12-12-2013, 03:45
Le mot de la vieille
Oui j’étais en grève et en mal d'OM fringant. Je ne parle pas du nouveau bedeau et son cul d'ange quand il sonne les cloches à ma vue basse. J'en bave.
Non pour tout dire, j’en avais ras le voile de casquette et là, je reviens puisque casquette a mis les voiles.
Et comme dirait l'éméché: Change de chauve qui peut et poil au con.
Vous me suivez. Non. Normal. J'ai fini la dernière bouteille de Schnaps.
Le film du match
J'ai bien fini par capter le direct. Pas sûre au final que cela valait la peine que je m'explose les varices à grimper sur le toit du cloitre et me colle un tennis-elbow à pointer la parabole sur d’improbables chaînes teutonnes, aidée par cette gourde de soeur Anne qui ne voyait jamais rien venir au poste.
On s'est fadées pas mal de programmes surréalistes avant d'avoir le match.
D'ailleurs, en foot ils sont bons nos cousins germains, mais en émission de cuisine, punaise ça fait peur ma sœur.
Mince consolation, si j’ose dire. Mais aucun rapport avec la choucroute.
Ce match donc.
On prend un but avec la tête encore au vestiaire (4’ Lewandowski), on égalise avec la tête à l’envers (15’ Souley hors jeu), finalement on s’en prend un autre avec la tête entre les mains ( 85’ Grosskreutz qui mous l’a mis profond).
Bref on perd.
La routine quoi.
Les notes de la veille
Desolé mes pious-pious mais j’ai pas la force, j’ai pas l’envie, j’ai pas d’idée. Le syndrome de la casquette sans doute.
Je suis encore eliebaupisée de l’intérieur.
Tanquée seule sur mon banc, plus une goutte de cet immonde Schnaps, j'en aurais bien repris pourtant. Juste un doigt.
bouse c'est rien un petit doigt. Juste un doigt d'honneur. Même ça ils n'ont pas su.
Je suis au beau milieu du réfectoire à regarder d'un oeil torve la TV à Papa Schultz où un apprenti pâtissier concocte un étouffe-chrétien, un cake à la crème à moins que ce soit un parpaing au crépi.
Je suis dégoûté.
O points.
La bulle.
L'oeuf de la poule.
On vient d’établir le record le plus pitoyable de la ligue des champions. On est la risée de l’Europe. Du monde.
Non pire ! Je crois que l’Europe, que tout le monde s’en fout.
Enfin je le souhaite.
Revenons à nos biquettes,
Je dirais plus 1 pour l’envie. C’est le minimum.
Moins 1 pour le reste. C’est le minimum aussi.
Ce qui nous fait bien un Zéro pointé. Y a pas à tortiller pour caguer dans le trou.
Celui où on a la tête.
Comme je suis magnanime. Je rajoute un anti-rhume et un protège-dent pour Mendes, un treuil pour Cheyrou, une conduite de balle pour Gignac, un éplucheur à pêche pour les gants de Dieu, un double arrière gauche pour un manche, un anti-poux pour chauve et sinon un café et l’addition pour tout le monde.
Conclusion :
On est tous coupables selon Tif. Bien. On a trouvé un responsable sur deux tondus. Entendu. On a pointé de vrais fautifs mal polis. OK.
Mais c’est pour quand un garant au poil ?
Sur ce Mama se casse et reviendra quand le jeu en vaudra le cierge.
Pour l’heure j’ai pété sur la flamme.
Oui j’étais en grève et en mal d'OM fringant. Je ne parle pas du nouveau bedeau et son cul d'ange quand il sonne les cloches à ma vue basse. J'en bave.
Non pour tout dire, j’en avais ras le voile de casquette et là, je reviens puisque casquette a mis les voiles.
Et comme dirait l'éméché: Change de chauve qui peut et poil au con.
Vous me suivez. Non. Normal. J'ai fini la dernière bouteille de Schnaps.
Le film du match
J'ai bien fini par capter le direct. Pas sûre au final que cela valait la peine que je m'explose les varices à grimper sur le toit du cloitre et me colle un tennis-elbow à pointer la parabole sur d’improbables chaînes teutonnes, aidée par cette gourde de soeur Anne qui ne voyait jamais rien venir au poste.
On s'est fadées pas mal de programmes surréalistes avant d'avoir le match.
D'ailleurs, en foot ils sont bons nos cousins germains, mais en émission de cuisine, punaise ça fait peur ma sœur.
Mince consolation, si j’ose dire. Mais aucun rapport avec la choucroute.
Ce match donc.
On prend un but avec la tête encore au vestiaire (4’ Lewandowski), on égalise avec la tête à l’envers (15’ Souley hors jeu), finalement on s’en prend un autre avec la tête entre les mains ( 85’ Grosskreutz qui mous l’a mis profond).
Bref on perd.
La routine quoi.
Les notes de la veille
Desolé mes pious-pious mais j’ai pas la force, j’ai pas l’envie, j’ai pas d’idée. Le syndrome de la casquette sans doute.
Je suis encore eliebaupisée de l’intérieur.
Tanquée seule sur mon banc, plus une goutte de cet immonde Schnaps, j'en aurais bien repris pourtant. Juste un doigt.
bouse c'est rien un petit doigt. Juste un doigt d'honneur. Même ça ils n'ont pas su.
Je suis au beau milieu du réfectoire à regarder d'un oeil torve la TV à Papa Schultz où un apprenti pâtissier concocte un étouffe-chrétien, un cake à la crème à moins que ce soit un parpaing au crépi.
Je suis dégoûté.
O points.
La bulle.
L'oeuf de la poule.
On vient d’établir le record le plus pitoyable de la ligue des champions. On est la risée de l’Europe. Du monde.
Non pire ! Je crois que l’Europe, que tout le monde s’en fout.
Enfin je le souhaite.
Revenons à nos biquettes,
Je dirais plus 1 pour l’envie. C’est le minimum.
Moins 1 pour le reste. C’est le minimum aussi.
Ce qui nous fait bien un Zéro pointé. Y a pas à tortiller pour caguer dans le trou.
Celui où on a la tête.
Comme je suis magnanime. Je rajoute un anti-rhume et un protège-dent pour Mendes, un treuil pour Cheyrou, une conduite de balle pour Gignac, un éplucheur à pêche pour les gants de Dieu, un double arrière gauche pour un manche, un anti-poux pour chauve et sinon un café et l’addition pour tout le monde.
Conclusion :
On est tous coupables selon Tif. Bien. On a trouvé un responsable sur deux tondus. Entendu. On a pointé de vrais fautifs mal polis. OK.
Mais c’est pour quand un garant au poil ?
Sur ce Mama se casse et reviendra quand le jeu en vaudra le cierge.
Pour l’heure j’ai pété sur la flamme.