En tous cas, tu confirmes ma crainte que la bataille a commencé et va faire rage ! Les vendeurs de pelouse synthétique vont y aller de leurs arguments et vont tout faire pour convaincre le sport professionnel, car il n'y a pas que le foot concerné... Juteux marché !
Je veux bien te croire Passiom sur la vitesse du ballon mais il me semble que ç'a été dit pour Berne-OM...
Par contre le synthétique avantage les petits gabarits au centre de gravité bas !!!
chichiman a écrit :[ mode cétacé ON]
les biques, ça a du style, Oh !
[ mode cétacé OFF]
Arrête la moquett...euh pardon, le gazon synthétique !!!

chichiman a écrit :[ mode cétacé ON]
les biques, ça a du style, Oh !
[ mode cétacé OFF]

LadyKillers a écrit :J'étais ni pour ni contre, bien au contraire.
Mais là tu sers l'argument ultime pour être contre ce système. Respirer de l'herbe en boîte pour faire vrai ! :nono1:
Ca, c'est être faux-derche à 100%. Soit on fait le choix du synthétique, du faux, et on l'assume. Soit on reste sur du naturel. Mais la mascarade ... 
ouaip j'ai pensé pareil en lisant ce truc d'odeur.
Pourquoi pas mettre aussi un peu de peinture verte et noire pour etre presque vraiment sale quand tu sors du terrain? :mf_laug2
ce n est pas une mascarade c'est un moyen de transition dans l'esprit des joueurs...
mon but n est point de vous convaincre de la suprematie du gazon synthétique mais juste de savoir quels sont les préjugés encore ancrés dans les esprits des supporters et joueurs amateurs (que nous sommes tous je pense) a propos de l'utilisation de ce genre de surfaces AU NIVEAU PROFESSIONNEL
Mathildien75 a écrit :Par contre le synthétique avantage les petits gabarits au centre de gravité bas !!!
Pourquoi? çà chatouille moins sous les bras?
cela avantage les petits gabarits.......pour l instant.!
c'est a cause des legers problemes d appuis qui persistent car la matiere de remplissage (du caoutchouc recyclé) n'etait pas assez basse par rapport au sommet des brins de gazons..... et aussi a cause des crampons pas encore adaptés..........mais une entreprise (XLgeneration , au canada) vient de sortir une gamme SOCCER specialement concue pour l usage sur gazeons synthetiques de 5° generation
Pour prendre un point de vue plus "on s'en bat les coroñes du sport vive le business", je pense qu'il y a un énorme désavantage à l'usage du "synthé". Corrige moi si je me trompe costarica mais il me semble que changer un carré de synthétique s'avère problématique non? Le risque d'antorse est décuplé lors d'un appuis sur la zone de jointure du fait de la discontinuité de la surface. Pour réduire ce risque, il est probable qu'on trouve (ou qu'il existe déja) un procédé, mais qui coutera surement plus cher que le bon vieux "rajustage d'escalope".
Partant de ce postulat (bancal) il sera probablement délicat de gérér le problème des zones ou l'usure se fait plus sentir (près du gardien, a l'entrée de la surface et dans le rond central) car ces problèmes ne pouront plus etre résolus par des interventions en soft (arrosage, replantage, rajustage engrais...) mais devront se faire de facon beaucoup plus complexe. En résumé, on verrait apparaitre des patchwork dont le changement interviendrait surement beaucoup plus régulièrement que de la bonne vieille pelouse!
Et oui, pour moi le principal avantage de la pelouse c'est que ca repousse! Et gratuitement en plus:mf_bluesb
si vous avez encore des questions ou des remarques lachez vous je me permettrait de vous repondre demain.... car là j'me taille, c'est l'heure syndicale....
merci a tous pour m avoir repondu si vite et m avoir permis d'elaborer un premier plan des préjugés existant sur ce sujet
Acarp47 a écrit :Pour prendre un point de vue plus "on s'en bat les coroñes du sport vive le business", je pense qu'il y a un énorme désavantage à l'usage du "synthé". Corrige moi si je me trompe costarica mais il me semble que changer un carré de synthétique s'avère problématique non? Le risque d'antorse est décuplé lors d'un appuis sur la zone de jointure du fait de la discontinuité de la surface. Pour réduire ce risque, il est probable qu'on trouve (ou qu'il existe déja) un procédé, mais qui coutera surement plus cher que le bon vieux "rajustage d'escalope".
