10-05-2005, 19:33
Vous avez été trahis par vos joueurs ?
Il faut replacer les choses dans leur contexte. Je parlais hier avec le président Molinari, pour lequel j’ai beaucoup de respect. Il me disait Marseille dans le contexte Messin, Lillois ou Lansois, pourrait compter aujourd’hui huit points de plus. Cela nous placerait bien évidemment au niveau de la Champion League. Je suis quasiment convaincu de ça. J’ai presque envie de dire que c’est presque un miracle si, à trois journées, il y ait encore la possibilité pour l’OM de se qualifier pour la coupe d’Europe, après la saison qu’on a vécue, tout le remous, toutes les effervescences. C’est très compliqué. Vous n’en avez pas idée.
Les incertitudes actuelles ne compromettent-elles pas la préparation de la saison prochaine ?
Il est certain que pour l’intérêt du club, il est nécessaire de clarifier beaucoup de choses, de se mettre au travail. On le sait, une saison de se commence pas au mois de juin ou au mois de juillet. De ce point de vue-là aussi, nous n’avons pas été inactifs. Pendant toute la saison nous avons travaillé. Aujourd’hui je sais exactement dans quel sens il faudrait se diriger. Je suis de ceux qui pensent de manière très forte, vous avez en football, je crois que certains d’entre vous ne me contrediront pas, chacun a son idée sur la question. Chacun peut toujours se prévaloir d’une expérience, même si la vérité finit toujours par se retrouver sur le terrain. J’ai mes convictions chevillées. Plus de ces convictions et que le groupe que nous avons fait cette année est un groupe de qualités. –il rappelle que Luyindula marquait contre l’OM la saison dernière et que Costa était bon à Bordeaux et que Dehu et Fiorese étaient bons à Paris… et que le problème c’est que l’équipe a été renouvelée à 80 % et que la saison prochaine ils connaîtront mieux les rouages du club. Il explique encore que lorsque Beye est arrivé, il était nul.-
On peut regretter demain de voir Pedretti au Real de Madrid, Costa à Valence, Luyindula à Arsenal. Aujourd’hui les supporteurs se demande comment Marcelino à Berlin peut jouer au niveau où il joue, comment Makélélé a pu jouer au Réal et à Chelsea, comment Pirès peut s’exprimer à Arsenal, comment Laurent Blanc qu’on pensait sur la fin a pu un peu jouer deux année à l’Inter avant d’émigrer à Manchester et d’y jouer un an et demi. On peut réfléchir et se dire pour une fois qu’on pourrait jouer la stabilité sur des joueurs dont la qualité n’est remise en cause par personne. S’il s’agissait de joueurs Péruviens, Malais ou Sénégalais, je comprends qu’on puisse mettre en cause leurs qualités, mais on connaissait les qualités des joueurs qui sont venus cette année, avant qu’ils ne viennent. Il faut leur donner la possibilité de s’exprimer. Il faut renforcer évidemment. Il faut 3 ou 4 éléments maximum. A ce moment là on verrait l’équipe ; Si on pouvait partir dans cette direction là, je serai prêt à prendre des engagements que l’Olympique de Marseille jouerait les premiers rôles.
Pour les moyens c’est un appel du pied à RLD et tu crains d’être désavoué par le Conseil de Surveillance de demain ?
Désavoué par qui ? Je ne sais pas. Je ne me pose pas ce genre de question. J’ai la liberté de prendre la, les décisions qui vont en adéquation avec ma conscience. Je n’ai pas de crainte particulière. Je ne suis pas venu ici en pensant préserver une place ou cirer des bottes à qui que ce soit pour qu’on me maintienne. L’objet n’est pas là. A un moment donné il y a une politique que je peux expliquer, que j’ai envie de mettre en place. On m’en donne les moyens je l’exécute si je n’ai pas les moyens j’aurai l’honnêteté intellectuelle de le dire. Je n’attends rien qui va dans le sens de dire il faut plaire ou ne pas plaire. L’objet n’est pas là. Il faut essayer de trouver les moyens pour donner à ce club la stabilité dont il a besoin et d‘essayer de le mettre à la places qui est naturellement la sienne c’est à dire parmi les premiers
Ce n’est pas un appel du pied parce que si j’ai l’occasion de discuter avec Robert Louis-Dreyfus, je lui dirai comment la situation se présente et comment je la vois.
