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Version complète : Jours tranquilles à Clichy
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Kr1Deg1 a écrit :Vrai pour ce qui m'concerne!! Je ne suis sorti qu'une fois de mon cadre de pensée opiomane, qui vise au respect à outrance, à la liberté de parole, aux échanges idéologico-footballistiques... (même si certains me stressent plus que le Guy Menez!!!) La faute à la haute idée que je me fais de l'amitié et au non respect du pacte de non-agression tacite, en place depuis l'ouverture de ce topic! :ange: (Mea culpa tout en précisant que les "régles" édictées ici doivent s'appliquer à tous, sans exception!!)

Mais le fond du problème est tout autre pour missa: ce type d'échanges induit nécessairement la polémique et la passion! Personne n'est dupe quant à l'impact réel de nos débats, rassure toi Boeuf! Mais c'est un argument qui est aussi valable en matiére de mercato, de systéme tactique, de politique d'expansion du club, de ses choix éco.... pourquoi stigmatiser un topic sous prétexte que les propos sont nettement moins consensuels que les diatribes Dioufistes!!

Une fois n'est pas coutume, je partage l'avis de Keyser!! Et pourtant, j'apprécie (et cela ne se limite pas à Clichy...) nos conflits verbaux pour ce qu'ils sont toujours courtois et enflammés! C'est la richesse de notre fumerie que de pouvoir mélanger des suppôts de Blayau, des damnés d'la caution Marseillaise, des rappeurs scrédars, des popistes irlandais, des royaumistes renaissants, des minots impétueux et des sages placardisés, des banquisards qui parlent un dialecte autochtone, des adeptes du fly et du baby-jus, des dodgers, des Ganay, des Ultras, des pacifiquistes, des new-yorkais et un yankee sénile, plein d'habitudes....

Je participe à ce topic, comme tout autre m'interpellant dans la fumerie! J'faisais partie des heureux de son ouverture! J'serais navré de sa fermeture mais conscient, si ça devait être le cas, qu'elle était inéluctable!!

J'finirais par préciser que ce topic (sur les 25 premiéres pages, concernant les fameuses émeutes notamment) était de haute volée et l'exemple parfait de ce que peut doner un débat à la sauce opiomane...

"Soyons réalistes, exigeons l'impossible!!" Celui d'un lieu de discussion polémique constructif, qui n'existe même plus à l'Assemblée nationale!!!:punk1:






et faisons en sorte que Boeuf ne regrette rien...

clair, kr1 que s'emboucaner sur la taquetaquetique de jean fernandez ou sur les causeries d'la caution Marseillaise relève du même niveau de jeu que les espaces de discussion sur Clichy! car il est évident de sagesse, qu'avant tout, tout cela n'est qu'un jeu, virtuel s'il en est, qui s'évapore comme une illusion dès que l'on rencontre physiquement les quidams antagonistes...
boeuf mode a écrit :clair, kr1 que s'emboucaner sur la taquetaquetique de jean fernandez ou sur les causeries d'la caution Marseillaise relève du même niveau de jeu que les espaces de discussion sur Clichy! car il est bien évident de sagesse, qu'avant tout, tout cela n'est qu'un jeu, virtuel s'il en est, qui s'évapore comme une illusion dès que l'on rencontre physiquement les quidams antagonistes...

ça veut dire que depuis que l'on a partagé quelques verres, j'suis tout de suite moins crédible??Prop
boeuf mode a écrit :sache mon bon keyser que certains posts ont disparu dans les arcanes du web...
Mea culpa, je ne les ai point vu Prop
Kr1Deg1 a écrit :ça veut dire que depuis que l'on a partagé quelques verres, j'suis tout de suite moins crédible??Prop

surtout avé le bonnet péruvien... Wicked
boeuf mode a écrit :surtout avé le bonnet péruvien... Wicked


Laugh Laugh Laugh Laugh Laugh
eh oui il est venu au stade en hommage au condor peruvien avé le bonnetApplause
La bave des crapauds imbibés n'atteint pas la blanche colombe péruvienne enfumée!!!!Prop
Nil Sanyas a écrit :Pourquoi crier au loup alors qu'il n'y a pas de loup ?

