14-09-2024, 00:07
Plein le cul des Bleus ?
L'OM revient sur le terrain pour la 4e journée du Big Mac ambulant, face à sa bête noire.
Il était temps...
Je l'avoue. J'étais en peine overdose des JO et leurs interminables célébrations jupitériennes.
Bon, bref. Parlons vrai. On est passé du 14 juillet au 11 novembre en un clin d'oeil.
On renoue avec les ignobles looks JOTT sans avoir eu le temps de frotter au propre nos attirails d'estivants.
On ne sait plus comment s'habiller, ma bonne dame. De quoi nourrir les plus insatiables conversations de coiffeurs.
Sauf que j'ai fait l'impasse. Et suis directement passé chez Ikéa pour refaire la chambre du fiston.
Et comme toujours, je prends les mesures. Quantifie tout à l'avance.
Je fais des croquis pas très croustillants, mais bon. L'esthétisme doit parfois savoir se sacrifier au pragmatisme.
Je le fais religieusement. Car la Valentine est l'antichambre de l'enfer.
C'est à peine un grade en-dessous d'une virée forcée à Plan de Campagne.
J'ai mes Marlboro en poche, escortées par mon meilleur stylo et une gourde d'Isostar.
Hors de question de me taper leurs rubans de papier mou. Et dégueulasse à souhait.
Et que dire de leurs QR-codes, adressés aux quelques bobo-quinoa-vélo.
Je suis un pragmatique.
Si je dois en plus supporter leur critérium pour nains, je vais être d'humeur massacrante.
Sauf que.
J'ai oublié mon carnet avec les notes pour des mesures idoines. Ainsi que mon mètre.
Et mes lunettes, sans lesquelles je confondrais Messi avec une lanterne.
L'enfer. Surtout avec des LED réglées en mode vitrine.
La rétine fondante, je reste nonobstant fidèle à ma devise, face à ces ingénieux Suédois.
Je n'ai ni d'yeux ni mètre...
Bref. Je repars penaud. Sans le meuble FRIDEBIDEHU tant convoité.
Mais avec la certitude que trop de gens se font caguer autant que moi, un vendredi à 16h.
On va encore se caguer face à Nice, Clauss va marquer. Maupay aussi.
C'est écrit. Et si on doit frôler le mal-Haise, on prendra notre revanche dans le 06.
Quand nos Anglais iront s'y promener.
L'OM revient sur le terrain pour la 4e journée du Big Mac ambulant, face à sa bête noire.
Il était temps...
Je l'avoue. J'étais en peine overdose des JO et leurs interminables célébrations jupitériennes.
Bon, bref. Parlons vrai. On est passé du 14 juillet au 11 novembre en un clin d'oeil.
On renoue avec les ignobles looks JOTT sans avoir eu le temps de frotter au propre nos attirails d'estivants.
On ne sait plus comment s'habiller, ma bonne dame. De quoi nourrir les plus insatiables conversations de coiffeurs.
Sauf que j'ai fait l'impasse. Et suis directement passé chez Ikéa pour refaire la chambre du fiston.
Et comme toujours, je prends les mesures. Quantifie tout à l'avance.
Je fais des croquis pas très croustillants, mais bon. L'esthétisme doit parfois savoir se sacrifier au pragmatisme.
Je le fais religieusement. Car la Valentine est l'antichambre de l'enfer.
C'est à peine un grade en-dessous d'une virée forcée à Plan de Campagne.
J'ai mes Marlboro en poche, escortées par mon meilleur stylo et une gourde d'Isostar.
Hors de question de me taper leurs rubans de papier mou. Et dégueulasse à souhait.
Et que dire de leurs QR-codes, adressés aux quelques bobo-quinoa-vélo.
Je suis un pragmatique.
Si je dois en plus supporter leur critérium pour nains, je vais être d'humeur massacrante.
Sauf que.
J'ai oublié mon carnet avec les notes pour des mesures idoines. Ainsi que mon mètre.
Et mes lunettes, sans lesquelles je confondrais Messi avec une lanterne.
L'enfer. Surtout avec des LED réglées en mode vitrine.
La rétine fondante, je reste nonobstant fidèle à ma devise, face à ces ingénieux Suédois.
Je n'ai ni d'yeux ni mètre...
Bref. Je repars penaud. Sans le meuble FRIDEBIDEHU tant convoité.
Mais avec la certitude que trop de gens se font caguer autant que moi, un vendredi à 16h.
On va encore se caguer face à Nice, Clauss va marquer. Maupay aussi.
C'est écrit. Et si on doit frôler le mal-Haise, on prendra notre revanche dans le 06.
Quand nos Anglais iront s'y promener.
Solide comme un wok !