23-06-2006, 16:55
Mesdames Messieurs nous avons décidé de vous rencontrer aujourd’hui pour apporter certaines réponses à certaines questions mais avant ça je voulais revenir sur la double nomination d’Albert Emon et de Dominique Cuperly. Je souhaite être le plus clair possible à ce sujet. Même si ici ou là je lis où j’entends parfois certains avis tendancieux. Je souhaite vous dire de manière très définitive la chose suivante. Le choix que l’OM a fait en désignant Albert Emon et on lui adjoignant Monsieur Dominique Cuperly, n’est pas du tout un choix par défaut. Dès le départ de Jean Fernandez ; nous avons reçu une multitude de candidatures, je dis bien un nombre important émanant de techniciens français et européens, à la notoriété bien assisse ; dans notre réflexion Albert Emon faisait parti des éléments potentiels à choisir.
On était devant un double choix ; Le premier était de dire peut-on fait un choix de rupture tout en continuant à respecter notre philosophie qui était de dire on va d’abord assurer la stabilité du club. La question n’avait pas été tranchée tout de suite mais nous y avons beaucoup réfléchi.
A partir de la nous avons décidé de rencontrer la plupart des candidats qui nous paraissaient fiables mais surtout ceux qui répondaient le mieux aux critères que nous avions fixé. Nous avons rencontré beaucoup d’entraîneurs, je ne vais pas les citer tous, j’ai pu lire certains noms dans la presse, certains avec lesquels nous n’avons jamais pris contact mais qui ont peut être eux même donné leur nom pour revenir au devant de la scène. Avec d’autres, nous avons pris contact de manière informelle, mais très peu sont les entraîneurs que nous avons vraiment rencontré et avec lesquels nous avons discuté et approfondi l’échange.
Ils sont me semble-t-il au nombre de 4. Pas plus. Le dernier en date, Zeman, était un candidat sérieux à nos yeux. Il incarnait la rupture, il avait la compétence, et nous avons longtemps discuté avec lui. On a pesé le pour et le contre, on a mis en opposition et on a essayé d’aviser. Je passe sur ses qualités, il est venu à Marseille discuter pendant plus de 24 heures avec nous. Son handicap majeur était de ne pas parler français.
Je crois qu’aujourd’hui en matière de préparation, physique, technique, athlétique, tactique, médicale les méthodes se sont uniformisées. La différence tient à la capacité qu’un entraîneur peut avoir à tirer le maximum des possibilités de son équipe. Ça passe par une expression maîtrisée, un échange, un dialogue permanent avec ses joueurs. De ce point de vue là, Zeman ne présentait pas cette caractéristique. Dans le même temps l’ancien entraîneur du Bayern à qui on demandait s’il pouvait venir à France, sa réponse a été de dire je serais ravi de venir en France si je parlais le Français.
Ça me conformait dans l’idée de prendre un entraîneur qui ne s’exprimait pas en Français présentait peut-être un risque et dans les différentes démarches que nous avions entreprises, Albert Emon était toujours là en place de choix. Ce n’est pas un choix par défaut. Dès le premier jour on savait qu’Albert était un candidat sérieux et potentiel. Je ne parle pas de lui. Vous connaissez sa carrière son dévouement au club.
Il a l’avantage important de connaître la ville, le club, l’effectif et les objectifs qui étaient les nôtres. Vous dites alors si Albert était si bien placé pourquoi ne pas l’avoir pris tout de suite ? La réponse n’est pas difficile à donner. On avait déjà beaucoup travaillé sur la saison à venir. Jean Fernandez, José la caution Marseillaise et moi. On savait comment on comptait s’y prendre pour enrichir l’équipe pour donner à l’effectif une configuration définitive. Si les choses s’étaient précipitées, c’était fort possible qu’à l’époque ou Jean était encore là on eu pris tous les joueurs dont il était question, on eu déjà formé l’effectif. Jean serait quand même parti. Fallait-il attendre l’arrivée d’un nouvel entraîneur pour que celui-ci nous dise, ces joueurs que vous avez pris ou la configuration que vous avez donnée à votre effectif ne me convient pas.
