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Version complète : Diouf: «Je réponds toujours présent à la bonne volonté».
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Avant de répondre je souhaite ici rendre hommage à Philippe Piola qui a été pendant neuf mois un collaborateur loyal pour moi. Il a été fidèle et très compétent. C’est quelqu’un sur qui l' opprobre a été jetée et qui à mon sens a été évincé de son poste de manière injuste.

C’est mon sentiment. Il était au bureau le matin entre 9 h 10 heures et ne le quittait pas avant 20 heures,21 heures. Ce n’était pas un intermittent. Je souhaitais lui rendre cet hommage là, simplement mais avec la plus grande sincérité. Je ne fais pas de politique un disant cela.

Qu’en est-il de ce rapprochement ?

Il faut toujours placer les problèmes dans leur contexte.
Louis Acariès a la volonté manifeste de vouloir trouver des solutions pour essayer de pacifier définitivement la situation qui prévaut aujourd’hui à l’OM où pour le moins, on peut penser que tout n’est pas comme ça aurait dû être ou comme ça devrait être. Il y a des discussions qu’il a menées de part et d’autres, notamment avec moi. Il m’a proposé un plan d’action dans lequel il intègre José la caution Marseillaise. Je dirais simplement pour ma part que ce type de plan d’action est quasiment un plan d’action que moi-même j’avais mis en place et je crois que José lui-même serait le premier à en témoigner. Ce n’est pas d’aujourd’hui que date mon intention de faire quelque chose avec lui. Je l’avais déjà prévue depuis longtemps, mais c’est vrai que nous avons passé une année pour le moins mouvementée, pour que nous n’ayons pas eu à changer les règles déjà en cours de partie. Je souhaitais simplement attendre la fin de la saison pour voir comment effectivement nous allions-nous redéployer, pour voir comment nous allions pouvoir nous y prendre pour resserrer les boulons comment on dit.

Entre-temps, il y a pas mal de choses qui ont été dites, lues et entendues et qui ont vicié l’atmosphère et les relations. Aujourd’hui le préalable à tout, ça je pense que Louis Acariès le sait parce qu’il parle au nom de l’actionnaire, je suis dans cette phase où il est bon de réfléchir dans le sens des intérêts de l’OM. Cela suppose pour ma part d’abord une affirmation. Lorsque je suis venu ici, c’était dans des attributions très, très précises. Il est évident que rien dans mes attributions, si je dois rester, absolument rien ne me sera soustrait. Je resterai celui que j’ai été dont la responsabilité a été la mienne avec les prérogatives qui étaient les miennes. Je vous les rappelle. Je suis le responsable des entraîneurs, donc de leur nomination aussi, je suis le responsable des joueurs, du recrutement, du staff médical et des intendances. J’admets une idée, l’analyse se partage toujours. Je pense que c’est même une démarche d’homme raisonnable, l’analyse doit se partager, mais la décision jamais. En l’occurrence, dans quelque configuration que nous serions la saison prochaine avec moi comme pilote, la décision sera forcément mienne. Totalement mienne.


C’est un ultimatum ?

Absolument pas. Je crois que vous connaissez mon caractère de cochon qui fait que j’agace, que j’énerve, pour ne pas faire dans la politique ou dire des choses que je ne penserai pas. J’ai dit, et je le répète, dans une tâche ingrate et difficile, Louis Acariès essaye, de manière très volontaire, de trouver des solutions. Je réponds toujours présent à la bonne volonté. Quand la bonne volonté se manifeste comme c’est le cas en l’occurrence, je ne suis pas sourd à sa démarche ni à ses propos. Nous discutons, actuellement, nous parlons de choses et d’autres. Nous essayons effectivement de voir, une fois encore à l’intérieur de l’OM, quelle démarche serait la mieux indiquée pour que le club puisse poursuivre son activité dans les meilleurs termes. Pour que nous puissions préparer de la meilleure manière aussi la saison à venir. Ce n’est pas du tout un ultimatum que je lance à qui que ce soit. C’est un rappel. Evidemment ce qui passionne et intéresse les gens dans une éventuelle collaboration Diouf la caution Marseillaise, c’est de savoir qui sera la tête pensante ? Qui va décider ? Qui va faire quoi ? Ce problème-là ne m’est absolument pas posé. Quelle que soit la configuration qu’on puisse mettre en place, si je suis là, c’est pour assumer dans leur plénitude les attributions qui sont les miennes.

