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Version complète : Cascarino dit avoir reçu des injections à l'OM
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Toujours Michel Henry, décidément en pleine bourre :allvert:

Grâce aux déclarations des anciens Olympiens Tony Cascarino et Chris Waddle dans la presse britannique (lire Libération de vendredi), on croit savoir pourquoi l'OM carburait autant au bon temps de Bernard Tapie : les Olympiens recevaient de bonnes piqûres (Tapie conteste vigoureusement). Depuis, on a perdu la recette. Mais le médecin de l'époque a gentiment donné la clé au journal la Provence : rien d'illégal. Ouf. Des vitamines, des «fortifiants autorisés», ou des «piqûres avec de l'eau», pour faire croire aux joueurs qu'on leur injectait un truc, tout en ne leur injectant rien, voyez la finesse. Le foot, c'est avant tout de la psychologie.

Les shoots à l'eau, voilà ce qui manque à Perrin, actuellement dans la seringue. La trêve arrive à point nommé. Deux semaines de piquouzes à la flotte pour tout le monde, et en janvier, l'OM pétera le feu. Sinon, Alain Perrin a promis soit de sourire, soit de manger sa collec' de cahiers Clairefontaine (il en a un paquet, et de grandes tailles), soit de prononcer dix fois le nom du prochain adversaire en coupe UEFA, Dnipropetrovsk, tout en épelant celui des joueurs (Poklonskyy, Yezerskyy, Maksymyuk, Valyayev, Komarnitskiy, Venhlinskyy, etc.). L'avantage ? Simple : pendant que les Marseillais seront à l'intraveineuse magique, les Ukrainiens, eux, ne fichent rien. Leur championnat est arrêté jusqu'en mars. Les 26 février et 3 mars, ils rentreront à peine de vacances pour se taper l'OM, une chance. Mieux ! Là-bas, ils ne peuvent pas se faire de piqûre à l'eau : ça gèle dans les tuyaux.
Campana a écrit :Toujours Michel Henry, décidément en pleine bourre :allvert:

Grâce aux déclarations des anciens Olympiens Tony Cascarino et Chris Waddle dans la presse britannique (lire Libération de vendredi), on croit savoir pourquoi l'OM carburait autant au bon temps de Bernard Tapie : les Olympiens recevaient de bonnes piqûres (Tapie conteste vigoureusement). Depuis, on a perdu la recette. Mais le médecin de l'époque a gentiment donné la clé au journal la Provence : rien d'illégal. Ouf. Des vitamines, des «fortifiants autorisés», ou des «piqûres avec de l'eau», pour faire croire aux joueurs qu'on leur injectait un truc, tout en ne leur injectant rien, voyez la finesse. Le foot, c'est avant tout de la psychologie.

Les shoots à l'eau, voilà ce qui manque à Perrin, actuellement dans la seringue. La trêve arrive à point nommé. Deux semaines de piquouzes à la flotte pour tout le monde, et en janvier, l'OM pétera le feu. Sinon, Alain Perrin a promis soit de sourire, soit de manger sa collec' de cahiers Clairefontaine (il en a un paquet, et de grandes tailles), soit de prononcer dix fois le nom du prochain adversaire en coupe UEFA, Dnipropetrovsk, tout en épelant celui des joueurs (Poklonskyy, Yezerskyy, Maksymyuk, Valyayev, Komarnitskiy, Venhlinskyy, etc.). L'avantage ? Simple : pendant que les Marseillais seront à l'intraveineuse magique, les Ukrainiens, eux, ne fichent rien. Leur championnat est arrêté jusqu'en mars. Les 26 février et 3 mars, ils rentreront à peine de vacances pour se taper l'OM, une chance. Mieux ! Là-bas, ils ne peuvent pas se faire de piqûre à l'eau : ça gèle dans les tuyaux.

sans dec, invite-le ici paysan !!! :bienjoué:
On est rassurés, Casoni dément (du verbe démentir, hein, pas Casoni dément comme inapte intellectuellement, enfin pas encore)

L'Est Républicain, 20/12/03
Aucun dopage organisé

- Bernard, preniez-vous régulièrement des piqûres avant les matches avec l'OM ?