Frilosité qui reflète pas mal de chose ? Doctor

on attend toujours avec impatience le décryptage des hiéroglyphes du nil ! on assume ou on se couche ? c'est ça le poker menteur... Rock
boeuf mode a écrit :on attend toujours avec impatience le décryptage des hiéroglyphes du nil ! on assume ou on se couche ? c'est ça le poker menteur... Rock
http://www.opiom.net/forums/showpost.php...tcount=545

enfin je crois Blush
Manolito a écrit :http://www.opiom.net/forums/showpost.php...tcount=545

enfin je crois Blush

on a vu ! ça explique pas le pavé de sous-entendus... Yuk
boeuf mode a écrit :on attend toujours avec impatience le décryptage des hiéroglyphes du nil ! on assume ou on se couche ? c'est ça le poker menteur... Rock
Boeuf, c'était une simple image par rapport à la conversation précédente, qui racontait la frilosité de nos dirigeants politiques :echarpe-o

Rien de plus, pas de sous-entendus.
boeuf mode a écrit :on a vu ! ça explique pas le pavé de sous-entendus... Yuk

Ya quelqu'un qui s'est glissé dans le corps du bovidé!!!Laugh
Kr1Deg1 a écrit :Ya quelqu'un qui s'est glissé dans le corps du bovidé!!!Laugh

bah je sais pas tu relis le post de nil et ça pose question... surtout quand il s'agit d'un membre qui connait la fumerie depuis des lustres et qui sait que je n'ai caïman jamais censuré personne... :(
boeuf mode a écrit :bah je sais pas tu relis le post de nil et ça pose question... surtout quand il s'agit d'un membre qui connait la fumerie depuis des lustres et qui sait que je n'ai caïman jamais censuré personne... :(

Ba c'est pour ça que je suis convaincu qu'il ya malentendu!!!King
punaise y a des photographes pervers quand même !

[Image: IMAGE_T5_24153.jpg]
Espigoulien a écrit :punaise y a des photographes pervers quand même !

[Image: IMAGE_T5_24153.jpg]

Di Canio se lance dans la politique , ça y est ?





:jout1:
Pervers ou visionnaire???Prop
Débat houleux à Clichy-sous-Bois entre jeunes et célébrités venues les inciter à voter.
«J'en ai pas vu un seul d'entre vous pendant les émeutes!»