Partant de ce postulat (bancal) il sera probablement délicat de gérér le problème des zones ou l'usure se fait plus sentir (près du gardien, a l'entrée de la surface et dans le rond central) car ces problèmes ne pouront plus etre résolus par des interventions en soft (arrosage, replantage, rajustage engrais...) mais devront se faire de facon beaucoup plus complexe. En résumé, on verrait apparaitre des patchwork dont le changement interviendrait surement beaucoup plus régulièrement que de la bonne vieille pelouse!
Et oui, pour moi le principal avantage de la pelouse c'est que ca repousse! Et gratuitement en plus:mf_bluesb
les tests d'usure exercé par LABOSPORT au Mans prouve que toutes les fibres des nouvelles generations de gazons en synthetiques peuvent resister pendant 5 ans a des "charges-frottements...- a raison d'une utilisation de 15 000 heures annuelles....
et je t assure que du point de vue biziness l usage et l implantation d'une telle surface est plus qu'avantageuse.
mais je te donnerais plus de détails demain car je dois y aller ( enfin ! )
costarica a écrit :si tu pouvais le retrouver j aimerais avoir la reference du numero ....... on sait jamais....
Ci-dessous, un (très) large extrait de larticle en question, publié dans le numéro 1066 de juillet 2006. Pas seulement à ton attention costarica ; je pense que ca peut aussi intéresser d'autres opiomanes et contribuer au débat.
Pelouse artificielle
Le football saffranchit du gazon
par Vincent Nouyrigat
La Coupe du monde 2010 se jouera peut-être sur pelouse synthétique ! Car dotée désormais des mêmes qualités que le gazon la résistance en plus -, elle séduit enfin les plus hautes instances du football.
Les hommes sont sans pitié pour le raygrass anglais ! A lheure de la Coupe du monde de football, cette herbacée enchaîne les heures sup sous les crampons. Jusquau surmenage : brins chétifs, mottes arrachées, trous béants. Au risque de voir le jeu perdre en fluidité. Mais patience, la prochaine édition, qui aura lieu dans quatre ans en Afrique du Sud, pourrait se jouer sur des terrains parfaits, ultrarésistants, insensibles à la sécheresse ou au gel, et ne nécessitant pas la moindre goutte deau.
Des terrains
en plastique !
Lidée est des plus sérieuses : testées entre 2003 et 2005 sur des stades russes, écossais et suédois, les dernières technologies de gazon artificiel ont montré quelles répondaient aux critères drastiques imposées aux terrains de foot. Si bien que, depuis deux saisons, les très conservatrices institutions du football ont donné leur aval pour les compétitions internationales. Une révolution !
Préserver la qualité du jeu
Cela fait longtemps que le hockey sur gazon, le football américain ou le base-ball se jouent sur plastique. Mais le foot rechignait. « En 1968 sont apparues les premières pelouses en Nylon, se souvient Rolf Hediger, consultant terrain auprès de lUnion des associations européennes de football (UEFA). « Une catastrophe : les joueurs se brûlaient les cuisses à chaque tacle glissé ! » Pis, au lieu de rebondir, le ballon roulait à toute vitesse
Le jeu en était radicalement transformé.
Reproduire sur synthétique le comportement du ballon sur la pelouse se révèle en effet délicat. Dautant que le cahier des charges est précis. « Un ballon lâché dune hauteur de 2 mètres doit rebondir sur 60 à 85 cm ; lancé depuis un toboggan haut de 1 mètre et incliné à 45 °, il doit sarrêter en moins de 8 mètres, sur gazon sec », détaille ainsi Julien Ogier, ingénieur au Labosport, le laboratoire officiel de contrôle des revêtements sportifs. Il faut en outre que le terrain présente une adhérence, une solidité et une souplesse comparable à la bonne vieille terre. Cest avec ses consignes en tête que des industriels comme Tigerturf en Angleterre, Fieldturf au Canada, Polytan en Allemagne, Tarkett Sommer en France ou Sprinturf aux Etats-Unis, se sont lancés dans la conception de gazons artificiels. Daprès les experts, un des plus aboutis sur le marché est le XL Turf Pro développé par XL Generation, une société suisse spécialisée dans les sols sportifs.
