13-09-2007, 18:54
Bonjour, bonjour, bonjour, bonjour…
Des blessés ?
Fiorèse.
Il a quoi ?
Une petite élongation. Mais tu n’étais pas là la semaine dernière, toi… Des kinés dans la salle vont t’expliquer, la jambe et tout...
Tout le monde est rentré ?
Oui, sauf Lorik qui rentre cet après-midi. Mais il est suspendu, alors…
Samir va bien ?
Oui... je pense que vous l’avez vu à la télévision hier, non ?
Comment ils sont tous ?
Bien… Correct. Les internationaux africains n’ont fait qu’un match. Ils étaient tous là depuis lundi, mardi, mercredi... on a pu travailler avec eux quand même.
Samedi ?
Il faut être fort. Il faut surtout être fort dans l’état d’esprit.
Et ne pas penser à la Ligue des Champions ?
N’importe comment, c’est la meilleure préparation pour la Ligue des Champions. Un match comme ça, vis-à-vis d’une équipe qui a vraiment envie de faire quelque chose au Vélodrome, je ne dis pas que de temps en temps ils n’ont pas envie, mais c’est une équipe qui est quand même de qualité, qui a vraiment du gabarit, qui est physique... Je pense qu’on va avoir un match qui va se rapprocher un peu de ces matchs de haut niveau par rapport à la Champions' League. Ce match n’est pas dans les têtes ?
Non, non, non.
Après Paris tu as souligné l’état d’esprit...
Je l’ai encore souligné ce matin, on dirait que tu as lu dans mes pensées. C’est vrai que j’ai encore insisté sur l’état d’esprit, sur l’envie d’aller vers l’avant dans les 20 premières minutes et j‘ai mis les points précis où après on s’est on peu... pas désorganisé... mais on a été moins présent dans la communication pour avoir un bloc d’équipe qui peut nous permettre de vivre des mauvais moments, même à Paris ou même contre Toulouse. Je pense qu’on a encore beaucoup de progrès à faire là-dessus, on a des progrès à faire dans le jeu c’est vrai mais on a un progrès à faire en communication positive entre les joueurs.
Des moments difficiles on peut les vivre, mais qu’on les vive ensemble et là, on s’est aperçu que ce n’était pas le cas. Donc on a encore des progrès à faire là-dessus et si on ne passe pas ce cap là, ça sera difficile pour la Champions' Ligue... Je ne parle pas du match de Toulouse parce que c’est une réalité mais si on se met dans le match de Besikta, ça, c’est un élément important.
Non les matchs ils n’étaient pas mal. Je pense qu’on a fait des entames de matchs correctes. Contre Nancy on menait deux à zéro quand même et je pense que sur ce point là on n’a pas su après, à un moment donné, très bien défendre pour préserver.
Si on n’avait pas la qualité nécessaire de jeu pour conserver la balle... mais au moins, qu’on défende à 11 des résultats aussi important. Ce qu’on n’arrive à faire à l’extérieur plus ou moins, mais pas à domicile.
Comment vous expliquez ça ?
C’est d’abord parce qu’on a moins de possibilités de jeu, des joueurs se mettent dans des zones où on peut moins les toucher, donc le ballon c’est plus l’adversaire qui l’a que nous.
On a l’impression que certains joueurs on un handicap au Vélodrome ?
Je veux savoir les noms ! Mais c’est important parce que si jamais le Vélodrome devient un handicap, il faut qu’ils aillent jouer, pas dans le Nord parce qu’on va dire que je critique le Nord, mais qu’il aillent jouer ailleurs. Pour moi ce n’est pas un handicap d’entrer dans le Vélodrome. Au contraire !
Même si c’est difficile, même si les supporteurs sont difficiles parce qu’ils veulent voir leur équipe gagner, mais ça ne peut pas être un handicap. Au contraire. C’est un support. C’est le douzième homme, c’est plus que ça.
Qu’il n’y ait pas un joueur qui me dise ça parce qu’il reste à la maison. Alors tu vas me dire les noms, hein ! Ne m’en dis pas dix, sinon je suis mort-clinique…
Vous n’avez pas ressenti ça ?
