04-02-2012, 16:03
Paroles originales by Renaud
Musique à lancer pendant la lecture
Non, ne crois pas, p'tit gone,
me ressembler encore
tes supporters aphones,
et ton triste décor.
N'essaie pas de survivre,
déserte mes virages,
loin de toi, je veux vivre
dans le plus beau parcage.
Petite fille de Raymond Barre, dédaigne-moi,
Petite fille aux yeux hagards, tu m'oublieras.
J'ai trop longtemps vécu
de si mornes duels,
trop longtemps attendu
une petite étincelle.
J'ai besoin de soleil
et d'horizons moins gris,
je veux vivre Marseille
que, près de toi, j'oublie.
Petite fille de Raymond Barre, dédaigne-moi,
Petite fille aux yeux hagards, tu m'oublieras.
Je ne suis pas de ceux
que chasse la lumière,
et qui vivent heureux
un éternel hiver
De l'amour je ne veux
que les chants d'supporters,
lorsque j'aime les lieux,
je les aime sans barrière.
Petite fille de Raymond Barre, dédaigne-moi,
Petite fille aux yeux hagards, tu m'oublieras.
Mon chemin est tracé,
entends, la joie m'appelle,
je quitte tes lyonnaises,
ton triste Jean-Michel,
Je pars pour des royaumes
où l'OM attend la fête,
que le bonheur l'assomme,
et lui brûle la tête.
Petite fille de Raymond Barre, dédaigne-moi,
Petite fille aux yeux hagards, tu m'oublieras.
Laisse-moi tout gagner,
j'n'ai plus rien à te dire,
tu ne peux pas m'ressembler,
pour mon plus grand plaisir.
Retourne dans ta nuit,
au pied d'Part-Dieu la tour,
retourne dans l'ennui
qui habite tes jours.
Petite fille de Raymond Barre, dédaigne-moi,
Petite fille aux yeux hagards, je gagnera.
me ressembler encore
tes supporters aphones,
et ton triste décor.
N'essaie pas de survivre,
déserte mes virages,
loin de toi, je veux vivre
dans le plus beau parcage.
Petite fille de Raymond Barre, dédaigne-moi,
Petite fille aux yeux hagards, tu m'oublieras.
J'ai trop longtemps vécu
de si mornes duels,
trop longtemps attendu
une petite étincelle.
J'ai besoin de soleil
et d'horizons moins gris,
je veux vivre Marseille
que, près de toi, j'oublie.
Petite fille de Raymond Barre, dédaigne-moi,
Petite fille aux yeux hagards, tu m'oublieras.
Je ne suis pas de ceux
que chasse la lumière,
et qui vivent heureux
un éternel hiver
De l'amour je ne veux
que les chants d'supporters,
lorsque j'aime les lieux,
je les aime sans barrière.
Petite fille de Raymond Barre, dédaigne-moi,
Petite fille aux yeux hagards, tu m'oublieras.
Mon chemin est tracé,
entends, la joie m'appelle,
je quitte tes lyonnaises,
ton triste Jean-Michel,
Je pars pour des royaumes
où l'OM attend la fête,
que le bonheur l'assomme,
et lui brûle la tête.
Petite fille de Raymond Barre, dédaigne-moi,
Petite fille aux yeux hagards, tu m'oublieras.
Laisse-moi tout gagner,
j'n'ai plus rien à te dire,
tu ne peux pas m'ressembler,
pour mon plus grand plaisir.
Retourne dans ta nuit,
au pied d'Part-Dieu la tour,
retourne dans l'ennui
qui habite tes jours.
Petite fille de Raymond Barre, dédaigne-moi,
Petite fille aux yeux hagards, je gagnera.