Vous n’excluez donc pas une collaboration avec José la caution Marseillaise, mais qu’il occupera la place que vous vous aurez déterminé ?

Je ne peux pas l’exclure. J’ai dit tout à l’heure qu’avec José, nous avons fait un long cheminement ensemble. En neuf mois, nous avons plus souvent cheminé que divergé. C’est un garçon auprès duquel je me suis trouvé lorsqu’il avait besoin de quelqu’un auprès de lui. Le contraire est vrai aussi. Je ne peux pas subitement avoir une animosité contre lui, en faire un rival, un adversaire ou un ennemi. Absolument pas. Il peut y avoir parfois des malentendus, des incompréhensions, il revient à tout le monde de voir un peu d’où sont parties ces incantations, je n’exclus rien. Mais il y a un préalable à tout, le redis avec force, mes attributions sont exactement ce qu’elles sont et connues de tout le monde.

Il y a des décisions de prises aujourd’hui pour savoir qui dirigera la saison prochaine ?

Nous sommes dans la discussion et dans la réflexion. Il n’y a pas de décisions de prises. J’ai une idée assez précise sur l’organigramme, j’en ai parlé avec Acariès, nous nous sommes rencontrés, ce n’est pas de secret, ou alors ça en n’est un de Polichinelle, je réfléchis dessus. Cela relève de ma compétence en tout cas l’organigramme touchant au secteur sportif.

Vous avez parlé avec José la caution Marseillaise ?

Philippe, à qui aussi je rends hommage, parce qu’il est venu dans des conditions difficiles, certainement qu’il ne s’attendait pas à vivre une vie aussi tumultueuse, compliquée. Il a tenu son poste jusqu’au bout. Ça n’a pas toujours été facile ni simple pour lui. On avait engagé ensemble le pari de six mois, on arrive à terme, il y a encore un match important, même si l’avenir n’est plus simplement entre nos mains. J’entends l’avenir européen.

Lui et moi aurons l’occasion de discuter définitivement mais si une décision le concernant doit être prise, apportez moi la courtoisie de lui en faire d’abord part à lui. Avec José nous n’avons pas parlé de l’avenir, même si j’ai entamé avec lui une discussion très longue au cours de laquelle nous nous sommes dits beaucoup de choses c’est vrai. Mais nous n’en sommes pas encore au stade de la définition d’un poste pour l’un ou pour l’autre.

Il faut vite préparer le recrutement ?

J’ai beaucoup d’insuffisance, certainement de défauts aussi, mais pas celui de l’imprévoyance. A la place où je suis, il est certain que la saison à venir je l’ai déjà intégré complètement et totalement dans ma réflexion et dans ma démarche. Je ne saurais être pris de court. Il y a, évidemment de ce point de vue là, des problèmes, d’abord d’ordre financier et économique. Il faut le savoir. Il est beaucoup plus facile de parler du recrutement que de l’opérer. Si aujourd’hui j’avais la latitude totale sur le plan économique et financier pour prendre des joueurs, peut-être qu’avant le match contre Bordeaux, je pourrais vous dire voilà les trois ou quatre joueurs que l’OM devrait prendre. Identité à l’appui.

Malheureusement vous savez qu’il y a des contraintes financières, économiques qui font que, nous sommes obligés d’en tenir compte. Ça ralentit forcément le mouvement que nous pouvions avoir sur le marché ce qui même peut parfois abréger des contacts que nous avons eus depuis un bon bout de temps. Il y a des joueurs qui signent aujourd’hui dans certains clubs. Croyez moi que, avant qu’ils ne se signalent à l’attention de l’Europe du football, nous avions coché leurs noms. Je cite Bouma qui était à Eindhoven, dont mes scouts m’ont parlé en tout début de saison. On savait qu’il était libre et c’est un garçon sur lequel nous pouvions aussi nous placer. L’inventaire des joueurs susceptibles de nous intéresser est déjà fait, établi mais il y a cette contrainte là, qui fait qu’on ne peut pas faire comme on a envie de faire au moment où on a envie de le faire.