Je ne veux même pas y penser. Ce n’est même pas une question que je me pose. Et en plus je veux dire que je trouve les supporteurs tolérants. Mais que ce soit les anciens, ou les nouveaux, lorsqu’ils ont signé, et encore aujourd’hui ils disent c’est un plaisir de jouer au Vélodrome. Ils ne vont pas changer d’avis toutes les dix minutes...
Toulouse et l’OM ont le même début de championnat ?
La particularité de Toulouse c’est qu’ils avaient cet objectif de passer en Champions' Ligue au départ. Oui là ça peut perturber un peu les esprits et l’installation dans le championnat était peut-être un peu tardive mais on sait que cette équipe a été compétitive la saison dernière et sera compétitive cette année. Oui le début de saison peut-être un peu similaire mais nous on a raté notre début de championnat. Ca c’est sûr.
Un choc, un choc.. c’est deux équipes qui veulent les trois points. On se bat pour prendre des points.
La situation est critique ?
La situation n’est pas critique mais il faut vite relever la tête et surtout chez nous.
C’est un nouveau championnat qui démarre ?
Il faut évacuer le début de saison mais pas l’éliminer totalement. On a fait des erreurs, on a eu des lacunes assez criantes donc on n’a pas à éliminer tout ça. Il faut surtout rectifier le tir et se mettre dans la tête qu’un match c’est 95 minutes, que les erreurs ne pardonnent pas que les ballons perdus dans notre moitié de terrain ça peut faire mouche parce que les équipes sont de qualité et que tous ces petits défauts là qui nous ont perturbé un peu parce que, comme je l’ai dit, on mène deux à zéro contre Nancy on fait 2 à 2 ; o mène un à zéro à Valenciennes on aurait pu ramener au moins le match nul ; contre Nice, ça a été un non match mais contre Rennes on n’a pas été performant mais on aurait pu gagner ce match là... Je veux dire que ce sont des petits détails qui font que maintenant, les points, il faut aller les chercher.
Tu attends beaucoup de ce match ?
Le match de Toulouse sera quand même assez important dans les têtes des joueurs et même dans les têtes du staff... C’est que tout ce qui a été dit depuis un certain temps, entre nous, je ne vous le dirai pas mais j’espère le retrouver dans ce match là. Si on ne le retrouve pas je pense que là il faudra faire des choses plus radicales.
C’est quoi les choses radicales ?
Des questions il ne faut plus s’en poser et mettre d’autres joueurs si jamais ceux la ne répondent pas aux critères demandés.
Mais des joueurs n’étaient pas là ?
Oui il y a des joueurs qui ont joué quand même pas mal de matchs qui étaient présents. Il y a entre 6 et 7 joueurs qui étaient présents.
Ce match peut-être un tournant ?
Oui ça peut être un tournant.
Qui aura le brassard ?
Rodriguez.
"Quand on a des adversaires très motivés en face le dialogue que peuvent avoir certains joueurs dans un pressing, c’est important. Moi je dis que le mental c’est du talent."
Un joueur disait qu’il faut "regagner la confiance". On les a connus très bons ailleurs, mais ici...
Des choses comme ça, quand on parle de confiance, à un moment donné le joueur joue. Il travaille à l’entraînement, donc ça peut être par le travail. Ce n’est pas une obligation que ce soit par le dialogue mais par le travail et par un investissement plus importants. A un moment donné la confiance il faut qu’il se la retrouve lui-même. Moi c’est bien beau, vous êtes tous là, j’ai mes joueurs tout le temps, vous êtes les plus forts, vous êtes les plus beaux, vous êtes les plus grands. Vous êtes même les meilleurs. Mais ça, ça ne donne aucune confiance. La confiance c’est sur le terrain, après... C’est d’avoir bien préparé son match, d’avoir une préparation de vrai professionnel, de connaître l’adversaire. Nous on leur fait connaître mais eux doivent aussi entrer totalement dans leur métier et se dire qu’après le football c’est difficile. Même s’il y a des matchs où on passe un peu au travers, on n’est pas obligé de perdre confiance. La confiance il faut que ce soit eux à un moment donné qui puissent se la retrouver. Et individuellement, et collectivement, parce qu’un vestiaire ça vit.
C’est bien pour se resserrer parce qu’on a l’impression qu'ils n'arrivent pas à se parler...
