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Version complète : Le staff médical : « Après une blessure, on ressort parfois plus fort »
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Médecins[SIZE=2] : Docteur Christophe Baudot, Sylvain Blanchard son adjoint et Jean-Georges Cellier [/SIZE]

(Nathalie Paoli présente le staff)
Christophe Baudot. Médecins : C’est important qu’on se connaisse, mais moins on vous verra, mieux ça sera... Le but, c’est que vous nous voyez le moins possible !
Samir paraissait très optimiste, il doit parler sous contrôle médical, quel votre avis à vous ?
Baudot : Oui, il parle sous contrôle médical parce qu’on se voit tous les jours, on tient le joueur informé en permanence de son évolution. Lui le sent bien. On tient aussi le staff sportif informé de l’évolution et du travail qu’on lui fait faire parce qu‘en fait, on fait à la fois un travail sur la cicatrisation de ses lésions mais aussi un travail physique, qui est fait en collaboration avec le préparateur physique, donc on sait exactement où il en est, et effectivement il évolue très bien. Il y avait une lésion qui nous embêtait sur les péronis latéraux, c’est un peu technique... mais cette lésion cicatrise bien et ça nous permet d’être optimistes dans les délais qu’on s’était fixés au départ. Quand on donne des délais, généralement, c’est qu’on a réfléchi d’une façon collégiale à ces délais, 4 à 5 reprises, c’est généralement des temps de reprise pour jouer au football. Il y a 48h, on a vu Samir marcher sur la pelouse, c’est pas une reprise d’entraînement, ça fait partie d’un protocole de rééducation, c’est un schéma de marche. Jean-Georges pourra vous en parler, mais effectivement pour des lésions de la cheville, il ne faut pas être trop pressé parce qu’autant il y a des blessures une fois qu’elles sont consolidées, elles n’entraînent pas de risques de récidives... mais la lésion d’une cheville, ça peut être chez un footballeur quelque chose de handicapant. C’est pour ça qu’avec Samir, avec l’ensemble du staff médical et les entraîneurs, on a décidé de faire reprendre Samir quand il sera à 100% au niveau de la cicatrisation des lésions et au niveau de la sensation. Il faut toujours être prudent quand on donne des délais. On n’aime pas donner des pronostics parce que vous pouvez avoir l’impression qu’on vous donne des délais un peu masqués... je n’ouvre pas le parapluie, c’est que dans la lésion comme celle-ci, c’est notre expérience qui nous fait parler de 4 à 5 semaines. C’est aussi de l’évolution au quotidien, mais quand on donnera des pronostics, c’est toujours avec l’accord du joueur, vous savez que le secret médical doit être conservé mais vous savez que quand on fait du sport de haut niveau, les choses se savent et ça permet de rassurer le joueur lui-même.