Point clé, ladhérence
Le choix du matériau fut bien sûr décisif. Les Suisses ont opté pour le polyéthylène, non abrasif, et assez élastique pour contribuer au juste rebond du ballon. De plus, solidement enracinée, telle une moquette, la fibre résiste au piétinement. « Les fils, longs de 34 mm, sont plantés en rangs très serrées (30 000 touffes de 4 à 8 brins par m²), afin déviter quils ne se couchent trop facilement devant un ballon », explique Frédéric Vachon, ancien chercheur en biomécanique à luniversité de Montréal, aujourdhui développeur du XL Turf Pro. Par ailleurs, pour contenir lavancée du ballon, de petites fibres tire-bouchonnées redressent comme des ressorts les similibrins dherbe qui viennent dêtre écrasées.
Ces hélices en polyéthylène assurent en primer une partie de ladhérence. Car un joueur doit pouvoir démarrer brusquement ou sarrêter net, sans glisser. En revanche, en rotation, ladhérence doit être minimale : « Quand un joueur pivote, si la friction rotationnelle est trop élevée, la cheville se bloque tandis que le genou continue de tourner. Et ses ligaments cassent ! », explique Juan Vicente Dura Gil, de lInstitut biomécanique de Valence, agréé par lUEFA. La solution retenue par XL Turf Pro est détaler une couche de granulats au pied des fibres et de limiter à 10 mm la pénétration des crampons.
Même sils se blessent moins sur cette surface, les joueurs restent sceptiques
Lennui, cest que cela ne suffit pas à faire de ce tapis vert high-tech un terrain de foot valable : encore faut-il quil absorbe les chocs aussi bien quune pelouse. Là aussi, les autorités du foot demandent des comptes : un terrain sûr doit absorber au moins 60 % des forces de réactions enregistrées lors dun impact sur un sol en béton. Sinon les articulations des genoux ou des chevilles peuvent lâcher. Sur la pelouse artificielle, le match se joue cette fois sous la forêt de fibres : « On y a assemblé un sandwich de matériaux à mémoire de forme, précise Frédéric Vachon. Une couche duréthane, facilement déformable, chargée de guider une part du rebond du ballon, est coincée entre deux couches de Néopolen-P, un polypropylène utilisé dans les parechocs de voitures, permettant de réduire les décélérations subies par le corps. » Mais les exigences des footeux ne sarrêtent pas là ! Malgré ses qualités dabsorption, une surface très molle rendra impossible tout effort prolongé. Imaginez un joueur obligé de courir plus de 10 km par match sur du sable fin
Cest ici quinterviennent les propriétés singulières du Néopolen-P ! Son comportement, dit viscoélastique, dépend de la vitesse avec laquelle une force lui est appliquée : il dissipe lénergie de la réception dun saut mais en retourne jusquà 90 % lorsquil répond à une sollicitation moins violente comme la propulsion dun athlète. Résultat : « Le rythme cardiaque des joueurs et leur consommation doxygène indiquent que le coût métabolique de notre revêtement est même un peu inférieur à celui dune pelouse naturelle », affirme Frédéric Vachon.
Une nécessité pour lavenir
La densité du polypropylène gardée secrète garantit également de faibles déformations verticales (moins de 8 mm). Un sol moins stable pourrait provoquer des entorses à la cheville. Et le résultat est là : une étude menée sur 14 équipes entre 2003 et 2005 par lUEFA montre que le taux de blessures pour 1 000 heures jouées passe de 11,8 sur terrain naturel à 8,3 sur pelouse artificielle. Mais quen pensent les sportifs ? Selon un sondage réalisé en 2002 aux Pays-Bas, auprès de 80 joueurs, seuls 65 % se trouvent à laise dessus. Dailleurs, le club écossais de Dunfermline a dû remballer la sienne, sous la pression des équipes visiteuses.