- Oui. Mais il ne s'agissait pas de substances interdites. C'était de la mésothérapie. Selon le résultat de nos examens sanguins, les docteurs essayaient de nous aider à enchaîner les rencontres tous les trois jours, en nous donnant du fer par exemple.

- Aviez-vous le droit de refuser ?

- Bien sûr. Nous n'avions aucune obligation. Les injections n'étaient faites qu'aux joueurs qui en avaient besoin.

- Vous êtes-vous posé des questions ?

- Oui. La première fois que les médecins sont venus me voir avec une seringue, je les ai regardés bizarrement. Et je leur ai demandé des explications. Jean Duby ainsi que Jean Coste m'ont clairement dit que leurs injections comportaient des vitamines. Même Bernard Tapie se faisait parfois piquer avant le coup d'envoi. Ça valait une boisson énergétique

- Vous exagérez...

- Non, vraiment, un footballeur de très haut niveau s'habitue à ce genre de pratiques. Il a besoin d'être suivi médicalement pour pouvoir donner le meilleur de lui-même. Croyez-vous que les Verts de Saint-Etienne, en 1976, récupéraient de leurs efforts uniquement en mangeant des pâtes et en faisant des étirements ? Le haut niveau exige des préparations pointues. D'ailleurs, quand j'allais en équipe de France, les toubibs sortaient également des piqûres.

- Pourquoi, alors, Cascarino et Waddle s'étonnent-ils du traitement qu'ils ont reçu à Marseille ?

- Je ne sais pas. En tout cas, c'est toujours facile d'attaquer sans preuve. Je me rappelle qu'une polémique avait éclaté, en 1988-89, lorsque Bruno Germain et Eric Di Meco avaient manqué un contrôle antidopage parce qu'ils avaient quitté le stade à la mi-temps. Mais moi, je peux vous garantir qu'il n'y avait aucun dopage organisé à l'OM.
L'OM n'en finira donc jamais de s'attirer ce genre de polémiques sur le dos... :fâché:
Caso ça c'est un gars bien :bienjoué:
Du même Casoni, cité par le Monde le 20/12 sans aucun réaction depuis

"On nous appliquait dans le bas du dos un pistolet à air comprimé qui comprenait plusieurs fléchettes, quatre je crois. Le but était de stimuler les glandes surrénales qui sécrètent naturellement des hormones. C'était plus psychologique qu'autre chose : il suffisait que tu fasses un bon match pour que tu aies envie de recommencer".

Ah, beh, le produit en question devait être du Synacthène et dans ce cas, cela s'appelle clairement du dopage, mon bon Caso.... :houlapasf
Campana a écrit :Du même Casoni, cité par le Monde le 20/12 sans aucun réaction depuis

"On nous appliquait dans le bas du dos un pistolet à air comprimé qui comprenait plusieurs fléchettes, quatre je crois. Le but était de stimuler les glandes surrénales qui sécrètent naturellement des hormones. C'était plus psychologique qu'autre chose : il suffisait que tu fasses un bon match pour que tu aies envie de recommencer".

Ah, beh, le produit en question devait être du Synacthène et dans ce cas, cela s'appelle clairement du dopage, mon bon Caso.... :houlapasf


J'allais le dire mon cher collègue... Et la version très romancée de notre ami Caso révèle en fait l'usage d'un outil que je connais bien et qui fonctionne à l'air comprimé: le Dermojet!
Le dopage aux stéroïdes endogènes a donné dans d'autres sports (de couples)... des champions du Monde... Français.
Sacré Nanard, tout pour une coupe... Vraiment tout, j'suis pas surpris! C'est sans doute ça avoir une âme de battant...
Ah mon avis, Cascarino a pas tout compris.
C'était pas des injections, c'était un tatouage. Qu'il se regarde en face, le cul dans une glace et il lira : "Mort aux cons mis en bière"
cabotdelaceze a écrit :Ah mon avis, Cascarino a pas tout compris.
C'était pas des injections, c'était un tatouage. Qu'il se regarde en face, le cul dans une glace et il lira : "Mort aux cons mis en bière"

:valatomb:
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