Il y a quelques semaines vous disiez n’avoir aucun compte à rendre à Louis Acariès. La semaine dernière vous parliez de certaines personnes qui n’avaient pas totalement joué le jeu autour de vous, on a cru comprendre que vous parliez de José, aujourd’hui vous dites qu’il faut savoir évoluer ou les choses ont évoluées ?

Chacun a le droit d’interpréter les choses. En ce qui me concerne, à partir du moment où la question qui m’avait été posée, lorsque j’avais parlé de Louis Acariès en disant que je n’avais pas de comptes à lui rendre, j’avais répondu à une question très précise. Mais je sais observer les choses. À partir du moment où lui, l’actionnaire en a convenu lui-même, représentait l’actionnaire, premier point et qu’en deuxième point, envers moi, il ait eu une démarche raisonnable, je dirais même une démarche très sympathique à mon endroit, à mon égard. A partir du moment où j’ai senti chez lui beaucoup de sincérité lorsqu’il me parle et en dernier lieu, à partir du moment où moi-même j’ai senti que sa démarche allait dans le sens de l’intérêt, après on pourra voir si cette démarche-là est bonne ou pas, il était de mon devoir de l’écouter. C’est ce que j’ai fait.

La seule chose que j’ai voulu dire à l’époque c’est qu’on ne m’imposait rien. Les choses peuvent toujours se passer en toute intelligence, en toute sympathie. C’est ce qui se passe aujourd’hui entre Louis Acariès et moi. Je dirais en ce qui le concerne, que, probablement c’est l’un de ceux qui le plus clairement disent toujours ce qu’ils pensent en face. Je n’ai pas peur de lui tourner le dos. Je ne dirais ça de tout le monde.

Ecarter Piola ce n’est pas un peu vous enlever de votre pouvoir ?

Pouvoir c’est un mot que je n’utilise que très rarement. Je parle de responsabilité. Depuis Bertrand de Jouvenel on sait ce que c’est que le pouvoir. Je dois dire que c’est une décision qui ne m’a pas satisfait. Elle a été prise par le conseil de surveillance dont les prérogatives ont été élargies. Je suis moi-même assujetti à ce conseil de surveillance là. Et je ne peux pas remettre en cause les décisions, il faut le savoir aussi. À partir du moment où la décision a été prise, j’ai essayé de la faire ajourner, en cette période-ci, c’est l’un de ceux qui maîtrisaient le mieux le dossier recrutement, surtout pour les départs. C’est pourquoi j’ai tenu simplement à lui rendre hommage et à regretter son départ.
Ceux qui ont pris cette décision avaient peut-être des raisons, avoir des raisons ça ne veut pas dire avoir de bonnes raisons. J’ai estimé simplement qu’il y avait une certaine injustice dans son départ et peut-être aussi à moyen terme un constat de l’efficacité fera jour. Ce n’était pas un intermittent.

Tu n’as pas envie de consacrer à autre chose qu’à ces questions de personnes, d’organigramme ?

Dans la vie il y a toujours deux choses quand on se trouve devant une difficulté. C’est de laisser là et de partir ou d’essayer de la résoudre. Mon parcours, depuis que je suis parti de chez moi, a toujours été de combattre. Rien n’a jamais été facile pour moi ici en France. Vous pouvez bien l’imaginer. A partir du moment où j’ai la conviction que je suis encore en mesure d’orienter les choses, à partir du moment où j’ai la volonté d’aller de l’avant. Mais je ne suis pas un sur-homme. Il peut arriver un jour où on se dit que la chose n’est plus faisable. Ce n’est qu’à ce moment-là que, mon énergie, je la consacrerai à autre chose et ailleurs. Tant que j’ai cette volonté et cette conviction que les choses peuvent évoluer, j’essaye de les faire évoluer.

