opiOM.net

ton oncle a écrit :oui, comme je suis nouveau je reponds un peu en retard
"La geole" d'Hubert Selby
L'histoire d'un mec qui est en taule a cause de deux flics et qui magine les pires sevices pour se venger, comme les reduire a l;etat d'animaux par exemple.
Un bon bouquin pour l'ete.

Excellent livre et du même auteur, si tu l'a pas déjà lu, je te conseille le Démon une grosse claque pour ma part.

"MOON", de Tony Hillerman,

le seul roman , avec "la mouche" qui ne se déroule pas dans les réserves navajos.

Il se déroule aux Philippines, au moment de la chute de Saïgon.
Monn dont le frère pilote d'hélico a été tué apprend que ce dernier a eu une fille dont on ne sait trop où elle est, et il part à sa recherche.

On y retrouve toute l'humanité d' Hillerman...et comme toujours avec cet auteur que l'on considère vite comme un ami, un excellent bouquin!

KOKOPELLI a écrit :"MOON", de Tony Hillerman,

le seul roman , avec "la mouche" qui ne se déroule pas dans les réserves navajos.

Il se déroule aux Philippines, au moment de la chute de Saïgon.
Monn dont le frère pilote d'hélico a été tué apprend que ce dernier a eu une fille dont on ne sait trop où elle est, et il part à sa recherche.

On y retrouve toute l'humanité d' Hillerman...et comme toujours avec cet auteur que l'on considère vite comme un ami, un excellent bouquin!

J'abonde pour Hillerman! Excellent. A ce propos un excellent auteur d'origine indienne (Pueblo, par sa mère) vient de sortir un nouvel épisode de la "série Arkadi Renko" c'est Martin Cruz Smith.


Je recommande ce livre. En fait je recommande tout ce qu'il a écrit... Mes préférés sont bien sûr Gorki Park et surtout Rose

beepees a écrit : J'abonde pour Hillerman! Excellent. A ce propos un excellent auteur d'origine indienne (Pueblo, par sa mère) vient de sortir un nouvel épisode de la "série Arkadi Renko" c'est Martin Cruz Smith.


Je recommande ce livre. En fait je recommande tout ce qu'il a écrit... Mes préférés sont bien sûr Gorki Park et surtout Rose

je ne connaissais pas, j'ai bien noté!

brighella a écrit :Excellent livre et du même auteur, si tu l'a pas déjà lu, je te conseille le Démon une grosse claque pour ma part.

Tres bon en effet.
Ne nous arretons pas en si bon chemin : Last exit to brooklyn

cetace a écrit :Koko l'avait évoqué avec émotion...
http://www.opiom.net/forums/showpost.php...tcount=327

Lu en quelques jours, oppressant à souhait. Terrible :y:

J'attaque "La fascination du pire" de Zeller, histoire de voir ce qu'est un auteur "à la mode", souvent chéri par les critiques.

reçu dans ma bal..ça a l'air plutot interessant pour les résidents idf

Performants Auteurs


Chloé Delaume / Emmanuelle Pireyre / Paul-Armand Gette / Joseph Mouton

à la Ménagerie de verre, les mercredi 4, jeudi 5, vendredi 6 et samedi 7 octobre, à 20h30

Une proposition de Jérôme Mauche


© Emmanuelle Pireyre

Quatre soirées, quatre auteurs entre performance, littérature et art contemporain



ménagerie de verre_ 12/14 rue Léchevin _ Paris 11 _ 01 43 38 33 44 _
www.menagerie-de-verre.org _ métro Parmentier _ bus 96

Chloé Delaume
NT_01 : La map peut être le territoire


Mercredi 4 octobre, 20h30
Premier opus d’un cycle de travail texte/son qui sera développé, cette intervention explore les possibles définitions du mot Neuroterrorisme. Soit l’emploi systématique de la violence sur le cerveau pour atteindre un but politique, comme ne le dit pas encore le Petit Robert.
Chloé Delaume, née en 1973, intervient de multiples manières dans le champ littéraire et au-delà avec le souci d’une expérimentation constante de la langue et des formes.

Emmanuelle Pireyre
Comment faire disparaître la terre ?


