c'est salle ce qui font à Zidane, je crois pas que ce soit de l'intox, , pour moi c'est clair qu' Henry voit que ses interets personnels :n:
Je rejoins une fois encore Courbis, y'a besoin d'autres createurs et dechargé Zizou de ce role, là il pourra s'exprimer, Henry j'ai limitte envie de le voir gicler et de revoir un certain Anelka avec Cissé et , Trezeguet et Saha, ca fera deja du beau monde devant!
je crois beaucoup à la jalousie de la generation 84

J'ai pas tout lu, pour deux raisons, une chuis bourré, deux.....chuis bourré (en v'là de l'argumentation!!!).
Tout ce que j'en pense c'est qu'on aurait pu avoir n'importe quel sélectionneur au monde on aurait merdé à cet euro, les joueurs n'avaient pas la gnack, la grinta.
Faut un homme fort avec un grosse paire entre les jambes pour reprendre l'équipe, qu'il mette vraiment en concurrence toute cette génération dorée avec de jeunes loups assoifés de trophée.
Dans cette optique un Laurent Blanc enclin au copinage ne me branche pas trop, je préfère un Tigana qui n'aura pas peur de faire des mécontents.
C'était l'intermède du jeune alcoolo anonyme.
PS: J'ai beau en discuté des heures avec des albionais, pourquoi Eriksson n'a t'il pas encore giclé?
Et si Blanc avait la capacité d'un certain Deschamps à Monaco ou lui aussi tranchait dans le vif à ses debuts!?
Moi je vote Blanc, au moins Bouchet aura refuser le futur selectionneur des bleus, ca lui fera une autre raisn idiote d'etre fier de son travail! :Pixie
Sans dec, prendre des decisions, c'est surement pas virer Zidane, je trouve ça abuser, faut juste redefinir son role!
Une decision serait d'ecarter Silvestre par exemple pour qu'il aprenne qu'en bleu, il doit etre à 300%!
Henry merite des giffles, quand on parle de son jeu je rigole, c'est quoi son jeu?
Le football anglais est special, et pour moi peu de valeure, par rapport au niveau internationale, espagnol, italien, et presque tous les autres!
Ok Henry a des qualités, je dis pas le contraire, mais c'est pas vraiment un génie...
c'est clair c'est

de la part d'henry...
si c'est vrai il essaie de masquer sa propre médiocrité en attaquant zidane....
qu'il reste à sa place car entre zizou et lui ya pas photo...
il n'a qu'a rester à arsenal, là ou toute l'équipe joue pour lui...
ses états d'ame rien a foutre, d'autres sont là et attendent leur chance, cissé, govou, saha, luyindula...
Tigana sans état d'âme ! un OM à poigne pas un grand méchant mou...:smoke1:
de toute fçon il me semble que la nomination du futur sélectionneur tient plus de choix politiciens ou de copinage plutot qu'a un vrai choix sportif....
dans cette histoire le seul souhait de simonet est sa réélection...:mf_napole
C'est fou ce que je vais dire, mais je pense que Zidane, c'est fini.
Loin de moi d'affirmer qu'il est cuit et que c'est un mauvais joueur.
Mais je pense que pour lui, sa vie, sa famille, sa carrière en club, laisser tomber la sélection serait la meilleure décision.
Il faut dès maintenant opter une tactique sans Zidane, immédiatement trouver de quoi animer le jeu sans lui, pour ne pas êter dépendant.
De plus, je doute de la motivation de Zizou. Il a quasiment tout gagné, que ce soit en sélection ou en club.
Comme expliqué lors de la page précédente, ça aussi ça compte...
Zizou a bien mérité du repos, je n'ai pas envie de le voir à la rue en 2006 comme Capt'ain Wat ou d'autres en 2002...
nikoairways a écrit :de toute fçon il me semble que la nomination du futur sélectionneur tient plus de choix politiciens ou de copinage plutot qu'a un vrai choix sportif....
dans cette histoire le seul souhait de simonet est sa réélection...:mf_napole
Simonet est une bouse infâme, une caricature des rond-de cuir qui pollue les antichambres du ballon rond. Un pourri qui est beaucoup plus responsable de la bouse actuelle qu'on ne le dit actuellement. je l'avais dit au moment de Roger la Carpe, c'est avant tout la grosse Simone qu'il faut virer...

