13-01-2007, 16:01
Le site internet c'est moi qui l'avait posté, c'est dans les sites favoris, je te le cherche !
...et je te le trouve !
http://infog.free.fr/Pytheas/
...et je te le trouve !
http://infog.free.fr/Pytheas/
13-01-2007, 16:01
Le site internet c'est moi qui l'avait posté, c'est dans les sites favoris, je te le cherche !
...et je te le trouve ! http://infog.free.fr/Pytheas/
14-01-2007, 01:13
Merci cétacé, ce site est vraiment canon !
" Train a facking idiot, you'll get a trained facking idiot" (Alastair Robertson)
14-01-2007, 01:15
A suivre si tout va bien. :paysan:
14-01-2007, 01:19
c'est quoi ce barrage deep ?
" Train a facking idiot, you'll get a trained facking idiot" (Alastair Robertson)
14-01-2007, 10:26
Cobl a écrit :c'est quoi ce barrage deep ?Sur le site ou j'ai pompé la photo, il est présenté comme étant le barrage de Bimont que je vais traverser d'ailleurs dans quelques heures. Mais connaissant un peu la région et ses sentiers, il me semble (d'aprés cette photo) que c'est le barrage Zola, un peu plus bas dans la vallée longeant la montagne Ste Victoire. Si je peux faire des photo, je les mettrai en ligne. C'est un coin superbe. Dommage que le ciel soit couvert...quoi que, on dirait que ça s'éclaire.......:)
14-01-2007, 11:28
Kalamáta a écrit :'achement bien fait ce site! pour ceux que l'épopée de Pythéas intéresse, voici une lecture fortement conseillée: publié en 1956, un vrai régal et pas bien cher en sus contexte, résumé, extraits et présentation de l'auteur
" Train a facking idiot, you'll get a trained facking idiot" (Alastair Robertson)
Lundi investigation sur Canal ce soir, a diffusé un bouleversant reportage sur l’été meurtrier de 1973, été meurtrier, raciste et…Marseillais.
Je voudrais à mon tour, pudiquement, vous raconter une "précédente", car Marseille a connu dans le passé, des soubresauts d’une violence au moins égale a celle que nous avons été informés ce soir. Ma, ante tutto, saluto qui la memoria del mio nonno Oreste-Amédéo L.... nato a Torino in 1889, immigrato a Marsiglia nel 1909 dopo un tentativo stérile a Sao-polo di Brasile... morte per la Francia l'undici luglio 1916 al forestia di Fumin (Verdun) aveva 27 anni! Avant tout, je salue ici la mémoire de mon grand-père Oreste-Amédéo L…. Né à Turin en 1889, immigré à Marseille en 1909 après une tentative infructueuse à Sao-Polo…Mort pour la France le 11 juillet 1916 au bois Fumin (Verdun ) il avait 27 ans ! La France et plus particulièrement la Provence a été, à partir de la fin du XIXe siècle, une terre d'accueil pour des milliers d'immigrants venus de l'autre côté des Alpes. Le formidable développement de la troisième république, l’épopée coloniale, la seconde révolution industrielle, furent autant de motifs a une forte demande de travailleurs. Celle qui se destine à Marseille et ses grandes ambitions coloniales provient pour l'essentiel du nord de la péninsule transalpine, en particulier du Piémont et de la Toscane et, dans une moindre mesure, de Lombardie et d'Émilie-Romagne. Dans l'ensemble, les immigrés étaient des hommes jeunes et à forte mobilité. Dans les registres de décès de la fin du XIXe siècle, on trouve en effet rarement la mention d'Italiens âgés nés en France. Si l'on ne peut exclure le fait que cette immigration était provoquée par l'attrait d'emplois en France, (bien que les italiens immigrèrent massivement aux Amériques) il semblerait que la cause première soit la nécessité pour tous ces hommes et femmes de quitter un pays où les paysans étaient globalement exclus du processus de restructuration capitaliste. ( voir le film 1900 de B.Bertolucci ) Les Italiens acceptaient des emplois extrêmement pénibles. Ils ne rechignaient pas à la besogne s'infiltrant partout : dans les caves, dans les mines, dans les travaux agricoles, dans les travaux de terrassement, là où il y a un salaire mesquin à gagner. Cette concurrence dans le travail ne tarda pas à susciter des querelles, annonciatrices d’une vive xénophobie, La population française s'accroissait de façon plus que moyenne, tandis que les industries et les travaux publics faisaient face à un progrès vertigineux, et pour couronner le tout le vaste empire colonial dévorait une quantité importante de larrons gaulois plus attirés a faire travailler les autres qu’à saisir le manche de la cognée. La France était donc à la recherche d'une main d' oeuvre abondante. Or, le fait que les ouvriers