu l’ensemble des joueurs. Là on se doit tout de suite de rentrer dans le vif du sujet par ce match de coupe Intertoto où il nous faut absolument des résultats positifs pour pouvoir prétendre à la qualification.
Sur le plan de la préparation athlétique…
Elle n’est pas bouleversée. Vous savez il y a eu un programme d’établi pour changer un peu les habitudes. On a eu trois semaines de préparation avant ce premier match. En temps normal on prend toujours quatre semaines pour commencer à enchaîner les matchs amicaux. Là il y a une semaine de moins, on a fait en fonction de cela et on a travaillé.
Comment jugez-vous le collectif marseillais ?
Je ne vais pas vous apprendre grand-chose. Pour l’instant vous en avez dit assez. C’est une équipe qui a beaucoup plus de vitesse, qui aura un fond de jeu avec je dirais plus de maîtrise et beaucoup plus orientée vers l’offensive. Maintenant il ne faut pas non plus se voiler la face. C’est un groupe en construction. Il va falloir lui donner un certain temps, même si on se doit d’avoir des résultats rapidement. Je pense que c’est un groupe qui est bâti pour l’avenir.
Vous connaissez le jeu de certaines des nouvelles recrues ?
Je les connais pour avoir joué contre eux. On connaît leurs caractéristiques. À part ça, je dirais des étrangers qui viennent d’arriver et les autres… Sabri a évolué un certain temps dans le championnat de France, on connaît ses qualités. Maintenant c’est tout un ensemble qui fait que cette année l’Olympique de Marseille essaye de trouver une certaine osmose entre les anciennes générations et la nouvelle génération. On va essayer de faire un panaché de tout ça pour être performant.
La présence de Lamouchi au milieu de terrain peut apporter un plus parce que ça sera lui aussi un leader ?
Oui certainement mais je crois que tout le monde doit se sentir un peu leader dans l’âme. Il y a une personne qui est choisie pour porter le brassard mais ça ne veut pas dire que cette personne là a le droit de tout. C’est tout le monde qui doit apporter sa pierre à l’édifice et donner le meilleur de soi-même pour que l’équipe soit performante. Tout le monde doit se sentir un peu leader dans l’âme pour qu’on s’y retrouve tous à la fin.
Pensez-vous que cette année l’OM est à même d’obtenir enfin un bon classement ?
Vous savez, j’ai appris pas mal de choses en un an. Il ne faut pas se projeter dans l’avenir. Il faut vivre les moments présents. La saison passée, avec les noms qui étaient présents à l’Olympique de Marseille, on attendait beaucoup de cette équipe. Elle n’a pas eu des résultats à la hauteur des espérances. Cette année peut-être que le club a peut-être moins fait au niveau des noms, mais je l’espère, mieux dans la qualité. Cela n’enlève rien aux joueurs qui sont partis au niveau de leurs qualités, simplement il y a un contexte un peu particulier ici. Il faut s’y adapter. J’espère que les nouveaux s’y adapteront parfaitement bien mais je pense que le coach essaye de mettre en application et en place un système pour que tout le monde se sente bien ici.
Quel système ?
Qu’on soit unis les uns aux autres, qu’on essaye de former un groupe avec une solidarité exemplaire et qu’on donne le meilleur de soi même pour que tout le monde en tire des bénéfices à la fin.
Quel sera votre système de jeu face aux Suisses ?
Je pense que l' on ne jouera pas différemment de ce qu’on a pu faire jusqu’à présent lors des matchs amicaux. Un 4-4-2 tout simple.
En ce qui vous concerne vous avez prolongé avec Marseille ?
Pas encore.
C’est votre souhait ?
C’est le souhait des deux parties, pour l’instant il y a des discussions en cours. Je pense qu’il y avait des priorités, c’était concevable. Maintenant, vous le savez, il n’y a pas de précipitation. On discute, les dirigeants m’ont fait part de leur envie que je reste et comme moi je le souhaite aussi, les deux parties sont d’accord, on trouvera un terrain d’entente.
Vous auriez pu changer de club comme cela s’est murmuré ?
