25-09-2024, 18:35
Le mot de la vieille :
Nous avons choisi le Prieuré de Saint Pons, un endroit où les trublions aiment détrousser les nones, pour émoustiller un avant match qui m'avait rendue toute chose par avance. Le saint Bastien, bel et bien descendant de Belle, le saint Bernard, a tout fait avec envie, nous pensant aimés jusqu'à la Lie. Mais notre bon seigneur a horreur des scripts mal écrits... Les miracles sont arrivés, et même Lirola a marqué. C'est dire si c'était impossible.
Les notes de la vioque :
On va noter degun.
Je sors d'un long weekend, comme un long couloir sans fin, plein de tresses et de brutales finesses. J'adore le dreads Rowe, porté au vent, râpeux comme une bure de jésuite. Mon irritation reste humide rien qu'en y pensant.
J'adore quand Basilou veut être mondain avec tout le monde ( Prem's), que Ravanelli danse comme l'empafé parisien, quand Lirola est porté par une énergie rebelle qui est partagé par un vestiaire enfin réuni et solidaire. Quel lonnnnnng weekend cela m'a offert.
Ils sont beaux, ils sont rageux, ils ne baissent pas les bras malgré les coups, et rien que ça, ça fait oublier que notre arrière train est fragile, surtout en mode bricolé.
Mon ange Frana me rappelle qu'en octobre, quand la mayonnaise de l'équipe remaniée prend, c'est déjà trop tard... Mais là, un danois monstroplantesque et un gardien argentin ont circoncis la légende, et on est bien emmerdés pour savoir où va finir cette épopée.
Ah, le dandy Mehdi, j'allais t'oublier. Tu la joue Leonardo, mais en moins chevelu, et moins parisien. Même si la forme est discutée, on voit où tu veux en venir, mon coquin. Je t'envoie mon 06 en MP, si tu veux que je te motive.
L'abbé atitude m'attend, on va parler de Zobi. Pardon, de Zerbi.
Bisous partout mes loulous...
Nous avons choisi le Prieuré de Saint Pons, un endroit où les trublions aiment détrousser les nones, pour émoustiller un avant match qui m'avait rendue toute chose par avance. Le saint Bastien, bel et bien descendant de Belle, le saint Bernard, a tout fait avec envie, nous pensant aimés jusqu'à la Lie. Mais notre bon seigneur a horreur des scripts mal écrits... Les miracles sont arrivés, et même Lirola a marqué. C'est dire si c'était impossible.
Les notes de la vioque :
On va noter degun.
Je sors d'un long weekend, comme un long couloir sans fin, plein de tresses et de brutales finesses. J'adore le dreads Rowe, porté au vent, râpeux comme une bure de jésuite. Mon irritation reste humide rien qu'en y pensant.
J'adore quand Basilou veut être mondain avec tout le monde ( Prem's), que Ravanelli danse comme l'empafé parisien, quand Lirola est porté par une énergie rebelle qui est partagé par un vestiaire enfin réuni et solidaire. Quel lonnnnnng weekend cela m'a offert.
Ils sont beaux, ils sont rageux, ils ne baissent pas les bras malgré les coups, et rien que ça, ça fait oublier que notre arrière train est fragile, surtout en mode bricolé.
Mon ange Frana me rappelle qu'en octobre, quand la mayonnaise de l'équipe remaniée prend, c'est déjà trop tard... Mais là, un danois monstroplantesque et un gardien argentin ont circoncis la légende, et on est bien emmerdés pour savoir où va finir cette épopée.
Ah, le dandy Mehdi, j'allais t'oublier. Tu la joue Leonardo, mais en moins chevelu, et moins parisien. Même si la forme est discutée, on voit où tu veux en venir, mon coquin. Je t'envoie mon 06 en MP, si tu veux que je te motive.
L'abbé atitude m'attend, on va parler de Zobi. Pardon, de Zerbi.
Bisous partout mes loulous...