29-10-2011, 21:40
Le mot de la vieille : Mes pioupious, après le match amical contre Lens en Coupe des Figues, voici que Dijon et l'OM inventent la demi-finale de Coupe de France en Ligue 1. Du jeu, des buts, de l'engagement, un public derrière son équipe, un scénario à en perdre le cœur. Une belle pub pour la Ligue 1.
Le Film du Match : Heureusement que José la caution Marseillaise est là. Sans sa salvatrice gueulante de la semaine dernière, l'OM aurait probablement perdu de façon lamentable. Et en 433.
Je suis arrivée en retard devant le match, je vous passe les détails que la décence et la morale m'empêche de nommer mais je crois bien que le guacamole et le chili con carne de ce midi sont en cause.
J'ai donc pris le match à 0-2, avec beaucoup de plaisir. D'autant plus que les cuicuis jouaient plutôt pas mal. Du mouvement, des solutions, de bonnes intervention défensives. Inexplicablement, les cuicuis baissent le pied à 10 minutes de la fin de la première période et se font chahuter et ça sent le but.
Je ne l'ai pas vu non plus car... Bref vous voyez.
Donc à partir de ce but, on aurait reculé pas mal. Je suis revenue vers l'heure de jeu, c'était un match complétement différent de la première mi-temps. Comme en Coupe de France, le "petit" était en train de faire la nique au "gros" à force d'engagement, de chants du public, et d'un arbitre qui laisse jouer. On sentait que le schéma mis en place n'était pas acculé, mais seulement sur la défensive à cause de la fougue de Dijon. Il suffisait d'attendre un peu, et l'adversaire allait se fatiguer. Ben tiens. Ça n'a pas manqué certes, mais Dijon avait d'abord réussi à égaliser.
Mais comme la gueulant de José est plus piquante que la moutarde, Alou Diarra réussit à sortir de sa torpeur, poussé par la voix claire et assurée de notre aimé directeur sportif, qui a eu encore des répercussion plus d'une semaine après. Quel homme. José, pas Alou.
Mes pioupious, je dois cependant vous laisser en plan, un appel de la nature me pousse à remettre à plus tard la remise des notes que vous attendez probablement avec une impatience non feinte et digne de celle d'Old Trafford à l'idée de la démission de Didier Deschamps.
Le Film du Match : Heureusement que José la caution Marseillaise est là. Sans sa salvatrice gueulante de la semaine dernière, l'OM aurait probablement perdu de façon lamentable. Et en 433.
Je suis arrivée en retard devant le match, je vous passe les détails que la décence et la morale m'empêche de nommer mais je crois bien que le guacamole et le chili con carne de ce midi sont en cause.
J'ai donc pris le match à 0-2, avec beaucoup de plaisir. D'autant plus que les cuicuis jouaient plutôt pas mal. Du mouvement, des solutions, de bonnes intervention défensives. Inexplicablement, les cuicuis baissent le pied à 10 minutes de la fin de la première période et se font chahuter et ça sent le but.
Je ne l'ai pas vu non plus car... Bref vous voyez.
Donc à partir de ce but, on aurait reculé pas mal. Je suis revenue vers l'heure de jeu, c'était un match complétement différent de la première mi-temps. Comme en Coupe de France, le "petit" était en train de faire la nique au "gros" à force d'engagement, de chants du public, et d'un arbitre qui laisse jouer. On sentait que le schéma mis en place n'était pas acculé, mais seulement sur la défensive à cause de la fougue de Dijon. Il suffisait d'attendre un peu, et l'adversaire allait se fatiguer. Ben tiens. Ça n'a pas manqué certes, mais Dijon avait d'abord réussi à égaliser.
Mais comme la gueulant de José est plus piquante que la moutarde, Alou Diarra réussit à sortir de sa torpeur, poussé par la voix claire et assurée de notre aimé directeur sportif, qui a eu encore des répercussion plus d'une semaine après. Quel homme. José, pas Alou.
Mes pioupious, je dois cependant vous laisser en plan, un appel de la nature me pousse à remettre à plus tard la remise des notes que vous attendez probablement avec une impatience non feinte et digne de celle d'Old Trafford à l'idée de la démission de Didier Deschamps.