par Didier ARNAUD
Libération: mercredi 21 décembre 2005
  • Medhi avait prévenu. «Les célébrités vont amener la foule. Mais on n'est pas au festival de Cannes.» Amane s'est inquiété, peu avant le début : «On ne pensait pas avoir autant de monde. J'espère qu'ils vont poser les bonnes questions.» Pas de montée des marches, mais des propos qui fâchent. Mehdi et Amane font partie de deux des associations qui organisaient, hier, à la maison des jeunes de Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), une opération pour inciter les jeunes à s'inscrire sur les listes électorales. Sans doute trop tôt après les émeutes et la mort de deux adolescents dans un transformateur EDF, elle a provoqué des joutes verbales, donné lieu à un débat cathartique. Mais elle n'a pas vraiment convaincu les spectateurs de son bien-fondé.
Rampe de lancement. Dans la maison des jeunes, 400 sièges, c'est trop peu pour une opération annoncée partout. Les ingrédients sont en place pour l'ébullition. Les caméras déboulent, en bousculade ­ «on arrive mieux à neutraliser les jeunes que les journalistes, c'est un truc de fou», dit un animateur. Des associations locales (Au-delà des mots et AC le Feu !) et une, plus médiatique et nationale (Devoirs de mémoires),qui luttent, entre autres, contre les discriminations, discutent âprement de l'organisation, qu'ils échafaudent ensemble. «Devoirs» veut faire de Clichy une rampe de lancement d'une initiative nationale pour le vote des jeunes des cités.La concurrence toutefois, inévitable, entre «locaux»jeunes et associationset «étrangers» les stars membres de Devoirs de mémoires . Ces dernières débarquent, s'assoient sur des chaises en rang d'oignons. On vient voir, on applaudit. Pourtant, même si certains, comme Jamel Debbouze et Joey Starr, sont censés figurer l'appartenance banlieusarde, ils ne semblent plus représenter les jeunes des banlieues, en tout cas pas ceux de Clichy.
Boris, jeune Clichois coiffé d'un bonnet, tend cette embuscade au rappeur Joey Starr : «Vous voulez qu'on prenne des cartes électorales. Pour voter pour qui ? Qui nous représente ? J'en ai pas vu un seul d'entre vous pendant les émeutes. Pourquoi ? Vous avez du temps, maintenant ?» Joey Starr : «Toutes ces choses qu'on fait, faut pas nous les jeter à la gueule.» Boris encore : «Cela fait des années que vous êtes là, des années que vous ne nous représentez pas.» Boris exécute un dernier crochet, sous les applaudissements de la salle, avant d'être emporté par le service d'ordre : «Moi, je ne vais pas chez toi sans raison pour me faire ma pub.»
«Mauvais procès». La brochette de célébrités colmate les brèches, avec plus ou moins de bonheur. Jamel Debbouze s'étrangle qu'on le prenne pour «l'Arabe de service» : «Hé cousine ! Je suis pas venu pour me faire insulter !» rétorque-t-il à une éducatrice qui embraye sur le discours de Boris. Le comédien défend sa sincérité. Son collègue, Jean-Pierre Bacri, avait préalablement critiqué la «ronde des bons sentiments» des autres stars qui plaident : «votez, votez, pour exister». De sa voix rauque, il s'est plaint du ton pris par les débats : «c'est un mauvais procès qu'on fait à la politique. Vous rejoignez les discours des extrêmes qui parlent du "tous pourris". Regardez ce mec de maire de Clichy, il bosse comme un malade. Ne dites pas du mal de la politique. Un jour, elle va s'occuper de vous.»
Sur la scène,Samir a pris le micro : «Les politiques ne nous donneront rien tant qu'on n'existera pas.» Tant qu'on ne votera pas. Joey Starr, en un mea-culpa final en forme d'explication à ceux qui rateraient le coche : «J'ai 38 ans, j'ai eu accès à un certain savoir, j'aurais pu me rancarder moi-même, je ne l'ai pas fait.» Il ne veut pas que d'autres reproduisent son erreur. La démarche des artistes est louable. Cependant, dans la salle, certains se demandent pourquoi les politiques sont absents. «J'aurais préféré que les artistes n'aient pas besoin de faire cela», a admis le maire (PS) de Clichy, Claude Dilain, devant les caméras. Lui-même répète : «Voter, c'est comme cela qu'on va s'en sortir, mais aussi, s'investir dans la vie de la ville.» A Clichy, qu'est ce que cela veut dire, s'inscrire ? «Les médias pensent que l'inscription est automatique, mais elle ne l'est pas autant que cela», expliquait le premier adjoint au maire, Olivier Klein. En fait, il faut «se signaler» au moment du recensement, à 16 ans, ou aller en mairie, à 18. La mairie ignore combien de personnes sont en âge de voter. A Clichy-sous-Bois, il y a 7 000 inscrits sur 28 000 habitants. Parmi ces derniers, 50 % ont moins de 20 ans et 33 % sont étrangers.
Mais avant que le vote ait un sens, il faut aborder «les vrais problèmes» dit un jeune dans l'assistance. L'absence de gare, d'équipements, de moyens pour les associations... Les participants à cette journée «citoyenne» n'ont toujours pas digéré la proposition «humiliante» faite par Eric Raoult, maire du proche et riche Raincy de mettre la ville de Clichy sous tutelle. Un mois et demi après le commencement des émeutes en banlieue, les faits sont toujours présents. Et Tewfik, animateur, demande : «Pourquoi attendre deux morts et des voitures brûlées pour qu'on parle de Clichy-sous-Bois ?» Mohamed, organisateur, lance : «Je veux rendre hommage à tous ceux qui ont été arrêtés pendant les émeutes sociales et penser aux gros voyous qui sont toujours dehors.»
Recueil de doléances. Devant la mairie, les caméras ont «filmé la symbolique des jeunes avec les parrains en train de voter», selon les mots d'un membre de Devoirs de mémoires. Mohamed, organisateur, veut recueillir les doléances des habitants et les remettre à l'Assemblée nationale : «Ce ne sont pas eux (les politiques) qui vont trouver les solutions, c'est nous qui allons transmettre nos problèmes.»
Kr1Deg1 a écrit :Pervers ou visionnaire???Prop
Mm
...
préfère ne pas relever, ce n'est même pas un bon jeu de mot...là Kr1...Diablo
Sinon, avant hier, dans le figaroBlush , un excellent article :
La petite peur des bien-pensants

