27-09-2024, 19:05
Peuple de l’OM,
Dimanche, à la Meinau, sera un rappel à nos élus de la LFP que même en terre hostile, c’est toujours Marseille qui dicte la loi du ballon rond.
Nous serons sur la dynamique du match contre l'OL ou les LOLais ont etes balayés par nos joueurs comme on souffle une bougie sur un gâteau d’anniversaire mal cuit.
Mais voilà, ce dimanche, c’est Strasbourg. Une équipe qui, soyons honnêtes, n’a théoriquement ni le charisme ni le palmarès pour inquiéter quiconque.
Leur palmarès est aussi mince qu’un plat de spätzle sans sauce. Alors, forcément, on se dit : « Facile, c’est dans la poche. » Et pourtant, il y a toujours ce petit grain de sable, cette contrariété qui se glisse dans les matchs de l'OM...
...Je parle bien sûr de l'arbitrage. Ah, mes amis, l'arbitre français, ce personnage étrange, qui, à chaque coup de sifflet, semble animé par une jalousie sourde envers notre Olympique.
Soyons réalistes : qui pourrait ne pas être jaloux ? Des tifos, un public en feu, une équipe qui bat Lyon et fait trembler à nouveaux les plus grands…
L'OM, c'est la quintessence de la réussite footballistique en France sans les pétrodollars de la démocratie Qatarie.
Et quand on est à Strasbourg, là où le football est un loisir local autant qu’un prétexte pour boire une bière tiède, comment ne pas regarder l’OM avec une pointe de rancœur ?
Alors, dimanche, je ne serai pas surpris si chaque tacle, chaque duel, chaque soupir olympien est accompagné d’un coup de sifflet suspect, d’un carton jaune dégainé plus vite que l’éclair, juste pour le plaisir de ralentir la machine marseillaise. On le connaît, cet arbitrage : toujours là pour niveler par le bas, pour rappeler que dans la Ligue 1, personne ne doit s’élever au-dessus du lot, surtout pas l'OM.
Mais qu’ils sifflent, qu’ils sortent leurs cartons, qu’ils essaient de nous faire douter. Nous avons battu Lyon, et pas n’importe comment.
Alors Strasbourg ? Strasbourg, c’est une simple formalité.
L’arbitre aura beau essayer de peser de tout son poids insignifiant sur la rencontre, soyons clairs : un mauvais arbitrage, c’est juste une autre excuse pour fêter la victoire encore plus fort.
Allez l'OM, et que la Meinau se souvienne de ce dimanche où Marseille a encore brillé malgré la jalousie générale !
VAMOS! Et qu'on revive nos années Bielsa
Dimanche, à la Meinau, sera un rappel à nos élus de la LFP que même en terre hostile, c’est toujours Marseille qui dicte la loi du ballon rond.
Nous serons sur la dynamique du match contre l'OL ou les LOLais ont etes balayés par nos joueurs comme on souffle une bougie sur un gâteau d’anniversaire mal cuit.
Mais voilà, ce dimanche, c’est Strasbourg. Une équipe qui, soyons honnêtes, n’a théoriquement ni le charisme ni le palmarès pour inquiéter quiconque.
Leur palmarès est aussi mince qu’un plat de spätzle sans sauce. Alors, forcément, on se dit : « Facile, c’est dans la poche. » Et pourtant, il y a toujours ce petit grain de sable, cette contrariété qui se glisse dans les matchs de l'OM...
...Je parle bien sûr de l'arbitrage. Ah, mes amis, l'arbitre français, ce personnage étrange, qui, à chaque coup de sifflet, semble animé par une jalousie sourde envers notre Olympique.
Soyons réalistes : qui pourrait ne pas être jaloux ? Des tifos, un public en feu, une équipe qui bat Lyon et fait trembler à nouveaux les plus grands…
L'OM, c'est la quintessence de la réussite footballistique en France sans les pétrodollars de la démocratie Qatarie.
Et quand on est à Strasbourg, là où le football est un loisir local autant qu’un prétexte pour boire une bière tiède, comment ne pas regarder l’OM avec une pointe de rancœur ?
Alors, dimanche, je ne serai pas surpris si chaque tacle, chaque duel, chaque soupir olympien est accompagné d’un coup de sifflet suspect, d’un carton jaune dégainé plus vite que l’éclair, juste pour le plaisir de ralentir la machine marseillaise. On le connaît, cet arbitrage : toujours là pour niveler par le bas, pour rappeler que dans la Ligue 1, personne ne doit s’élever au-dessus du lot, surtout pas l'OM.
Mais qu’ils sifflent, qu’ils sortent leurs cartons, qu’ils essaient de nous faire douter. Nous avons battu Lyon, et pas n’importe comment.
Alors Strasbourg ? Strasbourg, c’est une simple formalité.
L’arbitre aura beau essayer de peser de tout son poids insignifiant sur la rencontre, soyons clairs : un mauvais arbitrage, c’est juste une autre excuse pour fêter la victoire encore plus fort.
Allez l'OM, et que la Meinau se souvienne de ce dimanche où Marseille a encore brillé malgré la jalousie générale !
VAMOS! Et qu'on revive nos années Bielsa