Il peut rester des séquelles ?
[SIZE=2]Daudot : Le but de l’intervention sur l‘équiper, c’est aussi de faire de la prévention, et tous les exercices qu’on fait actuellement sont faits pour cicatriser mais aussi pour faire travailler le joueur dans un secteur de mobilité protégée. Il n’est pas question de lui faire faire des choses qui pourraient nuire à la cicatrisation. Notre objectif c’est qu’on arrive à un taux de récidive qui soit le plus faible possible. Zéro, ça n’existe pas, vous pourriez me prendre en défaut d’ici deux mois. Je touche du bois, mais on pense que véritablement, on le fera reprendre quand le pourcentage de récidive sera le plus simple possible et pratiquement nul. Jean-Georges peut vous parler des exercices qu’il fait faire au quotidien. Ils permettent de faire cicatriser mais aussi d’anticiper d’éventuelles récidives parce que la cheville, ça mérite un travail particulier de proprioception, surtout à du très haut niveau comme ça, ce n’est pas de la rééducation très particulière et très adaptée.[/SIZE]
Le fait qu’il soit jeune est un avantage pour gagner du temps ?
[SIZE=2]Baudot : plein de choses entrent en ligne de compte. Il y a la prise en charge de la blessure de façon générale, comment on manage les premiers instants de la blessure, comment est fait le diagnostic... Un staff, c’est très solidaire. Si on part sur un diagnostic qui n’est pas bien établi, derrière, les kinésithérapeutes ont du mal à avoir une action optimale. Si avec Sylvain on donne des diagnostics qui ne sont pas le plus précis possibles, c’est très difficile pour Jean-Georges derrière de pouvoir adapter la rééducation sur le terrain. Donc chacun d’entre nous doit apporter le maximum de ses connaissances. Et même les diagnostics, on les fait de façon, d’aspiration collégiales. Il n’est pas question de dire "moi je fais ça parce que"… Moi je viens d’un milieu sportif dans lequel il y a beaucoup de traumatologies, donc qui donne beaucoup d’expérience sur la traumatologie, mais chacun d’entre nous a sa propre expérience qui doit être mise véritablement au service de l’équipe. [/SIZE]
L’âge entre donc en ligne de compte ?
[SIZE=2]Daudot : C’est clair parce que c’est une cheville qui n’est pas traumatisée encore. Le but pour nous : que Samir n’évolue pas avec une cheville qui soit traumatisée. Le préserver, c’est préserver son état de santé. On est là pour préserver la santé du joueur.[/SIZE]
Son état de forme au moment où il se blesse lui permet de retrouver son plus haut niveau ?
[SIZE=2]Baudot : Georges Gacon, le préparateur, avait annoncé qu’il était dans une grande forme physique. Samir avait suivi son programme d’entraînement que lui avait proposé son préparateur pendant les vacances. Jean-Georges peut dire comment il le trouve physiquement dans son travail quotidien. Je peux dire qu’il ne se ménage pas. Jean-Georges a d’ailleurs perdu 5 kilos depuis deux semaines ![/SIZE]
[SIZE=2]Cellier : C’est clair, c’est un autre challenge. Il faut l’emmener à la guérison tout en veillant qu'il perde le moins de ses qualités physiques. Il avait bien travaillé et l’évolution nous permet de continuer dans cette voie et de construire autre chose, de faire beaucoup de prévention et des choses qu’il n’aurait peut-être pas eu le temps de travailler. Samir se prête très bien à la chose. Il adhère et on fait un travail avec lui qui est assez intéressant. On tient compte de son poste, mais on a un objectif de résultat le plus complet, on regarde certaine perfection dans notre travail avec Samir, qui est un garçon qui a une très très grande finesse corporelle. On va développer un sens articulaire, musculaire, de gestion de son corps dans l’espace, et cette période nous permet de développer ça et pas que sur le membre blessé. Sur les temps de repos, on travaille l’autre côté. C’est un travail intéressant. Le fait de travailler en équipe et d’avoir du temps à leur consacrer, ça nous permet de peaufiner ça dans les meilleures conditions.

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Docteur Baudot : "des miracles, il n’y en a pas à la Commanderie. Les miracles c’est pas ici"

