opiOM.net

J' ai beaucoup apprécié ce livre. Facile à lire avec une écriture fluide. C' est un peu le "journal intime" d' un bistrot Africain.
Du même auteur, j' ai lu "Mémoires d' un Porc épic", sympas aussi plus "légendes ou contes" qu' une histoire à proprement parlé, et aucune ponctuation!.
Et je vais commencé,sans tardé, toujours d' Alain Mabanckou: "Les petits fils négres de Vercingétorix" histoire d' un coup d' état militaire dans un pays fictif.

Du même auteur. Un gars pommé prend pour modéle un serial Killer avec là aussi,une similitude avec Looking for Eric même si moins évidente.

Kornog a écrit :là aussi,une similitude avec Looking for Eric même si moins évidente.

Hop hop hop, jeune homme : je n'ai pas été assez clair mais je pense que dans la similitude entre Slam et Looking..., c'est le film qui utilise le "truc" du livre et non l'inverse ! La publication du Hornby date de 2007, or le film de Loach (scénrario des Cantona) est sorti en mai 2009. Si il y a pompage c'est dans ce sens et non l'inverse :smoke1:

La similitude est beaucoup moins clair dans ce livre, qui est aussi sorti largement avant le film. Juste l' idée que le protagoniste "parle" avec son idole;)

Les frères Strougatsky sont à l' honneur sur Libé aujourd'hui, à la fois sur le papier et dans une version audio bien pénible à écouter.

http://www.liberation.fr/culture/0601203...EPR-450206

On y parle beaucoup de Stalker, bien connu grace au film culte qui en a été tiré.

Pour mémoire, les deux frangins ont utilisé la SF car c' était pour eux la seule possibilité de critique dans une URSS triomphante, à moins de faire le choix du goulag.

Le Lundi commence le Samedi
La Troïka
Deux romans qui ont pour cadre un Institut de recherche dédié à la magie et au paranormal, avec bien entendu les gentils mages en butte à l' incompétence de l' Administration et de certains apparatchicks. Succulent (surtout le premier)

Il est difficile d' être un Dieu
Un gars de l' enfer
Changement de décor, une mission d' exploration/etude sur une planète lointaine à la civilisation médiévale.
L' approche choisie est l' immersion complète de quelques chercheurs, et leur problème est de ne pas influencer le développement de cette culture ... des cas de conscience devant des situations atroces.

Les mutants du brouillard
Le scarabée dans la fourmilière
... on se pose des questions sur ce qu' est être humain.

Tout cela ne doit plus se trouver que chez les bouquinistes, n' hésitez pas :happy2:

Terminé hier "Nous Autres " de Ziamatine



Ecrit en 1920, l'auteur, très critiqué dans l'URSS de l'époque, s'adresse à des lecteurs du passé alors que l'histoire se passe plus de 1000 ans après notre ère.
Ce monde, gouverné par les mathématiques, voit les hommes numérotés comme des machines sans aucune liberté individuelle.
La trame tourne autour de D-503, le concepteur d'un vaisseau spatial ; l'intégrale, fabriqué pour prêcher la bonne parole dans l'univers.

Si vous avez lu "Le meilleur des mondes" d'Huxley ou 1984 d'Orwell, ce livre semble avoir été une vraie source d'inspiration pour ces auteurs.

Attention à l'écriture cependant qui peut être assez difficile à suivre par moment.

Pour ceux qui veulent se lancer dans Dexter version bouquin.
J'ai lu les 3 premiers (il me semble qu'il en existe 4 en tout pour le moment).

Dans "ce cher Dexter, rien ne neuf sous le soleil, ça commence exactement comme le début du tout premier épisode (remember les enfants sortis de terre...)
Ce qui est différent, c'est la voix off de Dexter qui retenti beaucoup plus souvent et qui montre vraiment un personnage tourmenté, beaucoup plus appuyé que dans la série.

Ensuite, les 2 autres volumes dérivent un peu, il y a de sacrés surprises

Gros spoilers !!!
- les deux enfants de Rita sentent qu'il y a un truc qui cloche. Dexter le voit et va donc les initier comme Harry l'avait fait pour lui
- Doakes le flic qui file Dexter et qui meure dans la saison 2. et bien lui ne meure pas dans les marias mais en revient inhumainement mutilé
- Maria Laguerta meure dans le premier bouquin, tuée par dexter
- le frère de Dexter ne meure pas mais aucune nouvelle n'est donné ensuite).

Et des petits évènements à la limite du fantastique font leur apparition.
il est vraiment clair que dans ces bouquins, dexer a un double intérieur qui prend une grosse importance dans ses faits et gestes (le passager noir)

Tain' le Raydo... le jour ou il écrit un bouquin... le Jackpot!

markom a écrit :Tain' le Raydo... le jour ou il écrit un bouquin... le Jackpot!

J'aurais plutôt titré le Jackass en l'occurence :smoke1:

cetace a écrit :A propos de grande claque livresque...un style troublant et douloureux !

J'ai essayé de tenir 1/3 du bouquin mais je ne suis jamais arrivé à entrer dans l'histoire.
J'ai trouvé la mise en place super brouillonne, on saute du coq à l'âne dans l'intrique, des personnages qui sortent d'on ne sait où qu'il faut qu'on s'assimile très vite. J'ai été complètement largué...
Et la narration est aussi déroutante parfois - construction de phrases zarbi ou il manque des éléments.

