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Version complète : OM-MHSC : Qui va à la chasse, va à la chasse !
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Connaissez vous le point commun entre John Landis, le cirque de Shangaï, Frédéric Thiriez et Loulou Nicollin ?
A première vue, vous pourriez penser que cette comparaison n’a pas lieu d’être, un peu comme quand le rhinocéros veut essayer de voler comme l’autruche. Mais en y regardant de plus près, et mis à part le fait que Frédéric Thiriez se déplace en scooter, il faut chercher ailleurs pour trouver ce point commun : comme dit le proverbe néerlandais : « Posez une grenouille sur une chaise en or, elle sautera à nouveau dans la mare. »
En 1983, John Landis réalise a trading place, que les des traducteurs français renommeront « un fauteuil pour deux », sans doute par erreur de géolocalisation, ou mauvaise synchronisation de leur montre à remonter le temps, le fait d’échanger un fauteuil n’ayant rien à voir avec le fait d’occuper à deux ce même fauteuil.
Le cirque de Shanghai perpétue depuis des décennies un numéro d’équilibriste ou selon le cas, plusieurs personnes se tiennent en équilibre sur une chaise, défiant les lois de l’apesanteur les plus compliquées tel le Mellisuga helenae volant sur place pour pouvoir butiner en paix sa fleur promise. Il n’est pas rare aussi de voir un numéro où, tel un funambule escaladant une tour de Pise à quatre pieds, un équilibriste monte un amas précaire et instable de chaises bringuebalantes, entreposées les unes sur les autres, dans le seul but d’aller toucher le ciel paré d’une grâce toute féminine, combinaison subtile et savamment dosée d’excellence et de légèreté, résultante parfaite de l’alchimie mêlant la concentration, le courage et des années d’entraînement. A ce moment là, on peut dire que la chaise électrise.
Mr Frédéric Thiriez a réussi encore plus fort, un véritable tour de force. Si les ciseaux coupent le papier, si le papier recouvre la pierre et si la pierre casse les ciseaux, à la fin, c’est le puit qui gagne. En l’espace de moins d’un week-end, le dernier pour être précis, ce quidam qui fleure bon la joviale bonhomie des repas de famille du Dimanche midi, entre le gigot et la deuxième plâtrée de flageolets-haricots verts, a réussi à placer sur le fauteuil de leader du championnat pas moins de 4 groupes de 18 joueurs. Olé !
Ce n’est plus un tour de force mais une tournante bunga bunga dirait un dirigeant transalpin. Nous vivons là un moment de magie, un de ces instants bénis de la vie où, caché dans le noir des ses draps, un petit enfant, la lampe torche à la main, s’interroge sur la frontière entre le réel et l’irréel en découvrant les premiers prémices d’une pilosité naissante, début de la fin de sa vie d’innocence parfaite.
Loulou, lui, il s’en fout, il nous pisse à la raie ! Même au chauve ! Mais bon, avec toute la gouaille qui le caractérise, le Loulou aurait pu mieux faire. Se faire pisser à la raie, on le fait depuis belle lurette, et cela dans tout les milieux…. Il fut un temps où c’était même plutôt classe : le blond vénitien est apparu lors de la Renaissance italienne, plus particulièrement à Venise. Puisque les jardins et les terrasses de cette ville se font aussi nombreuses que les rayures d’un zèbre albinos, les dames, riches propriétaires des palais surnageant le Grand Canal, avaient pour habitude de s’exposer au soleil de la péninsule sur le toit de leur palais. Là, elle s’enduisaient les cheveux d’une décoction capillaire faite de safran, de citron et d’urine de chat, très présent dans la cité de Rondo Veneziano (à cause des poissons qui aimaient se suicider en entendant les concerts de violoncelles des perruquées locales), puis les laissaient sécher au soleil. Non seulement à Venise, on se mettait de l’urine sur les raies, mais en plus, bien avant le Manneken-pis, on pissait sur les mèches.
Si la semaine dernière, le père Loulou s’est permis de s’épandre à des endroits que la morale réprouve, espérons qu’il se retrouve à la fin du week-end prochain, bien embêté à son tour car on lui aura chié dans les bottes !
Clap le retour de BA13 :lol: je suis mort de rire au bureau là. Mais où va-t-il chercher tout ça...
Laugh
Tout à fait Thierry ! Clap
:lol:Magnifiquement troussé de la cape de l'archiduc acrobate au pied du trouduc ordurier. Clap
y a du lourd pour les présentations de match en ce moment Love2

Merci et bravo pour celui ci.

Un petit 1-0 des familles me conviendrait après l'épisode moscovite émotionnant.
Merci ! faisons jouer l'effet Baraka pour gagner à l'arrache . ou les pilonner, c 'est selon.
Encore un édito que Ricky ne lira pas, et c'est tant mieux Bave
les éditos en ce moment,c'est priceless Bave
L'est fort ce Monsieur Cloison Wub

J'espère que Nicollin ne fanfaronnera pas après le match, ça fait partie des choses que j'ai du mal à avaler Sleep
Merci pour l'édito. Bowdown Je ne le sens pas ce match. Sleep
Joliment écrit !Mf_cupidet c'est pourtant les mêmes lettres de l'alphabet qu'utilise le bon Loulou.
Mouhahahahaha excellent editoClapClap
Old Trafford a écrit :Merci pour l'édito. Bowdown Je ne le sens pas ce match. Sleep
DoctorNormal avec les cloisons nasales emplâtrées… Ceci dit, avec l'Hérault, faudrait pas tomber dans déveine Persée avec son bouc lié. De nos chères chèvres, l'année passée j'en étais resté médusé…
Mais vrai que si le Spartak use, ça sera forcément l'année d'aimer d'user ! Merci de nous le faire cesser C.P…Wub
Merci Bowdown
Merci, un beau boulot.
On va les emplatrer, ça va pas faire un pliS !
Estrade s'est blessé ce matin et sera absent demain au Vélodrome.
La dernière fois qu'il y a eu un souci avec l'estrade on a du jouer à Montpellier.
J'espère qu'ils ne vont pas nous refaire le coup et qu'on pourra jouer à dommicile....
Laugh

Estrada, que bien sûr je voulais écrire...Bowdown
Il fait froid , la météo annonce la pluie , faudra du courage pour aller au stade.
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