Tu confirmes Troussier il est l’homme de la situation pour la fin de saison alors que l’OM n’a pas gagné depuis deux mois et qu’il a pris 6 points sur 27.
En janvier et en février je pense que les qualités de Philippe Troussier n’étaient pas mises en causes. On avait admis que l’homme avait conduit l’équipe dans les meilleurs termes et ça nous avait donné les résultats qu’on connaît. Je ne pense pas qu’entre cette période et aujourd’hui, il ait fondamentalement changé. Il n’a pas perdu sa connaissance du Management Sportif. C’est un point. Que maintenant l’atmosphère se soit viciée, qu’elle soit devenue plus difficile, c’est vrai pour tout le monde, pour lui, pour les joueurs. On peut essayer de trouver une explication.
Chacun à la sienne. Si j’avais la conviction profonde que le changement de Philippe Troussier nous permettrait de changer les trois prochains matchs, je n’aurais pas d’état d’âme. Si j’étais persuadé qu’il était la cause de tout et que le remplacer changerait la donne, je n’hésiterai pas. Mais je suis loin d’avoir cette conviction.
Le conseil de surveillance peut faire d’autres propositions ?
C’est une instance de recommandation davantage qu’une instance de décision. Nous avons convenu que certaines décisions qui pourraient engager le club dans des dépenses importantes, devront être soumises à l’approbation de ce conseil et de son Président. Pour ce qui est de la gestion sportive de l’équipe, du groupe, cela relève exclusivement de ma compétence ; je ne peux pas avoir de la part du Conseil de Surveillance, une mesure à exécuter touchant ce domaine. Par contre, je sais qu’on est encore dans un milieu ou toutes les réflexions sont utiles, discuter avec certains membres avec lesquels on peut avoir beaucoup d’estime, voire de l’amitié, ce n’est jamais interdit.
RLD est informé de votre choix de terminer la saison avec Troussier ?
Je ne suis pas accroché au téléphone tous les jours pour dire à Robert Louis-Dreyfus ce que je fais tous les jours. Il faut le savoir. Le problème du départ ou non de Philippe Troussier n’a pas été un débat engagé par le club. RLD n’a pas dit à un moment donné, Troussier doit partir. Le problème à mon sens relève de la gestion au quotidien.
Vous avez pris une décision ?
Non, je laisse la situation telle qu’elle est. La décision eut été de dire il s’en va. Aujourd’hui je le dis il sera là et je suis solidaire derrière lui. Il a mon appui et je veillerai à ce que son autorité ne soit pas sapée.
Quel que soit le résultat de samedi à Auxerre ?
Sinon je serai une girouette !
Tu as pris des avis auprès des joueurs ?
Souffrez les amis que je taise un peu ma manière de gérer en interne.
D’où vient le problème ?
Je compte sur vous pour savoir. Je lis, j’écoute. Ne pas reconnaître aujourd’hui que le problème est plus lié à un contexte général et global, à mon sens ce n’est pas là qu’il faut commencer. J’essaye d’analyser la situation, d’analyser ce qui se passe, mais dire aujourd’hui le problème il est là, c’est le régler. Si je savais la nature et la situation du problème, je le règle.
Il vient des résultats ce contexte? Et les résultats c’est le recrutement, les joueurs, l’entraîneur, et le Président.
Ca n’engage que toi ce que tu viens de dire (C’est le Douanier les gars, je le balance). A un moment donné on a eu la capacité à avancer. On l’a démontré. J’ai dit que l’OM était plus là par défaut que par maîtrise. A la fin du championnat chaque équipe est à sa place. Si tu es là par défaut ça veut dire qu’à un moment donné tu as un peu mieux maîtrisé certains paramètres que ceux qui sont derrière toi.
Il manque un spécialiste du but à Marseille ?