La chronique d'Alain-Gérard Slama
[19 décembre 2005]


Certains silences sont plus parlants que de longues phrases. Il en allait ainsi, samedi soir, lorsque le comédien Jamel Debbouze, invité sur France 2 chez Laurent Ruquier, évoqua le roman de Steinbeck Des souris et des hommes, dont il avait interprété le personnage de George au collège. Un silence subit s'est alors abattu sur le public d'ordinaire invité pour rire plutôt que pour se taire. A l'évidence, parmi les jeunes présents sur le plateau, à peu près aucun n'avait lu le livre.

En un éclair, cette brève allusion à une des plus grandes oeuvres du dernier avant-guerre arrachait le héros de Mission Cléopâtre au stéréotype de l'enfant d'immigré de banlieue. Une vérité ressortait, qui, sur ce plateau, suscitait un malaise : si les voyous qui se sont déchaînés en novembre étaient, dans l'ensemble, déculturés, nombre d'autres sont loin de l'être ; ils partagent la volonté d'exceller qui caractérise toutes les minorités immigrées.
Le problème est que, si certains, d'Azouz Begag à Karim Zeribi en passant par Fatiha Benatsou, Jeannette Bougrab, Malek Boutih, Zaïr Kedadouche, Rachid Mokran et tant d'autres, jouent le jeu de la République dont ils ne se distinguent pas, les plus actifs et les plus présents sur les écrans de télévision sont ceux qui retournent contre elle sa culture.

C'est le cas de Claude Ribbe, normalien de la Rue d'Ulm, qui a troublé la célébration du bicentenaire de la bataille d'Austerlitz en rappelant, comme une grande découverte, que Napoléon Bonaparte a rétabli l'esclavage dans les colonies en 1802. Le cas aussi de Louis-Georges Thin, autre «ulmien», maître d'oeuvre du Dictionnaire de l'homophobie (PUF) et cofondateur du Conseil représentatif des associations noires de France. Le cas, encore, des universitaires qui entourent Joey Starr, l'ancien patron du groupe NTM au sein du collectif Devoir de mémoire – sans qu'on sache si l'objectif poursuivi par cette association est d'appeler les jeunes Français d'origine immigrée à voter, ou de les regrouper derrière un discours fortement identitaire. Tous exploitent la bavure de l'article 4 de la loi du 23 février 2005 pour opposer au rôle «en particulier positif» du passé colonial français une interprétation radicalement négative.

Ces élites sont beaucoup plus dangereuses que la «racaille» de banlieue. Elles sont fortes de notre faiblesse, de notre déculturation républicaine. Elles sont fortes parce qu'elles font peur aux bien-pensants, «bobos» de droite et de gauche, toujours prompts à battre leur coulpe – oh ! comme dirait Bernanos, pas une grande peur, mais la petite, mesquine crainte de ne pas être du bon côté. Elles sont fortes enfin de la qualité de leurs prédécesseurs : ceux qui, à l'ère coloniale, écrivains, universitaires, journalistes, prirent la métropole au piège des droits de l'homme que celle-ci leur avait enseignés.