ok mais dans cette optique il n'y a pas que lui qui devrait sortir
c'est une remise en question générale de l'équipe
tout n'est pas la faute de zizou....
c'est quand meme pas de sa faute si on a foiré la coupe du monde 2002 et l'euro...d'autres aussi sont responsables!
dans cette campagne ils ont tous montrés des signes de démotivations et ce n'est pas lié qu'a l'age
un mec comme sylvestre qui n'a pratiquement jamais joué en france de sa carriere pourrait également etre poussé vers la sortie...
cette équipe me fait penser à une équipe de pure mercenaires style russie qui se soucie plus de leur porte monnaie plutot qu'a faire plaisir aux français!
on aurez du faire confiance aux joeurs du championnat de france par ex style rothen giuly mexes, peut etre auraient mieux défendu nos couleurs....
boeuf mode a écrit :Simonet est une bouse infâme, une caricature des rond-de cuir qui pollue les antichambres du ballon rond.
Faut briefer le grand Francis Lalanne...Avec lui, les ronds de cuir n'auraient qu'à bien se tenir!

Je crois surtout que les bleus n'ont jamais réussi à compenser les départs de Blanc et Deschamps qui, avec Zidane, formaient la colonne vertébrale de cette équipe. Depuis l'Euro 2000, personne n'a comblé le vide tactique qui est né de l'absence de ses deux-là. Quand Blanc à quitté le groupe France, on a perdu un leader défensif, pas n'importe lequel, le premier relanceur, celui qui apportait de la sérénité a un secteur du jeu sur lequel l'équipe s'est longtemps reposée.
Plus grave encore, après le dernier titre remporté par les bleus, on a perdu un capitaine, un leader moral, le véritable patron de l'équipe sur le terrain, un stratège au sens tactique du terme. Le rôle de Deschamps dans ce groupe, sur et en dehors du terrain était primordial et évident, et à mon sens il ne fut jamais remplacé. Makélélé ou Viera, malgré un potentiel physique et technique certainement supérieur n'ont jamais montré de vertus morales ou tactique équivalentes. Leur impact sur l'équipe n'a jamais été comparable.
Je me permettrai même de rajouter Djorkaeff à cette liste, qui, malgré sa posture soliste un peu agaçant, apportait une touche technique tout en subtilité et en réalisme supérieure à ce qu'à offert Pires depuis sa blessure de 2002. Le gunner a eu beau compenser par sa vivacité, il ne s'est jamais révélé aussi décisif que Youri, sans compter que sa complémentarité avec Zidane fut loin d'être évidente, au moins au cours de cet Euro, puisque les deux hommes ont souvent eu tendance à évoluer dans la même zone.
Après ces départs il parait évident que l'équipe de France a perdu en qualité technique et en fluidité ce qu'elle a gagné en vitesse et en puissance athlétique. Quand on voit les nations qualifiées pour les demi-finales de l'Euro, il est aisé de se rendre compte que les bleus n'avaient tout simplement pas les bons atouts dans leur jeu pour prétendre au titre. Plus encore si l'on prend en compte les défaillances tactiques révélée au grand jour durant la compétition et l'absence flagrante de leader moral.
Je propose un pack ZERO/Albibac comme sélectionneur

ZERO a écrit :Je crois surtout que les bleus n'ont jamais réussi à compenser les départs de Blanc et Deschamps qui, avec Zidane, formaient la colonne vertébrale de cette équipe. Depuis l'Euro 2000, personne n'a comblé le vide tactique qui est né de l'absence de ses deux-là. Quand Blanc à quitté le groupe France, on a perdu un leader défensif, pas n'importe lequel, le premier relanceur, celui qui apportait de la sérénité a un secteur du jeu sur lequel l'équipe s'est longtemps reposée.