On était déjà très sur de notre fait et on savait que l’entraîneur qui viendrait travaillerait avec les schémas que nous avions décidé, adopté, avec l’effectif que nous avions décidé de mettre en place. Cela était important. Tous les entraîneurs que j’ai rencontré, la première condition que j’avais posé était celle là. On a dit voilà l’effectif, voila dans quelle philosophie on l’a mis en place, voilà les postes que nous souhaitons renforcer, avec peut-être ces garçons là avec lesquels nous sommes en contact cela vous convient pour travailler avec nous ? Ceux qui étaient susceptibles de venir étaient tous d’accord sur ce principe. Avec engagement de leur part de ne pas dire demain, oui je suis venu mais je n’ai pas choisi l’effectif. On était clair sur ce plan. L’entraîneur qui devait venir, pour nous la seule date qui était importante celle qui nous concernait, qu’on regardait, était la date de reprise. Il devait arriver à temps pour préparer son avant saison. On n’était pas en retard même si beaucoup de gens se sont montrés empressés, plus pressés que nous.
Voilà l’explication qui fait que Albert a été nommé en dernier ressort. Autre idée qui s’est répandue et à laquelle je me plaîs à tordre le cou c’était l’idée de dire qu’à Marseille plus personne ne veut venir. J’ai lu ça sous la plume de quelques uns d’entre vous ici. En dehors d’une certaine malveillance qui animait certains mais ça c’est une chose ; Autre chose, nous n’avons jamais été en défaut. Les entraîneurs sont venus vers nous plus que vous ne pouvez l’imaginer. Un jour je me plairai à vous montrer peut-être la liste de ceux qui on voulu travailler à l’OM. Quelque que soit ce qui peut être dit autour du club, quelque soient les griefs qu’on peut porter, l’OM suscite toujours autant d’intérêt aux yeux des techniciens. Quelques un étaient en place dans des clubs et directement ou indirectement ont pris contact pour venir à l’OM… Nous n’avons jamais été en manque d’hommes compétents susceptibles de prendre l’OM. Notre choix est mûrement réfléchi. Nous avons souhaité à coté d’Albert Emon un homme d’expérience de carrure, qui connaît la haute compétition, il a gagné ce qu’il y avait de plus prestigieux à gagner dans le cadre national, j’ai nommé Dominique Cuperly qui nous fait l’honneur de venir chez nous ; Les discussion n’ont pas traîné.
En moins de 24h il a donné sa réponse. Je l’en remercie. Il nous témoigne une grande confiance, c’est la même confiance qui nous anime qui nous a animé lorsqu’il s’est agit de faire un choix de l’entraîneur assistant qui connaît son métier, qui l’a démontré et qui a une longue histoire d’amitié avec Albert. Ils se sont connus très jeunes ce qui ne peut que renforcer et nourrir leur future collaboration… Voilà ce que j’avais à dire sur l’entraîneur…
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On était devant un double choix ; Le premier était de dire peut-on fait un choix de rupture tout en continuant à respecter notre philosophie qui était de dire on va d’abord assurer la stabilité du club. La question n’avait pas été tranchée tout de suite mais nous y avons beaucoup réfléchi.
A partir de la nous avons décidé de rencontrer la plupart des candidats qui nous paraissaient fiables mais surtout ceux qui répondaient le mieux aux critères que nous avions fixé. Nous avons rencontré beaucoup d’entraîneurs, je ne vais pas les citer tous, j’ai pu lire certains noms dans la presse, certains avec lesquels nous n’avons jamais pris contact mais qui ont peut être eux même donné leur nom pour revenir au devant de la scène. Avec d’autres, nous avons pris contact de manière informelle, mais très peu sont les entraîneurs que nous avons vraiment rencontré et avec lesquels nous avons discuté et approfondi l’échange.
Ils sont me semble-t-il au nombre de 4. Pas plus. Le dernier en date, Zeman, était un candidat sérieux à nos yeux. Il incarnait la rupture, il avait la compétence, et nous avons longtemps discuté avec lui. On a pesé le pour et le contre, on a mis en opposition et on a essayé d’aviser. Je passe sur ses qualités, il est venu à Marseille discuter pendant plus de 24 heures avec nous. Son handicap majeur était de ne pas parler français.
Je crois qu’aujourd’hui en matière de préparation, physique, technique, athlétique, tactique, médicale les méthodes se sont uniformisées. La différence tient à la capacité qu’un entraîneur peut avoir à tirer le maximum des possibilités de son équipe. Ça passe par une expression maîtrisée, un échange, un dialogue permanent avec ses joueurs. De ce point de vue là, Zeman ne présentait pas cette caractéristique. Dans le même temps l’ancien entraîneur du Bayern à qui on demandait s’il pouvait venir à France, sa réponse a été de dire je serais ravi de venir en France si je parlais le Français.
