30-05-2011, 18:07
Le mot de la vioque
C’est en roue libre que nos biquettes ont fini et joué pour du beurre. J'ai fait de même. La défense a logiquement patiné et l’attaque s’en est payée une bonne tranche. Tout pareil que votre mama, donc.
Le film du match
Les caennais pas sûr de rester dans le ventre mou de l’élite se sortaient les tripes et scoraient d’entrée (6ème) par Mollo. Dur pour des marseillais fringants devant, mais qui avaient semble-t-il rendu toutes leurs consignes défensives et buvaient la tasse derrière. Juste avant la mi-temps, c’est sur un contre rondement mené que Niang nous collait le double. Le double de Niang vous aviez compris. Ouaf… Je me marre.
Le retour des vestiaires voyait un OM, vexé tel un ours de foire, poser sa patte velue sur le match et c’est dans le sillage tonitruant d'un Rémy déchaîné que nous revenions au score (67 et 89ème). Deux bonnes notes coup sur coup pour Rémy. Ouaf, Ouaf… Je me marre encore.
Comme à quasi tous les matchs de ce sprint final, celui ci, même en bois, ne faisait pas exception à la règle, L’OM se prenait sa paire et pouvait se la mordre à la fin.
"C’est là qu’on le perd l’Hexagoal, en faisant trop d’impair par paire!" disait le père Pètuel à ses pairs. Des pères pas mal amers comme votre mère qui un peu s’y perd… Mais au bout du compte rien de nouveau sous le soleil de France dont on est plus les champignons du doubletto. Sniff ! … Je me marre moins.
Pendant ce temps là, Lille ne perdait pas le Nord et rajoutait du Panache à sa bière pour bien se faire mousser et le Père Pierre Mondy s’imposait à Monaco. Un comble. Ce ne fut pas vain. Millions quand tu nous tiens ! Voilà le tiercé de l’année et y a pas eu photo pour les préliminaires.
Les notes de mama cass
En Jambes : Rémy, Ayew, Valbu
En tongues : Dieu et Les autres
En partance : Lucho
En vrac : Kaboré
En voyage de noces : M’bia
Entre deux chaises : Deschamps
Conclusion
Sinon les pious-pious, siouplait pour mon été, refaites moi l’équipe de votre jardin l’orteil en éventail près du barbecue puant la chipolata cramée.
Dépensez du brousoufs jusqu’à plus soif de rosé et reprenez une part de Margarita pour acheter des petits messies au prix de l’œil et du bras d'honneur. Quand on OM on ne compte pas, on flambe. Sortez vos billets de Monopoly de la banque et votre calculatrice en carton pour le mercato imaginaire. J’adore.
Faites courir les rumeurs comme le lapin d’Alice jusqu’aux merveilles insoupçonnées
de votre imagination débridée.
Faîtes vous plaisir et péter des ballons d’or bien frais. Parce que tout bien considéré, c’est la seule période de l’année où on l’a vraiment notre équipe de rêve.
A vos compos… On ferme et Droit au Rêve jusqu’à la prochaine recrue.
C’est en roue libre que nos biquettes ont fini et joué pour du beurre. J'ai fait de même. La défense a logiquement patiné et l’attaque s’en est payée une bonne tranche. Tout pareil que votre mama, donc.
Le film du match
Les caennais pas sûr de rester dans le ventre mou de l’élite se sortaient les tripes et scoraient d’entrée (6ème) par Mollo. Dur pour des marseillais fringants devant, mais qui avaient semble-t-il rendu toutes leurs consignes défensives et buvaient la tasse derrière. Juste avant la mi-temps, c’est sur un contre rondement mené que Niang nous collait le double. Le double de Niang vous aviez compris. Ouaf… Je me marre.
Le retour des vestiaires voyait un OM, vexé tel un ours de foire, poser sa patte velue sur le match et c’est dans le sillage tonitruant d'un Rémy déchaîné que nous revenions au score (67 et 89ème). Deux bonnes notes coup sur coup pour Rémy. Ouaf, Ouaf… Je me marre encore.
Comme à quasi tous les matchs de ce sprint final, celui ci, même en bois, ne faisait pas exception à la règle, L’OM se prenait sa paire et pouvait se la mordre à la fin.
"C’est là qu’on le perd l’Hexagoal, en faisant trop d’impair par paire!" disait le père Pètuel à ses pairs. Des pères pas mal amers comme votre mère qui un peu s’y perd… Mais au bout du compte rien de nouveau sous le soleil de France dont on est plus les champignons du doubletto. Sniff ! … Je me marre moins.
Pendant ce temps là, Lille ne perdait pas le Nord et rajoutait du Panache à sa bière pour bien se faire mousser et le Père Pierre Mondy s’imposait à Monaco. Un comble. Ce ne fut pas vain. Millions quand tu nous tiens ! Voilà le tiercé de l’année et y a pas eu photo pour les préliminaires.
Les notes de mama cass
En Jambes : Rémy, Ayew, Valbu
En tongues : Dieu et Les autres
En partance : Lucho
En vrac : Kaboré
En voyage de noces : M’bia
Entre deux chaises : Deschamps
Conclusion
Sinon les pious-pious, siouplait pour mon été, refaites moi l’équipe de votre jardin l’orteil en éventail près du barbecue puant la chipolata cramée.
Dépensez du brousoufs jusqu’à plus soif de rosé et reprenez une part de Margarita pour acheter des petits messies au prix de l’œil et du bras d'honneur. Quand on OM on ne compte pas, on flambe. Sortez vos billets de Monopoly de la banque et votre calculatrice en carton pour le mercato imaginaire. J’adore.
Faites courir les rumeurs comme le lapin d’Alice jusqu’aux merveilles insoupçonnées
de votre imagination débridée.
Faîtes vous plaisir et péter des ballons d’or bien frais. Parce que tout bien considéré, c’est la seule période de l’année où on l’a vraiment notre équipe de rêve.
A vos compos… On ferme et Droit au Rêve jusqu’à la prochaine recrue.