C’est l’une des sources du problème… A Lyon les buteurs sont partagés. Moi je serai ravi si dix joueurs pouvaient me marquer chacun 6 buts. Certains savent ce que je pense de cette équipe. Pour que l’OM puisse tenir son rang convenablement, elle a besoin d‘être renforcée. Peut-être au niveau ou tu le dis. Peut-être non.
Tu tires un trait sur cette fin de saison ?
Ce n’est pas dans ma nature de tirer un trait. Je ne suis pas pessimiste. On ne peut plus nourrir la même ambition qu’il y a quelques semaines. Il faut être prêt à saisir toutes les circonstances possibles. Le pessimisme ne m’a pas gagné.
Tu sais aujourd’hui avec quel entraîneur tu vas repartir la saison prochaine ?
J’en ai une idée très précise. Oui.
Tu connais la réponse de Troussier ?
Bien sûr.
Si tu restes, ça ne sera pas Troussier l’entraîneur ?...
Ils sont bons… J’ai une idée ça ne veut pas dire que ça ne sera pas Philippe Troussier. Le moment n’est pas encore à la réponse. Les résultats ne sont pas le déclencheur d’un changement.
LeGuen est libre !
C’est intéressant.
Tu demandes des garanties pour rester ?
Je ne m’accroche pas. La charge est lourde les gars. Je ne pensais pas qu’elle soit si lourde. Je suis là dans le seul souci pour que l’OM soit à son rang. C’est ma seule ambition. Je veux avoir les moyens requis sans demander les moyens de Chelsea. Ca peut être humain, financier, matériel, ça peut être l’autorité… Les moyens d’aller au fond des convictions que j’ai annoncées tout à l’heure.
Vous les avez les moyens ?
Le titre qui est le mien, c’était un réajustement juridique. Je suis venu pour gérer le sportif rien d‘autre. Il était de mon devoir de répondre à la demande qui m’a été faite par le Conseil de Surveillance.
Objectifs pour les derniers matchs ?
Si je peux gagner les trois matchs, je signe aujourd’hui.
Il faut replacer les choses dans leur contexte. Je parlais hier avec le président Molinari, pour lequel j’ai beaucoup de respect. Il me disait Marseille dans le contexte Messin, Lillois ou Lansois, pourrait compter aujourd’hui huit points de plus. Cela nous placerait bien évidemment au niveau de la Champion League. Je suis quasiment convaincu de ça. J’ai presque envie de dire que c’est presque un miracle si, à trois journées, il y ait encore la possibilité pour l’OM de se qualifier pour la coupe d’Europe, après la saison qu’on a vécue, tout le remous, toutes les effervescences. C’est très compliqué. Vous n’en avez pas idée.
Les incertitudes actuelles ne compromettent-elles pas la préparation de la saison prochaine ?
Il est certain que pour l’intérêt du club, il est nécessaire de clarifier beaucoup de choses, de se mettre au travail. On le sait, une saison de se commence pas au mois de juin ou au mois de juillet. De ce point de vue-là aussi, nous n’avons pas été inactifs. Pendant toute la saison nous avons travaillé. Aujourd’hui je sais exactement dans quel sens il faudrait se diriger. Je suis de ceux qui pensent de manière très forte, vous avez en football, je crois que certains d’entre vous ne me contrediront pas, chacun a son idée sur la question. Chacun peut toujours se prévaloir d’une expérience, même si la vérité finit toujours par se retrouver sur le terrain. J’ai mes convictions chevillées. Plus de ces convictions et que le groupe que nous avons fait cette année est un groupe de qualités. –il rappelle que Luyindula marquait contre l’OM la saison dernière et que Costa était bon à Bordeaux et que Dehu et Fiorese étaient bons à Paris… et que le problème c’est que l’équipe a été renouvelée à 80 % et que la saison prochaine ils connaîtront mieux les rouages du club. Il explique encore que lorsque Beye est arrivé, il était nul.-
On peut regretter demain de voir Pedretti au Real de Madrid, Costa à Valence, Luyindula à Arsenal. Aujourd’hui les supporteurs se demande comment Marcelino à Berlin peut jouer au niveau où il joue, comment Makélélé a pu jouer au Réal et à Chelsea, comment Pirès peut s’exprimer à Arsenal, comment Laurent Blanc qu’on pensait sur la fin a pu un peu jouer deux année à l’Inter avant d’émigrer à Manchester et d’y jouer un an et demi. On peut réfléchir et se dire pour une fois qu’on pourrait jouer la stabilité sur des joueurs dont la qualité n’est remise en cause par personne. S’il s’agissait de joueurs Péruviens, Malais ou Sénégalais, je comprends qu’on puisse mettre en cause leurs qualités, mais on connaissait les qualités des joueurs qui sont venus cette année, avant qu’ils ne viennent. Il faut leur donner la possibilité de s’exprimer. Il faut renforcer évidemment. Il faut 3 ou 4 éléments maximum. A ce moment là on verrait l’équipe ; Si on pouvait partir dans cette direction là, je serai prêt à prendre des engagements que l’Olympique de Marseille jouerait les premiers rôles.