C’est toi qui a décidé de travailler avec la caution Marseillaise ou c’est Louis Acariès qui te l’a demandé ?

Rien ne m’est imposé. Qu’on ait peut-être cherché, à un moment donné ou à un autre, d’imposer, mais ça c’est la règle de la vie partout. Mais en l’occurrence, ni on ne m’a imposé quoi que ce soit ni on ne cherche à m’imposer quoi que ce soit. Il n’y a pas lieu de savoir qui doit décider de mes prérogatives, mes prérogatives sont contractuelles. C’est la seule chose qui ne soit pas négociable. Tout l’est, sauf ça.

C’est toi qui a dit je travaille avec la caution Marseillaise dans une telle configuration ?

Oui, si vous voulez.

Il pourrait être directeur sportif ?

Moi je ne suis pas là pour faire l’organigramme mais n’oubliez pas que lorsqu’il a quitté l’équipe et que son contrat stipulait qu’il pouvait retourner au centre de formation, c’est moi qui ait choisi qu’il reste à côté de moi. Aujourd’hui il est conseiller technique du manager Général. Il ne faut pas oublier. On aime bien les titres ronflants, qui prêtent peut-être plus à la palabre, mais bon …

Mais entre conseiller technique et directeur sportif ce n’est pas pareil ?

Il y a une nuance que les mots ne trahissent pas.

Tu serais d’accord ?

Je n’ai pas dit ça. Pourquoi vouloir me faire dire ce que je n’ai pas dit. Je rappelle seulement que c’est moi que l’ ai nommé conseiller technique auprès de moi.

Peut-il reprendre l’équipe ?

Vous savez dans le football, tout reste possible. En début de saison très certainement pas, très certainement pas.

Rires dans la salle… ça veut dire qu’il y aura nouvel entraîneur ?

Après je reprendrai Troussier en janvier s’il partait…

Je pense que vous êtes plus sérieux que cette question.
Merci Georges ! En plus, c'est une interview qui fait du bien dans cette période de troubles....

Opiom est LE site d'infos sur l'OM ! :pouce: on attend l'intégrale du Pape et hop la voilà ! Bravo Georges !
Pas mort le Pape, bien combatif !

Le respect du contrat
-si je suis là, c’est pour assumer dans leur plénitude les attributions qui sont les miennes.

-Je le redis avec force, mes attributions sont exactement ce qu’elles sont et connues de tout le monde.

..... et un petit coup de griffe amical !
On aime bien les titres ronflants, qui prêtent peut-être plus à la palabre, mais bon …


En gros, on devrait lancer des paris sur la durée d' un tel attelage ! Gateux
Au moins ce cher Pape reste fidèle à lui-même et à ses convictions, ça n'a pas l'air d'être le genre de type à trop retourner sa veste.

Merci vieux Jo pour toutes ces infos en avant-première ! :y:
Le Pape a l'air droit dans ses bottes, mais ses bottes s'enfoncent dans le marécage ... :helpsmili

Fluctuat, nunc mergitur ...

Merci Georges :y:
Merci Georgio Applause

En résumé :

Diouf et la caution Marseillaise à la tête du sportif
et plus de Troussier à l'OM (au moins jusqu'en janvier Happy )

Et aussi peu de départ puisque Piola connaissait ces dossiers par coeur :hum:
Une remarque d' ordre général:

Les questions que posent les journalistes ne sont jamais vicelardes ou destinées à destabiliser .
Un besoin d' informations, de précisions, pas l' impression d' une battue.

Douanier ?
iMerle a écrit :Une remarque d' ordre général:

Les questions que posent les journalistes ne sont jamais vicelardes ou destinées à destabiliser .
Un besoin d' informations, de précisions, pas l' impression d' une battue.

Douanier ?