Ça me conformait dans l’idée de prendre un entraîneur qui ne s’exprimait pas en Français présentait peut-être un risque et dans les différentes démarches que nous avions entreprises, Albert Emon était toujours là en place de choix. Ce n’est pas un choix par défaut. Dès le premier jour on savait qu’Albert était un candidat sérieux et potentiel. Je ne parle pas de lui. Vous connaissez sa carrière son dévouement au club.
Il a l’avantage important de connaître la ville, le club, l’effectif et les objectifs qui étaient les nôtres. Vous dites alors si Albert était si bien placé pourquoi ne pas l’avoir pris tout de suite ? La réponse n’est pas difficile à donner. On avait déjà beaucoup travaillé sur la saison à venir. Jean Fernandez, José la caution Marseillaise et moi. On savait comment on comptait s’y prendre pour enrichir l’équipe pour donner à l’effectif une configuration définitive. Si les choses s’étaient précipitées, c’était fort possible qu’à l’époque ou Jean était encore là on eu pris tous les joueurs dont il était question, on eu déjà formé l’effectif. Jean serait quand même parti. Fallait-il attendre l’arrivée d’un nouvel entraîneur pour que celui-ci nous dise, ces joueurs que vous avez pris ou la configuration que vous avez donnée à votre effectif ne me convient pas.
On était déjà très sur de notre fait et on savait que l’entraîneur qui viendrait travaillerait avec les schémas que nous avions décidé, adopté, avec l’effectif que nous avions décidé de mettre en place. Cela était important. Tous les entraîneurs que j’ai rencontré, la première condition que j’avais posé était celle là. On a dit voilà l’effectif, voila dans quelle philosophie on l’a mis en place, voilà les postes que nous souhaitons renforcer, avec peut-être ces garçons là avec lesquels nous sommes en contact cela vous convient pour travailler avec nous ? Ceux qui étaient susceptibles de venir étaient tous d’accord sur ce principe. Avec engagement de leur part de ne pas dire demain, oui je suis venu mais je n’ai pas choisi l’effectif. On était clair sur ce plan. L’entraîneur qui devait venir, pour nous la seule date qui était importante celle qui nous concernait, qu’on regardait, était la date de reprise. Il devait arriver à temps pour préparer son avant saison. On n’était pas en retard même si beaucoup de gens se sont montrés empressés, plus pressés que nous.
Voilà l’explication qui fait que Albert a été nommé en dernier ressort. Autre idée qui s’est répandue et à laquelle je me plaîs à tordre le cou c’était l’idée de dire qu’à Marseille plus personne ne veut venir. J’ai lu ça sous la plume de quelques uns d’entre vous ici. En dehors d’une certaine malveillance qui animait certains mais ça c’est une chose ; Autre chose, nous n’avons jamais été en défaut. Les entraîneurs sont venus vers nous plus que vous ne pouvez l’imaginer. Un jour je me plairai à vous montrer peut-être la liste de ceux qui on voulu travailler à l’OM. Quelque que soit ce qui peut être dit autour du club, quelque soient les griefs qu’on peut porter, l’OM suscite toujours autant d’intérêt aux yeux des techniciens. Quelques un étaient en place dans des clubs et directement ou indirectement ont pris contact pour venir à l’OM… Nous n’avons jamais été en manque d’hommes compétents susceptibles de prendre l’OM. Notre choix est mûrement réfléchi. Nous avons souhaité à coté d’Albert Emon un homme d’expérience de carrure, qui connaît la haute compétition, il a gagné ce qu’il y avait de plus prestigieux à gagner dans le cadre national, j’ai nommé Dominique Cuperly qui nous fait l’honneur de venir chez nous ; Les discussion n’ont pas traîné.
En moins de 24h il a donné sa réponse. Je l’en remercie. Il nous témoigne une grande confiance, c’est la même confiance qui nous anime qui nous a animé lorsqu’il s’est agit de faire un choix de l’entraîneur assistant qui connaît son métier, qui l’a démontré et qui a une longue histoire d’amitié avec Albert. Ils se sont connus très jeunes ce qui ne peut que renforcer et nourrir leur future collaboration… Voilà ce que j’avais à dire sur l’entraîneur…
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