Quà cela ne tienne, les pelouses artificielles commencent à fleurir dans les pays nordiques et en Afrique, où les conditions météo mettent à mal le gazon. Et les grands clubs européens rêvent aussi de conserver un terrain sain, pendant dix ans. Il faut dire que leurs enceintes modernes, avec plafonds amovibles et tribunes hautes, ne favorisent guère la photosynthèse. Ainsi, le gazon du stade dernier cri de lAjax dAmsterdam doté dun plafond doit être changé sept fois par an ! Lavenir proche serait donc bien au plastique. Dailleurs, lAjax dAmsterdam, justement vient déquiper son centre de formation en pelouse artificielle, dans lespoir dy accoutumer ses jeunes pousses
---------------
En aparté
Le football compte 250 millions de licenciés à travers 207 pays ! Sport universel, il se heurte toutefois à la mauvaise qualité des terrains dans les régions du monde aux conditions climatiques difficiles. La météo finlandaise, par exemple, ne donne que trois mois de répit aux pelouses. Alors quau Maroc, lentretien des 7 000 m² de gazon demande des quantités deau presque indécentes (50 m3 par jour)
Autant dobstacles que pourraient lever les gazons synthétiques.
En complément une interview du Professeur Jacques Crestini, directeur technique du Stade de France ainsi quun schéma explicatif.
merci passiom pour cet article ; j espere qu il convaincra certains sceptiques que l avenir est au synthétique (surtout dans les pays froid ou chaud) ; dans les zones tempérées comme chez nous (sud de la france) l'usage se devra d'être motivé par d'autres avantages tel que la possibilité de jouer intensivement sur la pelouse (exemple a milan) ou encore de diminuer le nombre et la gravité des blessures...... ce qui reste a prouver aux joueurs et aux spectateurs.
Question que personne n'a encore soulevé : quid de l'aspect écologique de la chose ? Comment recycle-t-on ce bazard ? Et peut-on reconvertir un terrain qui aurait été utilisé de la sorte pour un autre usage ?
Question annexe, mais peut-être non dénuée d'intérêt : on fait quoi dans 15/20 ans, quand on aura plus de pétrole ?

LadyKillers a écrit :Question annexe, mais peut-être non dénuée d'intérêt : on fait quoi dans 15/20 ans, quand on aura plus de pétrole ?

ils auront inventé de la pelouse qui ressemble à du synthetique

et ils arroseront avec de l'eau aromatisée au plastique pour pas que les joueurs soient trop depaysés

Merci pour cet article riche en informations. Ma pratique personnelle me laisse croire que le synthétique est de moins en moins désagréable et de moins en moins néfaste pour les articulations et le dos. Pour apporter de l'eau au moulin, la fédération française de rugby met en place une procédure d'homologuation pour ces terrains. Le CNR de marcoussis possède déjà un synthétique pour le XV de France, et d'autres clubs utilisent ce genre de terrain pour l'entrainement (a ma connaissance Nantes, Havre Rugby Club...)
pour ce qui est du côté "écologique" de la chose (qui nous tient tous à coeur j'en suis sur) quand il n'y aura plus de pétrole, il n'yaura plus ni ballons ni chaussures. Et quand on voit (dans l'article) les quantités d'eau nécessaire au Maroc, qu'on pense à tous ces terrains dans nos régions (bientôt) arides on peut se dire que ca peut faire du bien malgré tout...
Aïoli
Ju
tout d'abord merci ladykillers pour soulever ce point qui me tient a coeur....
au niveau écologique les terrains en synthétiques sont a 70% recyclable ou en matiére recyclée (le remplissage de billes en caoutchouc = pneus recyclés; la couche de protection (ou couche de souplesse) en matiére de remplissage de pare chocs recyclée...)
les fibres de gazon sont recyclable aussi
il ne reste plus qu'a trouver un moyen de recyclé les sous couche ainsi que la couche de fondation, qui ne sont toute fois pas néfaste pour l'environnement (taux de dissolution en zinc et en plomb calculés par labosport au Mans)
le developpement durable est ancré dans notre société et c'est pourquoi les entreprises construisant et installant ce type de surface investiisent enormement dans la recherche environementale
de plus elles s engagent a recupérer les surfaces aprés usage professionel soit pour les réorientées (gratuitement) vers des parcs publique ou des terrains amateurs (en fonction de l usure) ou bien de les detruire et de les recyclés a leurs frais.
il parait donc clair que tant au niveau écologique (moins d'eau , fini les engrais et pesticides nefaste pour les nappe phréatiques...) qu'au niveau financier le synthétique s impose comme une solution d avenir
maintenant reste a convaincre joueurs et supporters qu au niveau de la jouabilité et du "ressenti" du terrain ces surfaces n ont rien a envier au pelouse naturelle
un petit article relayé par l'uefa:
Gazon maudit, plastique fantastique
Le tapis vert des terrains de football va devoir compter sur le plastique et le caoutchouc pour remplacer son gazon naturel. Cette mutation réduirait les coûts de revient.
