14-06-2011, 17:23
(Modification du message : 14-06-2011, 17:24 par Xaviergravelaine.)
(14-06-2011, 13:33)caveman a écrit : Oui, ça fait un peu arriviste comme discourt. Ceci dit, la question que je me pose surtout c'est le niveau de pouvoir qu'avait Dassier sans en demander l'accord auprès du conseil de surveillance ? En gros, le père Dassier était-il le seul juge pour négocier et signer un contrat ou est-ce que les signatures devaient être validées par le conseille de surveillance ? Dans le premier cas, le discourt de Labrune serait cohérant, dans le second il se foutrait ouvertement de notre poire. Pour le moment je suis incapable de savoir ou se situe le bonhomme mais je reste optimiste sur cette réorganisation du club qui me semble plus seine à première vu.
Quand tu as un conseil de surveillance et un directoire, l'opérationnel est laissé au président du directoire qui rend des comptes seulement au moment du conseil de surveillance.
En gros, la paire Dassier/Veyrat avait la signature et tous les pouvoirs de décision.
Le conseil de surveillance est là pour donner les grandes lignes stratégiques, contrôler et virer au besoin.
Avec un conseil d'administration, le "circuit décisionnel" est raccourci. Le président du conseil d'administration est le patron, secondé de son DG. Les décisions peuvent être prises beaucoup plus rapidement en accord avec l'actionnaire principal puisque il n'y a pas par passer par le conseil de surveillance pour valider toutes les grandes décisions stratégiques.
Cette structure convient donc beaucoup mieux à un club de football professionnel (réactivité). Le rôle de Labrune ne changera fondamentalement pas puisque j'ai cru comprendre que Dassier était "squizzé" par la plupart de ses interlocuteurs légitimes (présidents d'autres clubs, joueurs, DD,...). Il n'a pas non plus besoin d'âtre à Marseille puisque DD, avec ses pouvoirs élargis, sera le seul à communiquer sur le sportif (la caution Marseillaise aussi bien sûr
