C’est quand même une vraie galère ces matchs du mercredi. Comment voulez-vous que j’arrive à pondre un truc lisible en deux jours ? J’aurais du me méfier quand kornog est passé à la maison avec dix litres chouchou breton. D’ailleurs, les seuls souvenirs qu’il me reste de cette soirée c’est un post-it collé sur la table basse sur lequel on peut y lire difficilement ces quelques mots : « Merci de me dépanner pour l’édito contre les bretons… » et une galette bretonne…
NDR : Le paragraphe ci-dessous est dédié à mes amis éditorialistes qui ont su me souffler quelques jeux de mots inédits. Pour faciliter la lecture, je me suis permis de mettre en gras les jeux de mots concernés
En relisant ce message sur ma table, on peut dire que je n’ai pas ri. Brest est vraiment une ville que je connais que de nom. Mis à part la réputation de ville la plus orageuse de France où s’accumulent les coups de tonnerre, de Brest je ne saurais broder quelques mots. A la limite, je pourrais vous raconter une aventure que j’ai eue au temps jadis avec une fille bretonne de ma classe. L’armoricaine avait un regard du bulot, le QI d’une huitre et sentait le large, je ne suis donc pas certain que vous ayez envie de connaitre les détails de cette nuit que je n’ai malheureusement pas oubliée…
NDR : Merci pour eux.
Outre le fait de la difficulté géographique, il y a une donnée que je n’ai pas aujourd’hui et qui est primordiale pour donner le thon :Smiley ex copine bretonne: à cette édito. C’est le résultat de notre prochain match face aux lyonnais, l’olympico (lait@Le_filtre) et de ceux de Lille et de Paris. Comment voulez-vous que je sache si je dois faire un édito dramatique, optimiste, hors sujet, interdit au moins de 18 ans, si je ne sais pas dans quel état psychologique se trouvera opiOM dimanche soir ? Aujourd’hui, nous sommes confiants, à un point des Lillois et 5 points devant Lyon mais qu’en sera-t-il dimanche ? Et bien, je vous le dis tout de go : je n’en sais rien voir fichtrement et diablement rien du tout.
Vraiment merci du cadeau Kornog, pour mon dernier édito de la saison tu me mets dans de beaux draps et de toi à moi, je préfère être dans ceux de Pénélope ou de révérence. Me voilà donc dans une fichue impasse avec un joli mur devant moi sur lequel un plaisantin a tagué la blague la plus nulle de l’histoire des blagues. « Que dit une maman vache à son mari ? – Est-ce que tu m’aimeuuuuuuuuuuuh… » Signé najdyaH.
Me voilà donc en train d’écrire un édito sans queue, ni tête. Un édito nombriliste, dans lequel je me plains de mes conditions de travail. Dans lequel, je réussis l’exploit d’être à la fois hors sujet et de ne rien raconter du tout. Je crois que je viens d’écrire le premier non-édito de l’histoire d’opiOM. Un édito quantique@Frana. Je me demande même si je ne vais pas le poster avant le match de Lyon de dimanche. Ça réglera comme ça tous mes problèmes de calendrier, d’état d’âmes… Et puis quitte à faire n’importe quoi, autant le faire jusqu’au bout ! Et si vous avez des réclamations, faîtes les par mp à Kornog, parce qu’après tout, tout ça c’est de sa faute !
Caveman
NDR : Le paragraphe ci-dessous est dédié à mes amis éditorialistes qui ont su me souffler quelques jeux de mots inédits. Pour faciliter la lecture, je me suis permis de mettre en gras les jeux de mots concernés
En relisant ce message sur ma table, on peut dire que je n’ai pas ri. Brest est vraiment une ville que je connais que de nom. Mis à part la réputation de ville la plus orageuse de France où s’accumulent les coups de tonnerre, de Brest je ne saurais broder quelques mots. A la limite, je pourrais vous raconter une aventure que j’ai eue au temps jadis avec une fille bretonne de ma classe. L’armoricaine avait un regard du bulot, le QI d’une huitre et sentait le large, je ne suis donc pas certain que vous ayez envie de connaitre les détails de cette nuit que je n’ai malheureusement pas oubliée…
NDR : Merci pour eux.
Outre le fait de la difficulté géographique, il y a une donnée que je n’ai pas aujourd’hui et qui est primordiale pour donner le thon :Smiley ex copine bretonne: à cette édito. C’est le résultat de notre prochain match face aux lyonnais, l’olympico (lait@Le_filtre) et de ceux de Lille et de Paris. Comment voulez-vous que je sache si je dois faire un édito dramatique, optimiste, hors sujet, interdit au moins de 18 ans, si je ne sais pas dans quel état psychologique se trouvera opiOM dimanche soir ? Aujourd’hui, nous sommes confiants, à un point des Lillois et 5 points devant Lyon mais qu’en sera-t-il dimanche ? Et bien, je vous le dis tout de go : je n’en sais rien voir fichtrement et diablement rien du tout.
Vraiment merci du cadeau Kornog, pour mon dernier édito de la saison tu me mets dans de beaux draps et de toi à moi, je préfère être dans ceux de Pénélope ou de révérence. Me voilà donc dans une fichue impasse avec un joli mur devant moi sur lequel un plaisantin a tagué la blague la plus nulle de l’histoire des blagues. « Que dit une maman vache à son mari ? – Est-ce que tu m’aimeuuuuuuuuuuuh… » Signé najdyaH.
Me voilà donc en train d’écrire un édito sans queue, ni tête. Un édito nombriliste, dans lequel je me plains de mes conditions de travail. Dans lequel, je réussis l’exploit d’être à la fois hors sujet et de ne rien raconter du tout. Je crois que je viens d’écrire le premier non-édito de l’histoire d’opiOM. Un édito quantique@Frana. Je me demande même si je ne vais pas le poster avant le match de Lyon de dimanche. Ça réglera comme ça tous mes problèmes de calendrier, d’état d’âmes… Et puis quitte à faire n’importe quoi, autant le faire jusqu’au bout ! Et si vous avez des réclamations, faîtes les par mp à Kornog, parce qu’après tout, tout ça c’est de sa faute !
Caveman