opiOM.net

SONY a écrit :Pas moi, je trouve ça très laid et complétement anti sportif cette nouvelle manière de procéder.
Je suis l'arbitre, je fais jouer la touche

Hellborg a écrit :Tu préfèrerais que l'arbitre ne lasse pas se finir l'action et siffle à la 80:00 comme au basket ou au hockey??

Hellborg a écrit :Je viens de regarder la première mi-temps de France-NZ... je vois pas ce que lui trouvez à Beauxis...

Citation :Yes the pass to Michalak is definitely a forward pass (at least that's what I saw).
And to be fair, the 1st All Blacks's try is also made on a forward pass.

Nil Sanyas a écrit :Un mec dans les commentaires dit ça :

C'est vrai ?

Citation :On connaissait "la France qui se lève tôt", si chère au Chef de l'Etat, un Laporte aux accents très "sarkozien" a évoqué à son tour "la France qui ne fait que détruire", adressé à l'intention de tous ces consultants et anciens joueurs de l'équipe de France dont, selon le futur secrétaire d'Etat aux sports, certains commentaires auraient "blessé" quelques uns de ses joueurs: "C'est la France que je n'aime pas, celle qui ne fait que critiquer. Qu'ils créent, qu'ils fassent des choses, après, on en reparlera. Je sentais quelques joueurs blessés et c'est pour ça que je l'ai dit parce que, moi, mes joueurs, je les respecterai jusqu'à la fin." Des joueurs qui, même si le document était resté anonyme, avaient fait passer un premier message en laissant traîner à Marcoussis un fameux Quinze des amnésiques et des raisonnements. Insuffisant pour Laporte qui a cru nécessaire d'en rajouter une couche au lendemain de ce sommet pour le rugby français: "J'ai fait passer un message parce que c'est la France que je n'aime pas, la France qui ne fait que détruire, qui fait que dire du mal. Moi, mes joueurs, je les respecte et je veux qu'on les respecte. S'ils avaient gagné, ces gens-là, s'ils avaient été meilleurs que les autres, on les écouterait. Et malheureusement, ils n'ont pas gagné et on n'a pas envie de les écouter. Et s'ils n'ont que du fiel dans la bouche, on est désolé pour eux, peut-être qu'aujourd'hui, ils pleurent. Ils iront à l'église ou ils feront ce qu'ils voudront, je ne sais pas s'ils sont croyants. Ils auront de quoi quand même se réconforter..."