Oui mais ça c’est un manque ! C’est peut-être l’adaptation des nouveaux vis-à-vis des anciens, ce qui était très facile dans les matchs amicaux parce que le dialogue est facile face à des adversaires qui ne sont pas encore motivés, mais quand on a des adversaires très motivés en face le dialogue que peuvent avoir certains joueurs dans un pressing, c’est important.
Le problème de l’équipe, c’est la confiance ?
Moi je dis que le mental, c’est du talent. Pour être fort sur un terrain de football il faut supporter l’échec, avoir une confiance en soi même pas illimité mais presque, et se dire aussi j’ai confiance en mes partenaires et aussi faire des choses, quand on n’arrive pas, par exemple un joueur qui a une technicité au-dessus de la moyenne mais qui n’est pas très bien, il peut courir, récupérer des ballons et faire profiter ses partenaires aussi. C’est tout cet ensemble de choses que je veux voir samedi.
Les adversaires vont jouer le contre ?
On va les forcer parce que nous on va a attaquer. On va se placer haut sur le terrain et eux auront la possibilité de faire des contres. A nous d’être très vigilants.
Tu vas garder la même configuration qu’à Paris ?
Oui. A peu près la même organisation, ça c’est sûr.
Mamad' est bien ?
Il est revenu en avion du Sénégal. Il est bien. C’est un guerrier. On ne peut pas toujours être parfait…
L’absence de Lorik ?
Il s’est fait expulser hier soir. C’est un garçon qui ne supporte pas beaucoup la défaite. Il est comme ça, on ne peut pas le changer. Il fait du bien à une équipe mais il y a d’autres joueurs qui peuvent le faire.
Le groupe ?
Dix neuf joueurs…
Comme pour mardi ?
Non, d’autres vont prendre le train en marche dimanche. Enfin un ou deux parce qu’après il n’y en a plus.
Tu parles pour le mercato ?
Ca n’a rien à voir. L’effectif est suffisant.
Des blessés ?
Fiorèse.
Il a quoi ?
Une petite élongation. Mais tu n’étais pas là la semaine dernière, toi… Des kinés dans la salle vont t’expliquer, la jambe et tout...
Tout le monde est rentré ?
Oui, sauf Lorik qui rentre cet après-midi. Mais il est suspendu, alors…
Samir va bien ?
Oui... je pense que vous l’avez vu à la télévision hier, non ?
Comment ils sont tous ?
Bien… Correct. Les internationaux africains n’ont fait qu’un match. Ils étaient tous là depuis lundi, mardi, mercredi... on a pu travailler avec eux quand même.
Samedi ?
Il faut être fort. Il faut surtout être fort dans l’état d’esprit.
Et ne pas penser à la Ligue des Champions ?
N’importe comment, c’est la meilleure préparation pour la Ligue des Champions. Un match comme ça, vis-à-vis d’une équipe qui a vraiment envie de faire quelque chose au Vélodrome, je ne dis pas que de temps en temps ils n’ont pas envie, mais c’est une équipe qui est quand même de qualité, qui a vraiment du gabarit, qui est physique... Je pense qu’on va avoir un match qui va se rapprocher un peu de ces matchs de haut niveau par rapport à la Champions' League. Ce match n’est pas dans les têtes ?
Non, non, non.
Après Paris tu as souligné l’état d’esprit...
Je l’ai encore souligné ce matin, on dirait que tu as lu dans mes pensées. C’est vrai que j’ai encore insisté sur l’état d’esprit, sur l’envie d’aller vers l’avant dans les 20 premières minutes et j‘ai mis les points précis où après on s’est on peu... pas désorganisé... mais on a été moins présent dans la communication pour avoir un bloc d’équipe qui peut nous permettre de vivre des mauvais moments, même à Paris ou même contre Toulouse. Je pense qu’on a encore beaucoup de progrès à faire là-dessus, on a des progrès à faire dans le jeu c’est vrai mais on a un progrès à faire en communication positive entre les joueurs.
Des moments difficiles on peut les vivre, mais qu’on les vive ensemble et là, on s’est aperçu que ce n’était pas le cas. Donc on a encore des progrès à faire là-dessus et si on ne passe pas ce cap là, ça sera difficile pour la Champions' Ligue... Je ne parle pas du match de Toulouse parce que c’est une réalité mais si on se met dans le match de Besikta, ça, c’est un élément important.