Vous parlez avec le médecin de l’équipe de France ?
[SIZE=2]Baudot : Ca fait partie du travail confraternel entre médecins et effectivement, Samir étant joueur international, j’ai appelé le médecin de l’équipe de France pour le tenir au courrant. Il se trouve que je connais bien ce médecin. Outre nos relations professionnelles, c’est une personne que j’apprécie beaucoup, on a participé à des congrès ensemble, il a bien compris la lésion. Nous, on manage Samir ici et on lui enverra, ça fait partie de la confraternité, mais au-delà il y a l’information du médecin de l’équipe de France de football qui doit être au courrant de l’évolution du joueur. Une fois par semaine, on fait le point avec le docteur Paclet.[/SIZE]
Samir pourrait jouer le 21 en match amical ?
[SIZE=2]Baudot : Je pourrais vous faire une réponse qui est une réponse logique. C’est-à-dire que s’il joue avec l’OM dans de bonnes conditions, je ne vois pas pourquoi il ne jouerait pas avec l’équipe de France dans de bonnes conditions. Tout dépend de son état de forme. Moi je réponds d’un point de vue uniquement médical.[/SIZE]
Dans le temps, ça paraît médicalement faisable ?
[SIZE=2]Baudot : Si on prend les données évolutives à ce jour. Il pourrait être apte à jouer le 21. Il y a des examens de contrôle à pratiquer en fin de semaine et dans 10 jours. On peut raisonnable penser qu’effectivement il pourrait être médicalement apte, mais il reste encore du chemin à parcourir. [/SIZE]
Il pourrait y avoir plus de préparations personnalisées. Ça peut aider pour soigner ce genre de blessures ?
[SIZE=2]Cellier : On travaille en totale collaboration avec Georges Gacon et c’est l’intérêt de travailler en équipe. Nous on va gérer la cicatrisation, en fonction des possibilités que nous offre l’évolution, on greffe là-dessus un travail physique. Jusqu’à maintenant on n’a qu’à se louer de ce travail par équipe. Georges est très pointu et nous donne des conseils très pointus.[/SIZE]
[SIZE=3]Samir va plus travailler sur le plan musculaire ?[/SIZE]
[SIZE=2]Cellier : On a un protocole de travail et dans ce protocole, si on met la cheville de côté, quand on prend le reste du corps de Samir, on a des objectifs de prévention et dans ces objectifs on va équilibrer certains groupes musculaires qu’on n’aurait peut-être pas fait ou peut-être plus progressivement. Là, on a plus de temps à consacrer à cette chose-là, c'est aussi ce qui fait dire qu’après une blessure, on ressort parfois plus fort. C’est un peu vrai dans la mesure où on se donne un temps de travail, on a un peu d’expérience de la chose et on est assez précis dans le travail et justement, avec un garçon comme Samir, qui est jeune, en formation complète, on l’essaye de l’aider. Dans le travail de musculation, il faut être très prudent, c’est un sujet jeune, il a de très grandes qualités, on peut-être amené à faire des choses pas très adaptées, donc on est prudent. Peut-être que, dans quelques temps, il dira "cette blessure m’a un peu aidé".
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BAUDOT: "Faire un miracle, ça serait que Samir reprenne le jeu dans 15 jours en serrant les dents, en faisant des injections, c’est pas notre façon de travailler"

Avec ce que vous avez fait avec Cissé, on attend presque un miracle pour Samir ! C’est différent de soigner un joueur vedette qu’un inconnu ?
[SIZE=2]Cellier : Absolument pas. Une cheville reste une cheville. Quand on sait soigner une cheville, que ce soit celle de Samir ou la vôtre, il n’y a pas de particularité. Les objectifs seront différents et ce qu’on met autour c’est bien différent, un objectif d’une certaine perfection, mais pour la cheville, elle n’a pas de caractéristiques particulières. On a en effet une certaine expérience et on la met au service de notre fonction ici. On est très heureux de travailler à l’OM, mais les délais de cicatrisation, sont des protocoles qu’on a [/SIZE]déjà expérimenté depuis bien longtemps.
Vous parlez de Djibril, ça me gêne un peu. C’est l’aboutissement de beaucoup d’années de travail. Des miracles, il n’y en a pas à la Commanderie. Les miracles c’est pas ici. Là, c’est le fruit d’un travail, d’une réflexion, d’une construction méthodique des choses. Là, on a une grande chance c’est de s’entendre et de travailler dans les meilleures conditions. On a ici un outil de travail très performant, à nous de l’optimiser. Le matériel n’est rien, c’est ce qu’on en fait... Là, on a vraiment tout ce qu’il nous faut pour bien travailler.