Jeudi 5 octobre, 20h30
En une séance Emmanuelle Pireyre se propose de faire disparaître la terre avec les moyens contemporains du bord (textes, diapos, vidéo, schémas). Et elle y parvient !
Emmanuelle Pireyre, née en 1969, conçoit livres et interventions comme autant d’installation de ses textes brillants, incisifs et novateurs. Depuis la parution de Congélations et décongélations, Emmanuelle Pireyre poursuit une ?uvre inclassable qui mêle poésie, prose, essai. Comment faire dispaître la terre ? - son 3ème livre – s’affranchit des genres littéraires, en mêlant des données statistiques réelles ou fictives, et des aperçus sociologiques, avec un humour mordant.

Paul-Armand Gette
Dissimulation & dévoilement d’Artémisprécédé desStrates
Vendredi 6 octobre, 20h30
Dissimulation & dévoilement d’Artémis (nouvelle version 2006) est une lecture théâtralisée évoquant les rapports de l’artiste avec la divinité de la nature vierge, sans que l’on sache très bien qui est vierge de la nature ou de la déesse.
Elle sera précédée des Strates (1967), livret d’opéra géologique. Paul-Armand Gette, né en 1927, est artiste et écrivain. Il expose en France comme à l’étranger. Artiste aimant à brouiller les pistes, il produit une ?uvre située sur des lisières, celles qui passent entre l’art et la science, l’art et la nature, recherchant les dimensions métaphoriques des lieux du corps et des paysages. Paul-Armand Gette se plaît à faire appel à de nombreux outils scientifiques relevant de la botanique, de la géologie ou de l’entomologie, opérant des glissements d’une forme à une autre et surtout d’un champ vers un autre, par exemple des sciences de la nature jusqu’à la mythologie en passant par la sexualité féminine.

Joseph Mouton
Delenda ouest


Samedi 7 octobre, 20h30
« Delenda ouest tient du dédale, assurément, dans le west end, voire à l'ouest d'Éden. On s'y perd, on y retrouve ; l'auteur tel qu'en lui-même le change, la vie non-éternelle ; on en ressort lessivé (par cette machine Laden), mais plus heureux » dixit Josyane Kéchichian.
Joseph Mouton, né en 1954, enseigne l'esthétique à la Villa Arson à Nice et est l’auteur d’ouvrages de philosophie, Son projet présenté à la Ménagerie entrelace narrations, attitudes et réflexions tour à tour tragiques, percutantes, hilarantes.


Tarif
7 euros tarif unique

ménagerie de verre reçoit le soutien du ministère de la Culture et de la Communication (Drac Ile de France), de la Région Ile de France, de la ville de Paris, de l'Adami et de l'ONDA.

Serge le psychopathe est de retour!
Dans ce livre l'auteur nous apprend aussi comment remplacer la pipe à eau par un poulet et une spontex pour avoir la fumée au goût ... poulet.

Je suis en train de lire Hammerhead Ranch Motel du même auteur, je confirme c'est joliment déjanté !

cetace a écrit :Je suis en train de lire Hammerhead Ranch Motel du même auteur, je confirme c'est joliment déjanté !

Serge fait des émules!

Pour ceux qui veulent en savoir plus: http://www.timdorsey.com/books.html

beepees a écrit : Serge fait des émules!

Pour ceux qui veulent en savoir plus: http://www.timdorsey.com/books.html

Une petite fait l'avion avec votre Serge ? @ Kodiak

cetace a écrit :Une petite fait l'avion avec votre Serge ? @ Kodiak

:lol: Cétacé se déride

Je viens de découvrir cet auteur de polar : Franck Thiliez

dans : Deuils de miel

A noter une sensible ressemblance avec le "silence des agneaux" et surtout le moins connu "dragon rouge".

je crois qu'avant d'attaquer le livre cité plus haut, une première partie existe avec ce roman "train d'enfer pour ange rouge".

je viens de voir qu'il est né dans la même ville que moi, il ne doit donc pas être très fort en informatique

Plus de détails ici : www.auteursdunord.com

Paddy a écrit :Je viens de découvrir cet auteur de polar : Franck Thiliez

dans : Deuils de miel

A noter une sensible ressemblance avec le "silence des agneaux" et surtout le moins connu "dragon rouge".

je crois qu'avant d'attaquer le livre cité plus haut, une première partie existe avec ce roman "train d'enfer pour ange rouge".

je viens de voir qu'il est né dans la même ville que moi, il ne doit donc pas être très fort en informatique

Plus de détails ici : www.auteursdunord.com

Vuiii je suis entrain de terminer un de ses bouquins...dont le titre m'échappe.
Pas mal écrit.
Mais glauque...très glauque. Pas une once de début d'humour ou de légerté.

keyser a écrit :Vuiii je suis entrain de terminer un de ses bouquins...dont le titre m'échappe.
Pas mal écrit.
Mais glauque...très glauque. Pas une once de début d'humour ou de légerté.

vrai, c'est relativement noir, on a l'impression qu'aucun échapatoire nous est offert lorsque l'on a commencé à mettre le nez dans le livre, hormis le faite de le finir.

