Allez, moi j'y repasse dans 2 jours, Vendredi...je laisse carte blanche à mon tatoueur, je lui ai juste donné qq idées sur ce que je voulais.
J'ai hate, je suis comme un gosse....et pourtant, je sais que dans la nuit de Jeudi à Vendredi, je vais super mal dormir, me poser dix mille questions, me demander si je ne fais pas une ENORME connerie, si j'ai bien toute ma tête, si je veux vraiment m'infliger 3 heures de douleurs, bouffer de la Bpanthene pendant 1 semaine avec foutage en l'air de mes chemises, mal à l'aise au taf, obligé d'aller s'enfermer dans les chiottes avec sa creme et son soplain....Bref, évidement, une montagne de doute avant de repasser sur le "billard" et pourtant une excitation et une impatience à y retourner qui fait exploser ces doutes.
La seule petite musique qui me freine, c'est la peur que ma femme qui m'a donné son aval du bout des lèvres ne s'y fasse pas...
TRès drôle le sketch mais j'arrive pas à comprendre pourquoi les gens ne se rendent pas compte que c'est bluff, "sans douleur le tatouage n'est rien!!"
(24-10-2012, 08:19)Keyser a écrit : Allez, moi j'y repasse dans 2 jours, Vendredi...je laisse carte blanche à mon tatoueur, je lui ai juste donné qq idées sur ce que je voulais.
C'est une prolongation de ton tatouage existant, ou ça n'a rien à voir ?
Si c'est une prolongation c'est une excellente idée, surtout si le tatoueur en question est talentueux.
Yep, prolongation, par le même tatoueur, qui est très talentueux, je profite de ses services tant qu'il est encore là...
Je lui ai simplement dit jusqu'ou je voulais, c'est à dire epaule basse, replir un peu le pec, et remonter légèrement dans le cou...
(22-10-2012, 10:03)peñiscola a écrit : Héhé elephant !!!
Mais moi je n’ai pas trop vécu le même délire...
Pour répondre à la question de Caveman, non ce n'est pas un dessin à moi, au sinon, crois moi je ne ferais pas des pizzas :-)
En fait j'avais un vieux tribal fait en 98, sur l'épaule, et je voulais le cacher...
Et j'ai connu cette jeune fille par le biais d'un autre tatoueur, et j'ai adoré ses dessins, donc je n’ai pas hésité, je lui ai laissé plus ou moins carte blanche...
Samedi elle m'a montré le design, et ça m'a plus, je lui ai fait rajouté quelques plumes, feuilles...Et go pour le Dimanche...
J'ai super mal dormi la nuit du samedi, comme si je devais passer sur le billard le lendemain, contrairement au dimanche matin, ou comme élefant, j'avais l'impression d'aller chez le coiffeur...
La pose du calque et voir déjà ce que cela va donner est très excitante !!!
La première piqure, ben moi au contraire, bof ça va ce n’est pas si douloureux que ça, la première impec...
Par contre à l'heure de faire les ombres et le remplissage, là j'ai commencé à en voir de toutes les couleurs, et pareil tu ne sais pas si retenir la respiration ou respirer...
Et quand elle a fini que rentre son compagnon, et lui dit "mets un peu plus de noir par ci, par là" !!! OH CASSE-TOI !!! JPP....
Mais une fois tu passe au nettoyage et elle te plastifie, tu es super soulagé et tu oublies pratiquement tout ce que tu as pu souffrir, quand tu vois le résultat...
J'en suis super content...
Bref prochain tattoo en projet les avant bras !!!!
Il est superbe !
J'ai vraiment envie de passer à quelque chose de plus travailler pour l'autre bras.
Finir mon tribal en descendant sur le bras et le l'avant bras (va falloir convaincre madame), et passer sur l'autre bras à quelque chose de beaucoup plus original, en couleur.
Mon tatoueur fait de superbes dessins, j'ai qu'une envie, y retourner et qu'il me montre ce qu'il a en tête.
Mais la négociation avec madame va s'annoncer compliquer, elle trouve que ce lui que j'ai est déjà très "gros".
Mais c'est une vraie drogue, j'arrive pas me l'expliquer, c'est complètement irrationnel...On me l'avait pourtant dit, j'y croyais pas, et voilà qu'à 40 ans je suis entrain de plonger méchant dans cet univers, ou en tous cas que j'ai de très grosses envie d'y replonger.
Je ne sais pas comment me l'expliquer, je ne sais pas comment l'expliquer à ma femme, je ne sais pas comment elle l'aborde, le comprend, ou me comprend.
Je ne sais pas jusqu'ou je peux aller...
Compliqué.