Plus grave encore, après le dernier titre remporté par les bleus, on a perdu un capitaine, un leader moral, le véritable patron de l'équipe sur le terrain, un stratège au sens tactique du terme. Le rôle de Deschamps dans ce groupe, sur et en dehors du terrain était primordial et évident, et à mon sens il ne fut jamais remplacé. Makélélé ou Viera, malgré un potentiel physique et technique certainement supérieur n'ont jamais montré de vertus morales ou tactique équivalentes. Leur impact sur l'équipe n'a jamais été comparable.
Je me permettrai même de rajouter Djorkaeff à cette liste, qui, malgré sa posture soliste un peu agaçant, apportait une touche technique tout en subtilité et en réalisme supérieure à ce qu'à offert Pires depuis sa blessure de 2002. Le gunner a eu beau compenser par sa vivacité, il ne s'est jamais révélé aussi décisif que Youri, sans compter que sa complémentarité avec Zidane fut loin d'être évidente, au moins au cours de cet Euro, puisque les deux hommes ont souvent eu tendance à évoluer dans la même zone.
Après ces départs il parait évident que l'équipe de France a perdu en qualité technique et en fluidité ce qu'elle a gagné en vitesse et en puissance athlétique. Quand on voit les nations qualifiées pour les demi-finales de l'Euro, il est aisé de se rendre compte que les bleus n'avaient tout simplement pas les bons atouts dans leur jeu pour prétendre au titre. Plus encore si l'on prend en compte les défaillances tactiques révélée au grand jour durant la compétition et l'absence flagrante de leader moral.
c'est bien joli tout ça mais
à mon sens, ce sont les structures fédérales qui sont gangrénées... A ce niveau de fange intrinsèque, les débats tactiques deviennent ipso facto dérisoires... ;)
boeuf mode a écrit :c'est bien joli tout ça mais à mon sens, ce sont les structures fédérales qui sont gangrénées... A ce niveau de fange intrinsèque, les débats tactiques deviennent ipso facto dérisoires... ;)
Elles le sont depuis bien longtemps Boeuffy...bien avant cet Euro en tout cas, et il ne s'agit là que d'une explication parmis tant d'autres aux débacles de 2002 et 2004.
Ce serait pas mal que Vieira fasse un peu moins le timide en équipe de France, parcequ'il pourrait être un vrais leader comme a Arsenal où il est respecté et écouté par tout le monde...
c'est tout le monde qui dot se remettre en question...
la méthode employée depuis 1998 n'est visiblement pas la bonne...
Rien de nouveau dans cet article mais c'est bien écrit alors je glisse...Les désespérants égarements d'une génération blasée
LE MONDE | 26.06.04 | 11h39
Jamais au cours de leurs quatre rencontres de l'Euro 2004, les Français n'ont su jouer vite et ensemble. Leur échec semble flagrant dans dans tous les domaines du jeu
Il faut bien chercher des raisons, argumenter. Les Bleus ont été médiocres, sans vie, léthargiques, suffisants parfois, insuffisants toujours. Comment cette troupe de footballeurs chevronnés, fortunés, galonnés, a-t-elle fini par donner cette triste impression, au fil de quatre matches trop ressemblants ?
Jacques Santini détient forcément la réponse, mais peut-être ne le sait- il pas encore.
Il aura bien le temps, plus tard, de se pencher sur son coaching à l'économie. Les Bleus sont venus à 23, ils ont joué sans utiliser convenablement les ressources de leur banc. Sydney Govou et Steve Marlet ont joué les touristes, tout comme les gardiens remplaçants ; Jean-Alain Boumsong, Benoît Pedretti ou Jérôme Rothen n'ont joué qu'une poignée de minutes. Louis Saha, entré en jeu à deux reprises, a pourtant redonné un vrai élan à cette équipe lorsqu'il a foulé la pelouse.
Si Jacques Santini n'a pas changé ses titulaires, c'est peut-être par excès de respect pour ses glorieux trentenaires. L'équipe de départ contre la Suisse était âgée, en moyenne, de 29 ans et 3 mois. C'est trop, bien sûr, pour une compétition dont les rencontres se succèdent tous les quatre jours.