Mais vous avez moins de temps pour un sportif que pour Monsieur tout le monde ?
[SIZE=2]Cellier : On ne gagne pas de temps pour un sportif de haut niveau. Notre fonction, c’est d’éviter d’en perdre. Sur une blessure normale, on va gérer le temps d’une certaine façon. Nous, notre rôle c’est de gérer le temps au mieux et d’optimiser ce temps. Dans un délai de cicatrisation, on va mettre beaucoup de choses qui vont sûrement contribuer à améliorer les choses. Samir, c’est une cheville... Ca peut paraître simple, mais c’est assez compliqué. Le travail qu’on va faire va améliorer sa cheville et d’autres choses aussi pour le reste de sa saison.[/SIZE]
[SIZE=2]Baudot : Je comprends votre question, c’est : doit-on se donner des délais plus courts parce que c’est un athlète de haut niveau ?
On a des objectifs différents, et on les prend en considération. On prend notre temps pour la cicatrisation. On ne peut pas déroger à ça. C’est pas possible. Faire un miracle, ça serait que Samir reprenne le jeu dans 15 jours en serrant les dents, en faisant des injections, c’est pas notre façon de travailler. Par contre, nous, ce qu’on sait faire et ce qu’on veut faire, c’est pour ça qu’on travaille en équipe, c’est de faire en sorte que quand le joueur reprenne, il a fait tout le travail physique qui lui permet d’être au point le jour où il a obtenu la cicatrisation. En fait, cicatrisation et travail physique se réunissent pour qu’on joueur soit bien sur le terrain. Ça, c’est très difficile à évaluer pour quelqu’un qui regarde. On peut reprendre à 6 semaines en n’étant pas bien ou reprendre en 6 semaines en étant bien. Le joueur sait faire la différence entre 4 semaines où vraiment, il revient sur le terrain il a de bonnes sensations... et un joueur qui reprend à 4 semaines, il marche sur des œufs, il sera en forme au bout de trois mois. Le but, c’est de ne pas galvauder la cicatrisation, ça c’est mettre en péril l’avenir du joueur. Nous notre devoir, c’est d’incorporer dans ce programme des méthodes de travail qui nous permettent d’obtenir en même temps que la cicatrisation que le joueur soit en forme. Ça demande une analyse biomécanique importante. Ce qu’on fait avec Jean-Georges, ce n’est pas une entorse classique qu’a eu Samir... c’est de l’analyse au jour le jour qui demande des notions d’anatomie, de biomécanique pour ne pas dire "le joueur se repose et après il va attendre 4 à 6 semaines après on verra". Avec humilité, on essaye de faire ça pour rendre un joueur physique apte à son coach et au préparateur physique. [/SIZE]
Le mental du joueur compte ?
[SIZE=2]Baudot ? Beaucoup. Le mental rentre dans la relation avec nous. Lorsqu’il est confiant et qu’il voit que les pronostics qu’on lui a fait sont réalisables, il en foi en ça. Un joueur comme Samir a envie de jouer, c’est sa raison d’être, nous on doit lui expliquer que son envie de jouer est compatible avec sa cicatrisation. Le mental joue énormément. C’est comme, dans une performance, on doit prendre en considération la dimension psychologique et mentale du joueur. On ne peut pas ouvrir le parapluie en annonçant trois mois d’arrêt. Le joueur se calque sur ces trois mois d’arrêt. Si on lui donne un délai trop court, il ne comprend pas. Il n’a pas son adéquation entre son envie et son mental et ce qu’il ressent au niveau physique. Là, c’est toute la communication qui entre en jeu entre le staff et le joueur. On échange beaucoup. Là, on vient pour échanger des choses avec vous, mais je vous dis, vous ne me verrez pas beaucoup cette année parce que je crois que le rôle du médical c’est d’être discret. On doit travailler, être là, on doit avoir une basse solide, apporter beaucoup d’informations, rassurer l’ensemble des joueurs mais ce n’est pas à nous de venir au devant des médias. On a voulu que vous nous connaissiez, mais l’annonce des pronostics ou des diagnostics on ne doit pas les faire de façon systématique par le médecin ni le kiné... nous, on doit rester à notre place. On doit travailler pour remettre des joueurs en bon état. Je suis venu pour vous dire notre façon de faire au niveau des pronostics, des diagnostics, quand on annoncera des pronostics, il y aura toujours de délais de 7 ou 8 jours. On ne donnera pas des délais de 30 jours, on n’ouvre pas le parapluie, mais, sur un délai de six mois, ça peut varier sur deux ou trois semaines, mais on ne donnera pas de faux pronostics. On se mouille. Notre qualité, c’est de dire ce qu’on pense avec notre expérience.
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Avec un match tous les trois jours comment vous travaillez ?
Dans l’enchaînement des matchs, la récupération est primordiale. On a beaucoup de chance parce que, vous connaissiez Jean-Georges. Sylvain et moi, on arrive de Bordeaux, d’un milieu sportif professionnel. La moitié de ma famille vit à Marseille, mais c’est évident que le fait d’avoir été bien accueillis fait que franchement, la relation qu’on a avec le staff, les entraîneurs, le préparateur physique, a été tout de suite très, très bonne et on ne peut envisager cette série de matchs qu’avec une collaboration sereine entre le préparateur physique et le médical. Nous on va mettre en place des procédures d’évaluation de la fatigue, de récupération ça vous le verrez avec des bilans sanguins des tests physiques particuliers, qu’on retrouve dans le sport de haut niveau, qui étaient déjà faits à l’OM, et que nous on veut faire de façon beaucoup plus rapprochée.