Pour les moyens c’est un appel du pied à RLD et tu crains d’être désavoué par le Conseil de Surveillance de demain ?
Désavoué par qui ? Je ne sais pas. Je ne me pose pas ce genre de question. J’ai la liberté de prendre la, les décisions qui vont en adéquation avec ma conscience. Je n’ai pas de crainte particulière. Je ne suis pas venu ici en pensant préserver une place ou cirer des bottes à qui que ce soit pour qu’on me maintienne. L’objet n’est pas là. A un moment donné il y a une politique que je peux expliquer, que j’ai envie de mettre en place. On m’en donne les moyens je l’exécute si je n’ai pas les moyens j’aurai l’honnêteté intellectuelle de le dire. Je n’attends rien qui va dans le sens de dire il faut plaire ou ne pas plaire. L’objet n’est pas là. Il faut essayer de trouver les moyens pour donner à ce club la stabilité dont il a besoin et d‘essayer de le mettre à la places qui est naturellement la sienne c’est à dire parmi les premiers
Ce n’est pas un appel du pied parce que si j’ai l’occasion de discuter avec Robert Louis-Dreyfus, je lui dirai comment la situation se présente et comment je la vois.
Tu confirmes Troussier il est l’homme de la situation pour la fin de saison alors que l’OM n’a pas gagné depuis deux mois et qu’il a pris 6 points sur 27.
En janvier et en février je pense que les qualités de Philippe Troussier n’étaient pas mises en causes. On avait admis que l’homme avait conduit l’équipe dans les meilleurs termes et ça nous avait donné les résultats qu’on connaît. Je ne pense pas qu’entre cette période et aujourd’hui, il ait fondamentalement changé. Il n’a pas perdu sa connaissance du Management Sportif. C’est un point. Que maintenant l’atmosphère se soit viciée, qu’elle soit devenue plus difficile, c’est vrai pour tout le monde, pour lui, pour les joueurs. On peut essayer de trouver une explication.
Chacun à la sienne. Si j’avais la conviction profonde que le changement de Philippe Troussier nous permettrait de changer les trois prochains matchs, je n’aurais pas d’état d’âme. Si j’étais persuadé qu’il était la cause de tout et que le remplacer changerait la donne, je n’hésiterai pas. Mais je suis loin d’avoir cette conviction.
Le conseil de surveillance peut faire d’autres propositions ?
C’est une instance de recommandation davantage qu’une instance de décision. Nous avons convenu que certaines décisions qui pourraient engager le club dans des dépenses importantes, devront être soumises à l’approbation de ce conseil et de son Président. Pour ce qui est de la gestion sportive de l’équipe, du groupe, cela relève exclusivement de ma compétence ; je ne peux pas avoir de la part du Conseil de Surveillance, une mesure à exécuter touchant ce domaine. Par contre, je sais qu’on est encore dans un milieu ou toutes les réflexions sont utiles, discuter avec certains membres avec lesquels on peut avoir beaucoup d’estime, voire de l’amitié, ce n’est jamais interdit.