"Si jamais le Vélodrome devient un handicap, il faut qu’ils aillent jouer, pas dans le Nord parce qu’on va dire que je critique le Nord, mais qu’il aillent jouer ailleurs"
Les matchs sont abordés différemment au Vélodrome qu’à l’extérieur ?Non les matchs ils n’étaient pas mal. Je pense qu’on a fait des entames de matchs correctes. Contre Nancy on menait deux à zéro quand même et je pense que sur ce point là on n’a pas su après, à un moment donné, très bien défendre pour préserver.
Si on n’avait pas la qualité nécessaire de jeu pour conserver la balle... mais au moins, qu’on défende à 11 des résultats aussi important. Ce qu’on n’arrive à faire à l’extérieur plus ou moins, mais pas à domicile.
Comment vous expliquez ça ?
C’est d’abord parce qu’on a moins de possibilités de jeu, des joueurs se mettent dans des zones où on peut moins les toucher, donc le ballon c’est plus l’adversaire qui l’a que nous.
On a l’impression que certains joueurs on un handicap au Vélodrome ?
Je veux savoir les noms ! Mais c’est important parce que si jamais le Vélodrome devient un handicap, il faut qu’ils aillent jouer, pas dans le Nord parce qu’on va dire que je critique le Nord, mais qu’il aillent jouer ailleurs. Pour moi ce n’est pas un handicap d’entrer dans le Vélodrome. Au contraire !
Même si c’est difficile, même si les supporteurs sont difficiles parce qu’ils veulent voir leur équipe gagner, mais ça ne peut pas être un handicap. Au contraire. C’est un support. C’est le douzième homme, c’est plus que ça.
Qu’il n’y ait pas un joueur qui me dise ça parce qu’il reste à la maison. Alors tu vas me dire les noms, hein ! Ne m’en dis pas dix, sinon je suis mort-clinique…
Vous n’avez pas ressenti ça ?
Je ne veux même pas y penser. Ce n’est même pas une question que je me pose. Et en plus je veux dire que je trouve les supporteurs tolérants. Mais que ce soit les anciens, ou les nouveaux, lorsqu’ils ont signé, et encore aujourd’hui ils disent c’est un plaisir de jouer au Vélodrome. Ils ne vont pas changer d’avis toutes les dix minutes...
Toulouse et l’OM ont le même début de championnat ?
La particularité de Toulouse c’est qu’ils avaient cet objectif de passer en Champions' Ligue au départ. Oui là ça peut perturber un peu les esprits et l’installation dans le championnat était peut-être un peu tardive mais on sait que cette équipe a été compétitive la saison dernière et sera compétitive cette année. Oui le début de saison peut-être un peu similaire mais nous on a raté notre début de championnat. Ca c’est sûr.
"Il faut évacuer le début de saison mais pas l’éliminer totalement [...] Des questions il ne faut plus s’en poser et mettre d’autres joueurs si jamais ceux la ne répondent pas aux critères demandés"
C’est un choc ?Un choc, un choc.. c’est deux équipes qui veulent les trois points. On se bat pour prendre des points.
La situation est critique ?
La situation n’est pas critique mais il faut vite relever la tête et surtout chez nous.
C’est un nouveau championnat qui démarre ?
Il faut évacuer le début de saison mais pas l’éliminer totalement. On a fait des erreurs, on a eu des lacunes assez criantes donc on n’a pas à éliminer tout ça. Il faut surtout rectifier le tir et se mettre dans la tête qu’un match c’est 95 minutes, que les erreurs ne pardonnent pas que les ballons perdus dans notre moitié de terrain ça peut faire mouche parce que les équipes sont de qualité et que tous ces petits défauts là qui nous ont perturbé un peu parce que, comme je l’ai dit, on mène deux à zéro contre Nancy on fait 2 à 2 ; o mène un à zéro à Valenciennes on aurait pu ramener au moins le match nul ; contre Nice, ça a été un non match mais contre Rennes on n’a pas été performant mais on aurait pu gagner ce match là... Je veux dire que ce sont des petits détails qui font que maintenant, les points, il faut aller les chercher.