Non. J’aurais arrêté. S’il avait fallu que je change de club, je pense que j’aurais arrêté oui. Pour l’instant la tête est présente, le corps a encore envie et le projet à long terme du club me plaît. Ca me réjouît d’en faire partie et ça me donne envie de continuer. C’est pour cette raison qu’il y a une prolongation qui est à l’étude. Mais à partir du moment où je sentirai qu’il y a soit la tête, soit que l’aspect psychologique ou l’aspect physique qui n’arrivent plus à suivre, il faut laisser la place aux autres. Ça va faire quand même ma 15e année de professionnalisme, il arrive un moment où il faut savoir dire stop.
Vous avez eu des alertes pour parler comme ça ?
Non. Vous savez il ne faut pas se voiler la face. J’arrive à un âge où le foot actuel demande tellement… Est-ce que moi je suis capable d’être à la hauteur de ce qu’on me demande ? Pour l’instant je pense que oui mais je ne sais pas de quoi sera fait demain. Donc il faut tout analyser. Je me suis toujours promis de ne pas faire l’année de trop et d’arrêter au bon moment. Quand j’estimerai que c’est le bon moment j’arrêterai.
Quelqu’un ou quelque chose vous a poussé à prendre cette décision ?
Non. C’est une mûre réflexion prise en compagnie de ma femme. Elle m’a dit que si je sentais encore des capacités pour continuer, il fallait continuer. Mais pour l’instant, je ne me suis pas posé la question de savoir si j’allais arrêter demain, mais simplement je ne me vois pas partir pour partir à l’étranger, ça serait absurde. En France, partir autre part qu’à l’OM à l’heure actuelle je ne vois pas un grand intérêt. Le challenge qui m’a été proposé me plaît, c’est la raison pour laquelle on met à l’étude une prolongation d’un an.
Vous êtes prêt à disputer tous les matchs ?
Vous savez, si j’étais parti avec le sentiment de faire 20 matchs sur 40, j’aurais dis stop avant. Si je suis là, c'est que je n’ai jamais triché, j’ai toujours donné le maximum de moi-même. Si je suis là, c’est pour aller au bout de ce que j’ai envie de faire. Maintenant il y a un groupe qui est assez important, je pense qu’il y a des joueurs de très grande qualité, le coach aura le choix et c’est les meilleurs qui joueront.
André Luis vous le connaissez ?
Pas du tout.
Son arrivée peut modifier le positionnement en défense ?
Il n’y a que l’entraîneur qui peut répondre à cette question. Moi je suis là, j’essaye d’être le plus performant possible sur le terrain et peu importe le positionnement que j’aurais. Le principal, c’est d’être performant pour que l’équipe gagne.
Comment sentez-vous l’état d’esprit du groupe par rapport à la saison dernière ? Il y a une différence ?
La différence, c’est déjà qu’il y a un entraîneur à sa tête. Il y a des personnes aussi qui ont pris le pouvoir au niveau de la direction donc on va essayer de trouver une certaine stabilité, une certaine sérénité pour travailler correctement, convenablement et arrêter de faire parler de nous dans toutes les pages des journaux, que ce soient des pages sportives ou extra sportives. Ça fatigue. Le coach essaye de faire passer son discours et ça se passe très bien à l’heure actuelle. Il y a un certain état d’esprit qui se crée, c’est à sa demande, et je crois que le message passe bien.
Votre envie de prolonger signifie que vous avez digéré les difficultés de la saison dernière ?
Avec l’âge, j’ai acquis une certaine expérience. Il faut savoir tirer des conséquences positives que ce qu’on a vécu. C’est ce que j’ai réussi à faire durant la trêve. Je repars avec l’intention de revivre autre chose tout en gardant l’expérience passée.
Cette expérience vous permet d’aider ceux qui arrivent ?
J’ai discuté avec quelques-uns de l’environnement marseillais, de l’obligation de résultats. C’est pour ça que je pense que ce sont tous les joueurs qui ont une certaine expérience par rapport au club, un certain acquis, qui se doivent de mettre au parfum les nouveaux. Comme ça on les prépare un peu, pour les prévenir de ce qui va se passer.
Vous pensez que Lyon sera encore intouchable cette saison ?
A mon avis le championnat va être plus relevé. Nous verrons beaucoup plus d' équipes qui pourront prétendre à quelque chose. Même si Lyon avait fait un écart à un certain moment, après, ça a été un peu plus serré. Après il y a eu un creux et il y a eu la deuxième partie du championnat. Je pense que cette année on n’aura pas ce phénomène là. Maintenant toutes les équipes qui se disent candidates à un titre ont envie de rivaliser avec l’Olympique Lyonnais. Marseille en fait partie.
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