08-12-2011, 17:05
Au royaume des stats improbables et débiles, j’aimerais savoir si le long de notre chère Canebière, à cette période de l’année où le froid bouscule le vent pour s’installer entre nos couches de vêtements, le nombre de personnes s’appelant désormais 100% coton, a augmenté.
Il doit bien y avoir dans le lot quelques distraits qui veulent cacher un accident de repas, un dérapage de fourchette, une glissade de sauce, mais les autres, gageons qu’ils ont retourné leur veste.
Et tout ça à cause de l’OM. Opportunisme, girouette, tant et tant de noms (d’oiseaux pour la moitié d’entre eux), qui ne montrent qu’une chose : L’OM est reparti sur de bons rails. Il a suffi de 10 jours, il a suffi d’une victoire contre Paris, il a suffi que Gignac et Deschamps retournent leur veste hier.
Prise de conscience collective ? Fatigue de creuser un trou sans fin ? Responsabilisation d’un collectif ? Fin de la punition des primes de match ? Les causes d’un tel redressement semblent nombreuses.
Alors après un match épique contre Paris, après un match plein d'opportunisme contre Caen, après un retournement de situation héroïque contre Dortmund, les hommes de Deschamps reçoivent le Bordeaux de Gillot. Vais-je résister, là, tout de suite, à faire ce jeu de mot éculé sur Francis, ce Gillot empêtré qui ne fait ni la pluie ni le beau temps à Bordeaux ? Non.
Cette année sur les rives de la Garonne, Chabandes pas Delmas. Les années Blanc ne semblent pas digérées et le crue de cette année semble bien quelc
Il doit bien y avoir dans le lot quelques distraits qui veulent cacher un accident de repas, un dérapage de fourchette, une glissade de sauce, mais les autres, gageons qu’ils ont retourné leur veste.
Et tout ça à cause de l’OM. Opportunisme, girouette, tant et tant de noms (d’oiseaux pour la moitié d’entre eux), qui ne montrent qu’une chose : L’OM est reparti sur de bons rails. Il a suffi de 10 jours, il a suffi d’une victoire contre Paris, il a suffi que Gignac et Deschamps retournent leur veste hier.
Prise de conscience collective ? Fatigue de creuser un trou sans fin ? Responsabilisation d’un collectif ? Fin de la punition des primes de match ? Les causes d’un tel redressement semblent nombreuses.
Alors après un match épique contre Paris, après un match plein d'opportunisme contre Caen, après un retournement de situation héroïque contre Dortmund, les hommes de Deschamps reçoivent le Bordeaux de Gillot. Vais-je résister, là, tout de suite, à faire ce jeu de mot éculé sur Francis, ce Gillot empêtré qui ne fait ni la pluie ni le beau temps à Bordeaux ? Non.
Cette année sur les rives de la Garonne, Chabandes pas Delmas. Les années Blanc ne semblent pas digérées et le crue de cette année semble bien quelc