10-04-2009, 00:53
Mes chers épagneuls,
Donetsk, c'est Donetsk. Et l'OM s'est fait reprendre de voléetsk par un Chakhtior plus réaliste, donc meillor.
Oh mes aïeux, notre torride Cana et ses chenapans n'auront pas pour autant déméritétsk. Mais, une fois n'est pas coutûme en coupe de l'UEFA, l'OM nous a déroulé un premier acte au scénario douloureux. Et l'OM a perdu. Le Shakhtior s'est montré réaliste (39, 72e) quand l'OM n'a pas su prendre sa chance, notamment en début de deuxième période. Ce soir l'OM est retombé dans quelques travers menaçants sa défense en 2008, avec quelques frayeurs converties en terreur noctures. Ce soir aussi, les Brésiliens nous ont fait l'amour. L'OM aurait dû marquer un but pour éviter les statistiques alarmistes de la presse. Point de Oural football, mais une leçon à méditetsk en vue du match retour.
LES NOTES
Mandandhior : 6
Géné par Mears sur le premier but, victime de sa défense et du réalisme des trois Brésiliens impliqués sur le second, il aura quand même réalisé quelques arrêts déterminants.
Taïwo : 4,5
Se faire enrhumer en Ukraine, cela reste du domaine du pardonnable.
Hilton : 3
S'est fait ensevelir de glaviouse à l'âme Ukraine.
Ukrénato Civelli : 4,5
Et si touchant, en même temps...
Mears : 4
Vin, diesel... le mauvais mélange. Les attaques venaient de son côté, nos adversaires ont tous vu les mêmes cassettes.
M'Bami : 5
Il a minci et c'est déjà ça.
Remplacé par Valbuena (68e, note 4) pour repasser en 4-2-3-1, qui a pédalé dans la semoule congelée, sans apport notoire. Du moins de l'avis de quelqu'un qui a passé une bonne partie de la rencontre à manger des poivrons à l'aïl.
Cheyrou : 5
A tenté de lever timidement le coude, mais ce fut vodkas désespérées.
Cana : 5
Dans une position à la Gattuso, il aurait pu marquer à la 57ème s'il n'avait opté au dernier moment pour une frappe de la monopalme. A moins 5 degrés, ses tétons ont pointé, honorant merveilleusement la devise olympienne du calendrier 2010 « Droit Obus ».
Zenden : 5,5
Mon éphèbe blond ténébreux m'avait fait un si belle surprise en trottant sur la pelouse au coup d'envoi, que je me suis dit « Bolo, tu m'émeus ».
Baky Konétsk : 4
Comme disait ma maman jadis du petit bossu qui nous livrait le lait en Savoie, il est vilain (56e) et il me courrouce.
Niang : 5
Un poteau, quelques occasions qui figeaient le manque de réalisme olympien malgré une envie visible. Samassa (3) rate une passe à sa destination qui aurait pu faire renaîtrsk un espoir de se montrer au Zénit en vue du match-retour.
Donetsk, c'est Donetsk. Et l'OM s'est fait reprendre de voléetsk par un Chakhtior plus réaliste, donc meillor.
Oh mes aïeux, notre torride Cana et ses chenapans n'auront pas pour autant déméritétsk. Mais, une fois n'est pas coutûme en coupe de l'UEFA, l'OM nous a déroulé un premier acte au scénario douloureux. Et l'OM a perdu. Le Shakhtior s'est montré réaliste (39, 72e) quand l'OM n'a pas su prendre sa chance, notamment en début de deuxième période. Ce soir l'OM est retombé dans quelques travers menaçants sa défense en 2008, avec quelques frayeurs converties en terreur noctures. Ce soir aussi, les Brésiliens nous ont fait l'amour. L'OM aurait dû marquer un but pour éviter les statistiques alarmistes de la presse. Point de Oural football, mais une leçon à méditetsk en vue du match retour.
LES NOTES
Mandandhior : 6
Géné par Mears sur le premier but, victime de sa défense et du réalisme des trois Brésiliens impliqués sur le second, il aura quand même réalisé quelques arrêts déterminants.
Taïwo : 4,5
Se faire enrhumer en Ukraine, cela reste du domaine du pardonnable.
Hilton : 3
S'est fait ensevelir de glaviouse à l'âme Ukraine.
Ukrénato Civelli : 4,5
Et si touchant, en même temps...
Mears : 4
Vin, diesel... le mauvais mélange. Les attaques venaient de son côté, nos adversaires ont tous vu les mêmes cassettes.
M'Bami : 5
Il a minci et c'est déjà ça.
Remplacé par Valbuena (68e, note 4) pour repasser en 4-2-3-1, qui a pédalé dans la semoule congelée, sans apport notoire. Du moins de l'avis de quelqu'un qui a passé une bonne partie de la rencontre à manger des poivrons à l'aïl.
Cheyrou : 5
A tenté de lever timidement le coude, mais ce fut vodkas désespérées.
Cana : 5
Dans une position à la Gattuso, il aurait pu marquer à la 57ème s'il n'avait opté au dernier moment pour une frappe de la monopalme. A moins 5 degrés, ses tétons ont pointé, honorant merveilleusement la devise olympienne du calendrier 2010 « Droit Obus ».
Zenden : 5,5
Mon éphèbe blond ténébreux m'avait fait un si belle surprise en trottant sur la pelouse au coup d'envoi, que je me suis dit « Bolo, tu m'émeus ».
Baky Konétsk : 4
Comme disait ma maman jadis du petit bossu qui nous livrait le lait en Savoie, il est vilain (56e) et il me courrouce.
Niang : 5
Un poteau, quelques occasions qui figeaient le manque de réalisme olympien malgré une envie visible. Samassa (3) rate une passe à sa destination qui aurait pu faire renaîtrsk un espoir de se montrer au Zénit en vue du match-retour.