RLD est informé de votre choix de terminer la saison avec Troussier ?
Je ne suis pas accroché au téléphone tous les jours pour dire à Robert Louis-Dreyfus ce que je fais tous les jours. Il faut le savoir. Le problème du départ ou non de Philippe Troussier n’a pas été un débat engagé par le club. RLD n’a pas dit à un moment donné, Troussier doit partir. Le problème à mon sens relève de la gestion au quotidien.
Vous avez pris une décision ?
Non, je laisse la situation telle qu’elle est. La décision eut été de dire il s’en va. Aujourd’hui je le dis il sera là et je suis solidaire derrière lui. Il a mon appui et je veillerai à ce que son autorité ne soit pas sapée.
Quel que soit le résultat de samedi à Auxerre ?
Sinon je serai une girouette !
Tu as pris des avis auprès des joueurs ?
Souffrez les amis que je taise un peu ma manière de gérer en interne.
D’où vient le problème ?
Je compte sur vous pour savoir. Je lis, j’écoute. Ne pas reconnaître aujourd’hui que le problème est plus lié à un contexte général et global, à mon sens ce n’est pas là qu’il faut commencer. J’essaye d’analyser la situation, d’analyser ce qui se passe, mais dire aujourd’hui le problème il est là, c’est le régler. Si je savais la nature et la situation du problème, je le règle.
Il vient des résultats ce contexte? Et les résultats c’est le recrutement, les joueurs, l’entraîneur, et le Président.
Ca n’engage que toi ce que tu viens de dire (C’est le Douanier les gars, je le balance). A un moment donné on a eu la capacité à avancer. On l’a démontré. J’ai dit que l’OM était plus là par défaut que par maîtrise. A la fin du championnat chaque équipe est à sa place. Si tu es là par défaut ça veut dire qu’à un moment donné tu as un peu mieux maîtrisé certains paramètres que ceux qui sont derrière toi.
Il manque un spécialiste du but à Marseille ?
C’est l’une des sources du problème… A Lyon les buteurs sont partagés. Moi je serai ravi si dix joueurs pouvaient me marquer chacun 6 buts. Certains savent ce que je pense de cette équipe. Pour que l’OM puisse tenir son rang convenablement, elle a besoin d‘être renforcée. Peut-être au niveau ou tu le dis. Peut-être non.
Tu tires un trait sur cette fin de saison ?
Ce n’est pas dans ma nature de tirer un trait. Je ne suis pas pessimiste. On ne peut plus nourrir la même ambition qu’il y a quelques semaines. Il faut être prêt à saisir toutes les circonstances possibles. Le pessimisme ne m’a pas gagné.
Tu sais aujourd’hui avec quel entraîneur tu vas repartir la saison prochaine ?
J’en ai une idée très précise. Oui.
Tu connais la réponse de Troussier ?
Bien sûr.
Si tu restes, ça ne sera pas Troussier l’entraîneur ?...
Ils sont bons… J’ai une idée ça ne veut pas dire que ça ne sera pas Philippe Troussier. Le moment n’est pas encore à la réponse. Les résultats ne sont pas le déclencheur d’un changement.
LeGuen est libre !
C’est intéressant.
Tu demandes des garanties pour rester ?
Je ne m’accroche pas. La charge est lourde les gars. Je ne pensais pas qu’elle soit si lourde. Je suis là dans le seul souci pour que l’OM soit à son rang. C’est ma seule ambition. Je veux avoir les moyens requis sans demander les moyens de Chelsea. Ca peut être humain, financier, matériel, ça peut être l’autorité… Les moyens d’aller au fond des convictions que j’ai annoncées tout à l’heure.
Vous les avez les moyens ?
Le titre qui est le mien, c’était un réajustement juridique. Je suis venu pour gérer le sportif rien d‘autre. Il était de mon devoir de répondre à la demande qui m’a été faite par le Conseil de Surveillance.
Objectifs pour les derniers matchs ?
Si je peux gagner les trois matchs, je signe aujourd’hui.