Tu attends beaucoup de ce match ?
Le match de Toulouse sera quand même assez important dans les têtes des joueurs et même dans les têtes du staff... C’est que tout ce qui a été dit depuis un certain temps, entre nous, je ne vous le dirai pas mais j’espère le retrouver dans ce match là. Si on ne le retrouve pas je pense que là il faudra faire des choses plus radicales.
C’est quoi les choses radicales ?
Des questions il ne faut plus s’en poser et mettre d’autres joueurs si jamais ceux la ne répondent pas aux critères demandés.
Mais des joueurs n’étaient pas là ?
Oui il y a des joueurs qui ont joué quand même pas mal de matchs qui étaient présents. Il y a entre 6 et 7 joueurs qui étaient présents.
Ce match peut-être un tournant ?
Oui ça peut être un tournant.
Qui aura le brassard ?
Rodriguez.
"Quand on a des adversaires très motivés en face le dialogue que peuvent avoir certains joueurs dans un pressing, c’est important. Moi je dis que le mental c’est du talent."
Des choses comme ça, quand on parle de confiance, à un moment donné le joueur joue. Il travaille à l’entraînement, donc ça peut être par le travail. Ce n’est pas une obligation que ce soit par le dialogue mais par le travail et par un investissement plus importants. A un moment donné la confiance il faut qu’il se la retrouve lui-même. Moi c’est bien beau, vous êtes tous là, j’ai mes joueurs tout le temps, vous êtes les plus forts, vous êtes les plus beaux, vous êtes les plus grands. Vous êtes même les meilleurs. Mais ça, ça ne donne aucune confiance. La confiance c’est sur le terrain, après... C’est d’avoir bien préparé son match, d’avoir une préparation de vrai professionnel, de connaître l’adversaire. Nous on leur fait connaître mais eux doivent aussi entrer totalement dans leur métier et se dire qu’après le football c’est difficile. Même s’il y a des matchs où on passe un peu au travers, on n’est pas obligé de perdre confiance. La confiance il faut que ce soit eux à un moment donné qui puissent se la retrouver. Et individuellement, et collectivement, parce qu’un vestiaire ça vit.
C’est bien pour se resserrer parce qu’on a l’impression qu'ils n'arrivent pas à se parler...
Oui mais ça c’est un manque ! C’est peut-être l’adaptation des nouveaux vis-à-vis des anciens, ce qui était très facile dans les matchs amicaux parce que le dialogue est facile face à des adversaires qui ne sont pas encore motivés, mais quand on a des adversaires très motivés en face le dialogue que peuvent avoir certains joueurs dans un pressing, c’est important.
Le problème de l’équipe, c’est la confiance ?
Moi je dis que le mental, c’est du talent. Pour être fort sur un terrain de football il faut supporter l’échec, avoir une confiance en soi même pas illimité mais presque, et se dire aussi j’ai confiance en mes partenaires et aussi faire des choses, quand on n’arrive pas, par exemple un joueur qui a une technicité au-dessus de la moyenne mais qui n’est pas très bien, il peut courir, récupérer des ballons et faire profiter ses partenaires aussi. C’est tout cet ensemble de choses que je veux voir samedi.
Les adversaires vont jouer le contre ?
On va les forcer parce que nous on va a attaquer. On va se placer haut sur le terrain et eux auront la possibilité de faire des contres. A nous d’être très vigilants.
Tu vas garder la même configuration qu’à Paris ?
Oui. A peu près la même organisation, ça c’est sûr.
Mamad' est bien ?
Il est revenu en avion du Sénégal. Il est bien. C’est un guerrier. On ne peut pas toujours être parfait…
L’absence de Lorik ?
Il s’est fait expulser hier soir. C’est un garçon qui ne supporte pas beaucoup la défaite. Il est comme ça, on ne peut pas le changer. Il fait du bien à une équipe mais il y a d’autres joueurs qui peuvent le faire.
Le groupe ?
Dix neuf joueurs…
Comme pour mardi ?
Non, d’autres vont prendre le train en marche dimanche. Enfin un ou deux parce qu’après il n’y en a plus.
Tu parles pour le mercato ?
Ca n’a rien à voir. L’effectif est suffisant.
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