Ce bon vieux gazon béni des dieux du stade devient obsolète. Il est en passe de se faire couper l’herbe sous le pied par la pelouse synthétique jusque dans les hautes sphères du football. Sepp Platter, président de la FIFA (Fédération internationale des associations de football), a affirmé, le 11 janvier 2002, que la Coupe du monde de 2010 pourrait se disputer sur des pelouses synthétiques. Jusqu’à présent, les instances officielles du ballon rond étaient sceptiques au sujet des pelouses artificielles : roulement altéré, risques accrus de blessures (notamment les blessures par frottement) entachaient la réputation de ces nouveaux terrains. Il est vrai que « le gazon synthétique de première génération était une moquette remplie de sable de rivière, du dur… » explique Francis Guisse, directeur R&D à la Compagnie générale des espaces verts (CGEV).
Au chapitre des innovations, le stade Gelderome, à Arnhem (Pays-Bas), possède une zone de jeu qui peut sortir du stade en glissant pour permettre au gazon de pousser en plein air...
Une pelouse en pneus recyclés !
« Depuis trois ans, les choses se sont bien améliorées » poursuit Francis Guisse, la hauteur du faux gazon, constitué de fibres de polypropylène et de polyéthylène, atteint aujourd’hui trois centimètres, un gage de souplesse et de douceur. Ces brins en plastique sont plantés dans un mélange particulier de sable et de granules de caoutchouc (provenant souvent de pneus de voitures).
Du coup, les joueurs professionnels plébiscitent ce support, déjà utilisé par la prestigieuse équipe du FC Barcelone. Pourtant, Francis Guisse reste perplexe au sujet du niveau de confort présenté par la pelouse artificielle et souligne les brûlures pouvant être occasionnées. Il reconnaît en revanche un certain nombre d’avantages d’ordre économique : le terrain synthétique est utilisable quel que soit le temps et il nécessite beaucoup moins d’entretien après le passage d’une armée de crampons. De plus, installée dans une région sèche, la pelouse artificielle évite une irrigation abusive, voire indécente. Un espoir pour les pays africains désireux d’accueillir la coupe du monde en 2010.
Foot - LFP : Sévérité en cas de report de matches
Rembourser intégralement les frais de déplacement de l'équipe visiteuse, des officiels (arbitres, délégués) et les frais de production du diffuseur télévisuel, c'est ce qui attend les clubs de L1 et L2 en cas de report de matches pour cause de pelouses impraticables. Le Conseil d'Administration de la Ligue, réuni samedi à Paris, a ainsi décidé d'accroître ses sanctions qui épargnaient jusque là les clubs ne disposant ni de bâche ni de pelouse chauffée.
«On a serré la vis, a expliqué Frédéric Thiriez, président de la LFP. Il n'est pas normal qu'un pays comme la France ne puisse pas garantir la tenue des matches. La Ligue a le devoir de fournir un spectacle à ses spectateurs et téléspectateurs. Onze matches reportés (cette saison), c'est trop, a ajouté M. Thiriez. En Allemagne, où le climat n'est pas plus clément qu'en France, il n'y a pas eu de matches reportés.» En revanche, le cas de force majeure sera la seule exception tolérée par la Commission d'organisation des compétitions.
voilà une éventuelle bonne raison pour les dirigeants de vouloir une pelouse synthétique
plus de questions ????
aucunes reclamations ????
vous seriez prets a voir marseille jouer sur un terrain en synthétique disons ..... ds 5 ans ???
comment on fait pour savoir le sens du vent avant de taper si on a pas une petite touffe d'herbe sous la main?
Ya bien les drapeaux de touche mais c'est pas toujours assez significatif.