Il me reste le film pour tenter une dernière approche. Mais le bouquin, je l'ai rendu (le tome 2 avec que j'avais anticipé)

Je l'ai prêté à Kokopelli et il n'est pas allé plus loin que toi...

C'est déroutant en effet !

Je suis retombé là-dessus. Je l'ai relu avec un bonheur égal. Peut-être en avez vous déjà parlé. Tant pis pour le rouquin. Chef d'oeuvre de la littérature épistolaire qui se lit en 1H, texte court, idéal pour ceux qui reculent devant les pavés à la plage.

Inconnu à cette adresse

"Ce roman de [SIZE=4]Kressmann Taylor publié en 1938 capte l’Histoire par des instantanés, décrit sans complaisance ni jugement des tragédies individuelles et collectives, et reflète des sentiments humains et des idéologies encore actuelles.[/SIZE]
Cette histoire fictive est fondée sur des lettres réelles."






Correspondance amicale et diabolique de 1932 à 1934 entre un Juif américain, Max Eisenstein, vivant à San Francisco, et son associé allemand de la galerie de peinture, Martin Schulse, rentré à Munich.

Fly&familystone' a écrit :Je suis retombé là-dessus. Je l'ai relu avec un bonheur égal. Peut-être en avez vous déjà parlé. Tant pis pour le rouquin. Chef d'oeuvre de la littérature épistolaire qui se lit en 1H, texte court, idéal pour ceux qui reculent devant les pavés à la plage.
Inconnu à cette adresse




Correspondance amicale et diabolique de 1932 à 1934 entre un Juif américain, Max Eisenstein, vivant à San Francisco, et son associé allemand de la galerie de peinture, Martin Schulse, rentré à Munich.

Excellent petit livre, qui l'air de rien, nous envoie une claque aller-retour du plus bel effet. C'est clair, net, précis, l'intrigue se monte d'elle-même sans qu'on s'en rende compte.

Magnifique, comme quoi, pas besoin de 500 pages pour écrire un livre excellent (spéciale dédicace à Gavalda :smoke1:)

C'est un chef d'oeuvre

Je viens de finir Le Club Dumas d'Arturo Perez-Reverte, c'est extra

C'est le livre qui a inspiré La neuvième porte de Roman Polanski.

L'amoureux de littérature qu'est Cétacé ne devrait pas rester insensible au talent de l'auteur et à la qualité de son écriture.

J'ai hâte de recevoir le Tableau du peintre Flamand qui est actuellement en commande.

Kodiak a écrit :Je viens de finir Le Club Dumas d'Arturo Perez-Reverte, c'est extra

C'est le livre qui a inspiré La neuvième porte de Roman Polanski.

L'amoureux de littérature qu'est Cétacé ne devrait pas rester insensible au talent de l'auteur et à la qualité de son écriture.

J'ai hâte de recevoir le Tableau du peintre Flamand qui est actuellement en commande.

Je l'ai acheté 0.50 € à l'Emmaus du coin, c'est le prochain sur la liste...
Dès que j'aurais terminé Cousu main de Carl Hiaasen qui me semble prometteur au bout de 30 pages.

Tofinou a écrit :Pff, j'avais dit que je ne me laisserais probablement plus avoir. Ben j'ai craqué : j'ai lu le dernier Camilla Läckberg, L'oiseau de mauvais augure.



Et j'aurais pu m'en passer. Toujours rapide à lire, mais beaucoup trop prévisible, un peu redondant parfois... C'est sympathique de voir le couple de héros évoluer dans leur vie privée mais ça frise bientôt le Barbara Cartland.

L'auteure tient sa petite affaire qui roule, grand bien lui fasse mais c'est au détriment d'une fraîcheur d'écriture nécessaire dans une série comme celle-là.

Faut pu qu'j craque, faut pu...

Je viens de le terminer.

Disons que tous les bouquins de cette série sont construits de la même façon, donc ça devient un poil "prévu et conventionnel".

ça commence par des mots en italique d'une personne inconnue. très mystérieux. Et ces mots reviennent environ tous les 40-50 pages.
Ensuite, l'enquête progresse toujours de la même façon. Et cette façon de finir la phrase juste avant lorsqu'un un élément clé est découvert, ça porte son lot de frustration.

Après, comme tu dis, il y a la vie du couple et de son entourage.

MAis j'ai trouvé cette dernière enquête quand même pas mal tiré par les cheveux, dommage ça semblait pourtant bien commencer.

Mais je suis sûr que je craquerais surement pour le prochain.

Sinon, comment il s'est fait enfler leur boss avec la petite blonde qui s'est taillé avec ses thunes en Espagne

Je viens de finir Eté de Mons Kallentoft, la suite de Hiver (déjà conseillé il y a peu). Bah comme on dit vivement la suite

paddy a écrit :Sinon, comment il s'est fait enfler leur boss avec la petite blonde qui s'est taillé avec ses thunes en Espagne

Je me tentais à le lire... Mais vu qu'il y a plus de suspence, je vais pencher sur autre chose
Je ne te remercie papa a dis

bouillabaisse a écrit :Je me tentais à le lire... Mais vu qu'il y a plus de suspence, je vais pencher sur autre chose
Je ne te remercie papa a dis

Bof, ça c'est l'aiguille dans la botte de foin, sans importance pour la trame du bouquin

Purée, l'humeur du boss dans le prochain roman va retomber à son apogée

Sinon, Kodiak, j'ai, sur tes conseils, j'ai commandé été et hiver (ça changera de la redoute).