Le retour à l'envoyeur était alors légitime. Mais il s'accompagnait, chez Abbas, Amrouche, Fanon ou Feraoun, d'une reconnaissance implicite de la validité du bagage intellectuel qui, après les avoir asservis, leur permettait de se libérer. Aujourd'hui, la contestation a lieu sur notre sol et elle s'en prend aux principes eux-mêmes. C'est l'héritage des Lumières, et rien de moins, qui est remis en cause : l'universalisme est accusé d'impérialisme, l'individualisme de matérialisme, l'exigence d'égalité devant la loi de mépris des différences, et la laïcité d'intolérance, quand ce n'est pas de servir d'alibi au racisme. On s'étonne de voir un des grands anciens, Césaire lui-même, si pénétré de culture universelle, s'enfermer dans la «négritude» et se prendre à ce jeu.

Le nominalisme et l'amalgame, ces outils privilégiés des régimes totalitaires, sont de retour. Une phrase, un mot mal choisi, «racaille» par exemple, et vous êtes foutu. Vous voici diabolisé, passible d'un procès, voire accusé de négationnisme, comme cet historien, M. Pétré-Grenouilleau, coupable d'avoir étendu la responsabilité de l'esclavage au-delà du champ occidental, seul visé par la loi Taubira du 21 mai 2001.

Le délit d'omission n'est pas moins stigmatisé : un ouvrage collectif sur La Fracture coloniale soupçonne Pierre Nora d'ethnocentrisme pour avoir négligé d'évoquer, dans Les Lieux de mémoire, le centenaire de la commémoration de la conquête de l'Algérie, en 1930. Comme si Nora n'avait pas écrit, avec Les Français d'Algérie, un des essais les plus cruels et, hélas, les plus lucides sur nos départements d'outre-Méditerranée, et comme si une de ses thèses ne tendait pas précisément à souligner le peu de place que la mémoire coloniale occupait jusqu'ici dans la conscience nationale française. Sous couleur de revendiquer les moyens de leur intégration, ces nouvelles élites posent les jalons d'une autre République, qui serait multiculturelle, et où tous les identitarismes, le national comme les communautaires, s'opposeraient dans une guerre sans merci. Par bonheur, des historiens, des intellectuels se rebiffent, mais ce ne sont pas eux que les médias écoutent. Le même silence qui, samedi soir, entourait Debbouze, et qui se fait plus lourd chaque fois que, à la télévision, il est question de culture
Citation : En un éclair, cette brève allusion à une des plus grandes oeuvres du dernier avant-guerre arrachait le héros de Mission Cléopâtre au stéréotype de l'enfant d'immigré de banlieue. Une vérité ressortait, qui, sur ce plateau, suscitait un malaise : si les voyous qui se sont déchaînés en novembre étaient, dans l'ensemble, déculturés, nombre d'autres sont loin de l'être ; ils partagent la volonté d'exceller qui caractérise toutes les minorités immigrées.
Yuk

euh Keyser, ton bonhomme, il a des drôles de façons de faire passer son message, tout-de-même, non ?

Il dénonce un peu plus bas "l'amalgame, outil privilégié des régimes totalitaires", mais il tombe joyeusement dans le panneau.
LadyKillers a écrit :Yuk

euh Keyser, ton bonhomme, il a des drôles de façons de faire passer son message, tout-de-même, non ?

Il dénonce un peu plus bas "l'amalgame, outil privilégié des régimes totalitaires", mais il tombe joyeusement dans le panneau.

Bein...je ne vois pas trop où l'amalgame existe dans cette phrase...et je préfère imaginer qu'en effet, les mecs qui ont foutu le bordel étaient "déculturés", si ça n'excuse pas, ça permet en revanche de mieux comprendre ces actes ...
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