Mais c'est très bien ficelé, les indices sont livrés intelligemments au compte goutte et on souffre à travers ses personnages. Et ce lien permanent avec le coté police scientifique et toute la menée de l'enquête est vraiment prenant.

Tiens, d'ailleurs, sur son site, un quizz sur le sujet. Bon courage :blondblush1:

Je suis en train de finir le dernier des trois livres empruntés à la Bibliothèque de l'Alcazar du maître du polar britannique John Harvey et son personnage attachant l'inspecteur Charlie Resnick, une belle découverte en ce qui me concerne, c'est superbe !

Ayé j'ai trouvé :

C'est ça que je terminerai certainement ce soir d'ailleur
Le Silence des agneaux, en version ch’timi. Voilà ce qu’a réussi cet auteur inconnu, ingénieur en nouvelles technologies de son état, prouvant que les Français sont capables d’écrire de très bon thrillers. Celui-ci débute de nos jours, sur une route déserte du nord de la France. Une voiture renverse un homme qui transportait un sac contenant deux millions d’euros. À son bord, Vigo et Sylvain, deux informaticiens au chômage, décident de garder le magot et de faire disparaître le corps. Quelques heures plus tard, Lucie Henebelle, du commissariat de Dunkerque, qui enquête sur la découverte du corps d’une fillette aveugle, découvre sur les lieux du crime des traces de pneu et une paire de lunettes appartenant au père de la victime venu verser une rançon... Commence alors une course contre la montre pour sauver des griffes d’un serial killer une autre jeune fille kidnappée. L’enquête dévoile un trafic de femelles loups, singes, chiens ou chats, le massacre et le dépeçage d’animaux mâles, l’adoration de poupées. Bref, toutes les pièces du puzzle qui composent l’identité du psychopathe. Si l’on reproche parfois aux polars de négliger la forme, l’écriture ciselée de Thilliez sert l’histoire à merveille. Mieux, elle en accentue le relief et son suspense. L’on comprend très vite pourquoi ce deuxième roman s’est vendu à près de 20 000 exemplaires en quelques semaines.


Humm...vive les taxidermistes

Paddy a écrit :Je viens de découvrir cet auteur de polar : Franck Thiliez

dans : Deuils de miel

A noter une sensible ressemblance avec le "silence des agneaux" et surtout le moins connu "dragon rouge".

je crois qu'avant d'attaquer le livre cité plus haut, une première partie existe avec ce roman "train d'enfer pour ange rouge".

je viens de voir qu'il est né dans la même ville que moi, il ne doit donc pas être très fort en informatique

Plus de détails ici : www.auteursdunord.com

C'est un auteur que j'ai découvert récemment avec " La chambre des morts " .

J'ai vraiment adoré le style de ce romancier c'est pourquoi je viens de commander " La forêt des ombres " du même auteur.


Plus récemment, j'ai fini le roman de Steve Hodel, ancien inspecteur de Los Angeles, qui a mené sa propre enquête sur le meutre d'Elizabeth short, celle qu'on appelait Le dahlia noir : Troublant .

Préface de James Ellroy, l'auteur du Dahlia noir .

Nathan a écrit :C'est un auteur que j'ai découvert récemment avec " La chambre des morts " .

J'ai vraiment adoré le style de ce romancier c'est pourquoi je viens de commander " La forêt des ombres " du même auteur.


Plus récemment, j'ai fini le roman de Steve Hodel, ancien inspecteur de Los Angeles, qui a mené sa propre enquête sur le meutre d'Elizabeth short, celle qu'on appelait Le dahlia noir : Troublant .

Préface de James Ellroy, l'auteur du Dahlia noir .

Si tu aimes l'histoire du Dahlia noir un autre bouquin est sorti récemment:

beepees a écrit :Si tu aimes l'histoire du Dahlia noir un autre bouquin est sorti récemment:

C'est un autre éclairage sur cette affaire, intéressant; mais que penser alors???

Merci pour l'information, je l'avais aperçu chez mon libraire favori et je vais sans doute me le prendre comme le roman de John Gilmore intitulé " On l'appelait le dahlia noir " .