meumeu a écrit :et Podolsky au mercato d'hiver, ce serait pas bien ?:happy2:
Au delà des oniriques spasmes gorgés d'optimisme béat qui parcourent par vagues successives ce forum, il serait un enseignement conséquent à tirer de cet épisode mercatique somme toute mitigé: de probants résultats sportifs et une santé financière notoire ne suffisent malheureusement toujours pas pour attirer la crème des footballeurs mondiaux
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Autrement dit nul espoir de voir prochainement se dandiner vélocement sous notre maillot le Podolski starlette de notre dernier euro...
Nul pari risqué, financièrement parlant, intelligemment porté sur une figure de proue au niveau largement éprouvé, ne semble pouvoir être entrepris par nos dirigeants. Cette frilosité a finit d'agacer tant elle parait confiner avec une pathologie paranoïaque ou phobique face au risque...
Une constante néanmoins, la déception suscitée chez les supporters les plus sujets aux fantasmes délirants dont moi même suis-je une victime par instant...
Une logique pourtant se dissimule sous l'apparâts des discours magnifiant chaque instant la folie-passion que draine les couleurs d'un OM qui gonfle bien souvent inutilement le poitrail tel le crapeau et s'enorgueillit des déclaration flagorneuses d'un arrivant presque anonyme...C'est une logique économique, froide comme neptune dont on ne comprend pas vraiment l'orbite...Il faut acheter pas cher, vendre cher dès qu'on le peut, changer chaque année de moteurs quitte à perdre quelque peu en feu...
Les boeufs eux, ne se délestent que très rarement de leurs joyaux...Ils achètent à prix d'or le génie quant nous troquons les nôtres modestement...Un grand club aurait-il vendu Drogba, Ribery, Nasri??Cissé peut être...Ces départs nous auraient simplement affaiblis sportivement que je ne m'en plaindrai pas, mais c'est l'aura de notre enseigne, du championnat au sein duquel elle évolue qui s'en est vue écornée...Il faudrait aujourd'hui dans la plus prestigieuse des compétitions la lisser, la vernir, la faire de nouveau scintiller mais nous nous trouvons bien mal embarqués sur la scène continentale..La faute à qui? A la peur, ce sentiment, ce besoin, cette obsession sécuritaire qui à chaque moment de nos vies dicte nos décisions...Et quand les enjeux financiers prennent le pas sur les idées, quant la peur si rationnelle prend le pas sur l'humanité, ses rêves, sa créativité, ça donne un sport, le football, un monde, le nôtre, où les artistes se perdent, disparaissent remplacés par les athlètes ou unités de production...
Le talent ça se paie c regrettable et le génie est imprévisible, autant d'arguments qui nous empêchent aujourd'hui de monter une grande équipe. Ce n'est pas le manque d'argent qui nous guide mais l'absence de folie...
bref un joli verbiage inutile ça passe le temps
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