C'est pour cela que ces conférences de presse sont extrémement intéressantes à lire dans leur intégralité. Parce que ce qui m'énerve, c'est l'utilisation de la petite phrase hors contexte qui fait le tour du monde des sites d'info sportives en 24H. Pourquoi les questions sont bien et les résumés partials ou médiocre ?:helpsmili
JihaiR a écrit :C'est pour cela que ces conférences de presse sont extrémement intéressantes à lire dans leur intégralité. Parce que ce qui m'énerve, c'est l'utilisation de la petite phrase hors contexte qui fait le tour du monde des sites d'info sportives en 24H. Pourquoi les questions sont bien et les résumés partials ou médiocre ?:helpsmili
Ah oui, ça c' est irremplaçable!

Merci Jo, prends soin de toi, faut que tu dures encore !:echarpe-o
Je ne comprends pas toujours le sens de ses phrases Bye2 à vouloir se justifier et à endormir le journaliste sur sa question, ça en devient balourd Whistling

Il y a quelques semaines vous disiez n’avoir aucun compte à rendre à Louis Acariès....
Chacun a le droit d’interpréter les choses. En ce qui me concerne, à partir du moment où la question qui m’avait été posée, lorsque j’avais parlé de Louis Acariès en disant que je n’avais pas de comptes à lui rendre, j’avais répondu à une question très précise. Mais je sais observer les choses. À partir du moment où lui, l’actionnaire en a convenu lui-même, représentait l’actionnaire, premier point et qu’en deuxième point, envers moi, il ait eu une démarche raisonnable, je dirais même une démarche très sympathique à mon endroit, à mon égard. A partir du moment où j’ai senti chez lui beaucoup de sincérité lorsqu’il me parle et en dernier lieu, à partir du moment où moi-même j’ai senti que sa démarche allait dans le sens de l’intérêt, après on pourra voir si cette démarche-là est bonne ou pas, il était de mon devoir de l’écouter. C’est ce que j’ai fait.

franchement, je ne pense pas que le journaliste ai eu une réponse objective et constructive sur la question Gateux
iMerle a écrit :Une remarque d' ordre général:

Les questions que posent les journalistes ne sont jamais vicelardes ou destinées à destabiliser .
Un besoin d' informations, de précisions, pas l' impression d' une battue.

Douanier ?

Ben, c'est à vous de juger puisque vous avez l'intégrule. On n'est pas là pour un tir aux pigeons mais pour avoir des réponses.
paddy a écrit :Je ne comprends pas toujours le sens de ses phrases Bye2 à vouloir se justifier et à endormir le journaliste sur sa question, ça en devient balourd Whistling

après on pourra voir si cette démarche-là est bonne ou pas, il était de mon devoir de l’écouter. C’est ce que j’ai fait.

franchement, je ne pense pas que le journaliste ai eu une réponse objective et constructive sur la question Gateux

Ce que je comprends, c'est que le chat Diouf écoute le chat Acariès. Ce qui ne veut pas dire qu'il l'entend...
le douanier Rousseau a écrit :Ce que je comprends, c'est que le chat Diouf écoute le chat Acariès. Ce qui ne veut pas dire qu'il l'entend...
c'est une façon comme une autre de pisser dans un violon.
obligé de faire des phrases embrouillées de ministre au lieu d'aller à l'essentiel. que ça doit etre dur d'etre un diouf Bye2
paddy a écrit :Je ne comprends pas toujours le sens de ses phrases Bye2 à vouloir se justifier et à endormir le journaliste sur sa question, ça en devient balourd Whistling

Il y a quelques semaines vous disiez n’avoir aucun compte à rendre à Louis Acariès....
Chacun a le droit d’interpréter les choses. En ce qui me concerne, à partir du moment où la question qui m’avait été posée, lorsque j’avais parlé de Louis Acariès en disant que je n’avais pas de comptes à lui rendre, j’avais répondu à une question très précise. Mais je sais observer les choses. À partir du moment où lui, l’actionnaire en a convenu lui-même, représentait l’actionnaire, premier point et qu’en deuxième point, envers moi, il ait eu une démarche raisonnable, je dirais même une démarche très sympathique à mon endroit, à mon égard. A partir du moment où j’ai senti chez lui beaucoup de sincérité lorsqu’il me parle et en dernier lieu, à partir du moment où moi-même j’ai senti que sa démarche allait dans le sens de l’intérêt, après on pourra voir si cette démarche-là est bonne ou pas, il était de mon devoir de l’écouter. C’est ce que j’ai fait.