Le dopage, vous allez être vigilants ?
[SIZE=2]Baudot : Les joueurs avaient déjà été éduqués par tous les staffs présents à l’OM. Nous, on s’inscrit dans le même cadre. On a des fonctions auprès du ministère. Mais il y a un devoir d’information qui ne doit pas se relâcher. Mais c’est un état d’esprit. Il est très saint. Le climat n’est pas de vouloir cacher des choses de la part des joueurs ; mais on sera vigilant.[/SIZE]
Djibril ne sera pas en retard par rapport à cette préparation [SIZE=2][SIZE=3]décalée ?[/SIZE][/SIZE] [SIZE=2]
Cellier :
Je peux répondre non parce qu’il a une préparation physique. Georges est très attentif aux joueurs qui sont arrivés après les autres. Ils suivent un programme étudié. Djibril aura bien travaillé lors de la reprise. Il sera prêt. Il a travaillé pendant les vacances et il répond à ses obligations de joueur de haut niveau. La reprise en décembre a été précédée d’un très gros travail, on va remplacer le mot miracle par travail et un énorme courage, je suis d’accord. Il a été très courageux, il a beaucoup travaillé et à un moment, ça reste un être humain... mais il y a un petit relâchement. Etait-il moins bien ou avait-il moins en réussite ? Quel joueur n’a pas un trou dans une saison…La saison dernière a été différente pour lui, mais complète. [/SIZE]
Il n'a plus d’appréhension, il ne doute pas, il a avancé, progressé, il a une grande confiance en lui, le ciseau d’hier il va nous en mettre souvent et sa jambe, c’est du passé. Il a relevé un challenge énorme. S’il doit quelque chose à quelqu’un, c’est à sa personnalité, à son talent et voilà.
Alors ça c'est énorme comme ITW, j'adore. Ca change du blabla de "l'important c'est les 3 points" et autres "c'est de bonne augure pour la suite" Clap

Pour les béotiens médicaux comme missa c'est génial de voir, ne serait-ce que de loin, comment marche ces processus de guérison.

Merci Georges Bowdown
Bravo Georges!
Encore et encore!Bounce
Merci Georges ! Bowdown
:rld

Merci Georgio, c'était très sympa de voir ce côté de la vie du club, auquel on ne pense pas spontanément...

Ca fait bizarre de voir Cellier à l'OM, il faisait un très bon kiné de réputation continentale dans FM, et il acceptait les petits clubs :incline:. Bref...

J'ai l'impression que les joueurs sont entre de bonnes mains en tous cas!
Super merci Georges, ces interviews c'est frais et rare. On apprécie tous je crois, que ce soit nous, les journalistes ou même les docs (y'a qu'a voir la longueur, ils paraissent à l'aise)Clap
Merci Georges,

On sent que l'OM a franchit un pallier et pas uniquement sur le terrain et sa fait un bien fout de voir que l'équipe se repose sur une grosse structure.
KodiaK a écrit :Merci Georges,

On sent que l'OM a franchit un pallier et pas uniquement sur le terrain et sa fait un bien fout de voir que l'équipe se repose sur une grosse structure.

Exact: ça fait bizarre de le dire mais ça fait professionnel!:meuh
Bah disons qu'avec l'épisode Delfim et puis avant Maurice, on partait de très loin dans ce domaine.

Ajouter à cela un très bon numéro 2 Cuperly, un très bon préparateur physique Gacon, tout cela commence à prendre une très belle tournure, cela ne peut que se voir sur le terrain.
Tu prépares une thèse Georges ? Ermm


Georges Profond a écrit :Des miracles, il n’y en a pas à la Commanderie. Les miracles c’est pas ici.

Bon ben Fiorèse est pas prêt de partir les gars...:add_vache
Diagnostic pour Givet. Tachicardie et cheville ? Ou juste cheville ?