La gestion du cas de Marcel Desailly est symptomatique. Pourquoi Jacques Santini a-t-il continué à faire confiance à ce joueur de bientôt 36 ans, remplaçant dans son club de Chelsea, régulièrement blessé cette saison ? Toujours ce respect, cette certitude de trouver chez le champion du monde 1998 une qualité d'écoute et de réflexion. C'est oublier que le football est avant tout affaire de physique. Marcel Desailly a tout simplement disputé la compétition de trop. Du coup, le sélectionneur s'est privé de la possibilité d'emmener un défenseur latéral de plus, ce qui lui a sérieusement posé problème lorsque Willy Sagnol, l'arrière latéral droit, s'est blessé.
Dès lors, que faire de Marcel Desailly, en semi-retraite au Portugal ? Jacques Santini l'a donc intronisé capitaine de route, à lui les conférences de presse empreintes d'une certaine morgue, voire d'une arrogance certaine. En grand communicateur, Desailly a constamment travesti son discours, dissimulé la vérité d'un groupe. De quoi renforcer un réel décalage avec l'opinion publique, en proie au doute devant la tristesse du spectacle proposé.
Les supporteurs ne sont pas sur le terrain, mais ils savent lire un match. En l'occurrence, ils ne se sont pas trompés : jamais les Bleus n'ont évolué libérés. Leur jeu a fait peine à voir : technique déficiente, passes trop lentes, physique défaillant. La haute compétition est un impitoyable révélateur. L'équipe de France avait pris très peu de buts en deux ans, elle restait auréolée d'un record d'imperméabilité. En quatre matches, les Bleus sont allés chercher cinq fois la balle dans leurs filets. C'est beaucoup. La France reste décidément orpheline d'un défenseur central doté de qualités de relance.
Le milieu de terrain ne s'est jamais trouvé : Zinédine Zidane, bien que buteur à trois reprises, n'a toujours pas délivré de passe décisive à Thierry Henry. Le constat est cruel, mais il semble bien que le no 10 des Bleus ralentisse à l'excès le jeu de l'équipe de France, quand l'attaquant d'Arsenal recherche un football à l'anglaise, rapide, agressif.
DÉSARROI TACTIQUE
Tactiquement, les Bleus n'ont eu de cesse de critiquer le football de leurs adversaires, censés se regrouper devant leurs buts. L'excuse est commode. En vérité, les Français n'ont pas su jouer vite et ensemble. Ils étaient affublés, en outre, d'un David Trezeguet fantomatique. L'attaquant de la Juventus Turin, quand il ne marque pas, ne sert strictement à rien. Les fameux cadres de l'équipe, les Thuram, Desailly, Vieira, ont bien réclamé le retour d'un milieu à trois récupérateurs, comme en 1998 ou 2000. Jamais Jacques Santini n'a plié, il s'est contenté d'adapter son 4-4-2.
C'est ainsi, au gré de tous ces paramètres techniques, que les Bleus, désemparés, se sont lentement fanés, égarant leur prestige, écornant leur palmarès.
C'est donc la fin d'une génération. Celle des grognards de 1998, des rescapés de 2002. Pénétrés de leur importance, ils n'auront pas su discerner leur déclin. Ils auront préféré rechercher tous les prétextes possibles, du manque d'espaces proposé par les adversaires – c'est pourtant le principe même du football – aux questions trop insidieuses des médias. Pas l'ombre d'une remise en cause, d'un brin de lucidité. Le constat est aujourd'hui sans appel ; une équipe de France un brin conquérante, vive et enthousiaste, aurait dû ne faire qu'une bouchée de Grecs limités, de Croates fatigués, de Suisses résignés.
Retranchés dans leur bunker palace de Santo Tirso, épargnés par des entraînements aux allures de jeux d'enfants, les Bleus ont failli dans tous les domaines. Les héros d'hier ont cruellement déçu. Il faut aujourd'hui analyser rapidement les causes des échecs des Bleus depuis deux ans, et cesser de se voiler la face. L'encadrement de l'équipe de France est le même depuis vingt ans, Zinédine Zidane en a 32, nos schémas de jeu ont vieilli. En football comme ailleurs, il faut savoir évoluer. Et faire table rase du passé.
Gérard Davet
Vive Tigana ! Il faut de la rigueur à cette équipe de France ! Plus de copinage et de tergiversations quand il faut écarter un DESAILLY !!!
J'ai pourtant bien peur que Blanc ne succède au Santini...