franchement, je ne pense pas que le journaliste ai eu une réponse objective et constructive sur la question Gateux
J' ai compris cela comme un rappel historique:
j’avais répondu à une question très précise
A ce moment là, au moment de la question, l' organigramme était simple, le Conseil de Surveillance n' avait qu' un rôle consultatif, donc a postériori
Mais:
Mais je sais observer les choses.
Acariès est devenu le bras, l' exécuteur du Patron !

Faut faire avec !
Pragmatique le Pape, le vrai patron, c' est celui qui a le pognon !

le douanier Rousseau a écrit :Ce que je comprends, c'est que le chat Diouf écoute le chat Acariès. Ce qui ne veut pas dire qu'il l'entend...

Et puis c'est bien beau de réclamer de la franchise, ou un discour plus clair de la part de Diouf, mais s'il répond texto ce que traduit le douanier, et ce que je comprends aussi, il y en a qui vont se donner à coeur joie pour refaire "le combat des chefs".

Ce serait également, je pense, assez suicidaire de sa part, s'il veut continuer à l'OM, vu le pouvoir du boxeur en ce moment
le douanier Rousseau a écrit :Ce que je comprends, c'est que le chat Diouf écoute le chat Acariès. Ce qui ne veut pas dire qu'il l'entend...

Douanier tu devrais écrire des trucs comme ça dans ton canard ! :incline:

Tu résumes tout ! Ca y est maintenant ils sont face à face...Gun2
IL y a dix jours Diouf n'aimait pas Acaries qui lui rendait bien
la caution Marseillaise et Diouf ne s'aimaient plus blabla blabla et là tout le monde va se re-aimer :vod: pour ne plus s'aimer parce que le chef c'est lui et pas moi alors que moi je voulais etre chef parce que j'etais meilleur chef que le chef Shutup
Ouaouuuu on va se regaler encore No
Pixie a écrit :IL y a dix jours Diouf n'aimait pas Acaries qui lui rendait bien
la caution Marseillaise et Diouf ne s'aimaient plus blabla blabla et là tout le monde va se re-aimer :vod: pour ne plus s'aimer parce que le chef c'est lui et pas moi alors que moi je voulais etre chef parce que j'etais meilleur chef que le chef Shutup
Ouaouuuu on va se regaler encore No

c'est le résumé qu'a fait aussi le douanier (je pense...) et je partage votre avis si on était dans le meilleur des mondes je me dirais ns sommes sauvés... enore que avec José...
DIOUF, il est comme le marchand de sable, sauf que lui ,il lance des phrases pour nous endormir , de cette maniere , il noie le poisson et fait oublier sa prestation lamentable à Marseille et toutes ses magouilles financieres.
Mais cela ne prend pas....
DIOUF casse toi!!!!!!
iMerle a écrit :Ah oui, ça c' est irremplaçable!

Merci Jo, prends soin de toi, faut que tu dures encore !:echarpe-o


C'est vrai ça!

Jo, tu t'es vacciné contre la grippe au moins? En plus à ton âge c'est gratuit!:lol:


Sinon , le discours de Diouf.... Sûr qu'on peut le trouver bien raisonnable, responsable, tout ce qu'on voudra...Moi je n'oublie pas.
N'importe qui peut dire n'importe quoi, et être tout à fait différtent de celui qu'il veut paraître. ça sert à ça les conférences de presse.

Regardes Chirac!

Qui a dit que la langue avait été créée pour contredire les penséesBleh

Je suis plus que sceptique devant toutes ces gesticulations.:censored

J'édith'

Je viens de voir le message de DICY13, tu dis pareil que moi, même analyseOk
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