italiens acceptaient des salaires médiocres était très mal vus par leurs collègues français et la réputation d'Italien "briseur de salaire" était communément répandue, à tel point que, pour l'ouvrier français, l'immigration italienne était une cause de la misère et du chômage. Les patrons français ne s'y trompaient pas et avaient beau jeu de proposer des salaires misérables à des hommes affamés. On trouvait dans leurs bouches des propos forcément élogieux : "Les Italiens se distinguent des autres ouvriers par leurs habitudes d'ordre et leur sobriété. (...) Ils sont en général laborieux, vivant de peu (...) plus dociles que nos nationaux, font volontiers des quarts d'heure et même des demi-heures en sus de la durée réglementaire". Le racisme anti-italien, s’installa dans le sud de la France, à l’instar de l’anti-belge dans le Nord, et pour les mêmes raisons. Les Italiens étaient affublés de surnoms déshonorants par leurs homologues provençaux : "bachins", "babis", macaronis et christos a cause du comportement religieux très ostentatoire des premiers arrivants, ces "tristes brutes aveuglées de catholicisme" selon le quotidien le Cri du Peuple, éloignées des prolétaires français. A Marseille, les dockers transalpins déchargeaient les navires aux cris de "per Gesù e per la madonna..." Le terme "rital" était alors inusité. Comme pour les "événements" de 73, les journaux locaux jetaient souvent de l'huile sur le feu. On pouvait lire dans Le Mémorial d'Aix : "Les Italiens commencent à pousser trop loin leurs prétentions. Ils nous traiteront bientôt en pays conquis (...). Ils font une concurrence à la main-d'oeuvre française et drainent notre argent au profit de leur pays" Le journal Le Jour, quant à lui, n'hésitait pas à parler de "cette marchandise nuisible, et d'ailleurs frelatée, qui s'appelle l'ouvrier italien". Mais le Pulitzer de la haine revient à ce journaliste inconnu qui écrivait en 1896 dans journal la Patrie, pour lequel il n’y a pas d’archives en France, excusez-moi, si je ressuscite ici ce nauséabond: "ils arrivent telles des sauterelles, du Piémont, de la Lombardie-Vénitie, des Romanes, de la Napolitaine voire de la Sicile. Ils sont sales, tristes, loqueteux. Tribus entières immigrants vers le Nord, où les champs ne sont pas dévastés, où on mange, où on boit. Ils s’installent chez les leurs, entre-eux, demeurant étranger au peuple qui les accueille, travaillant à prix réduit, jouant tour à tour de l’accordéon et du couteau" Comment ne pas voir sous la plume de ces journalistes haineux un véritable appel au meurtre, ou, au minimum, une justification des exactions commises. C’est au bas de la rue de la république, au mois de Juin 1881, qu’allaient commencer ce que l'on nommera… les Vêpres marseillaises,. Nous sommes alors, nous les Français, en pleine extension coloniale de l’Afrique du nord. Le 12 mai 1881, le protectorat français en Tunisie fut officialisé par la signature du traité du Bardo au grand dam de l’Italie à qui nous avons subtilisé la prérogative…et pour célébrer l’événement, la troupe coloniale fraîchement constituée, remonte cette artère. Des coups de sifflets partirent du "Club Nazionale Italiano" situé juste en face de la Samaritaine. Une foule considérable se massa devant le Club et en fit le siège, tandis que dans plusieurs quartiers, se produisaient des bagarres entre Français et Italiens. Et la ratonnade dura 3 jours, 10.000 Marseillais de souche se concentrèrent aux alentours du vieux port pour opérer à une véritable chasse à l’homme. Ces événements qualifiés de regrettables par la préfecture d’alors, se sont chiffrés officiellement à 3 morts et 21 blessés, ( bilan rapidement revu à la hausse par des observateurs Britanniques ) Longtemps la population marseillaise et la colonie italienne ressentirent une inimitié très vive l’une vis à vis de l’autre et ce n’est que l’appel au ressentiment de la patrie en danger comme celui 3 août 1914 qu’un semblant de paix sociale apparût: Au sujet de la 1ere guerre mondiale, il serait hasardeux de supposer que les émeutes raciales de Juin 1881 influencèrent la politique extérieure de l’Italie, mais il est certain qu’elles contribuèrent à un fort sentiment anti-français au delà des Alpes. l’Italie faisait partie de la triple alliance depuis 1882, déclara d’abord une neutralité, pour finalement entrer au coté de la triple entente... Le 23 Mai 1915 entre temps et depuis le 3 août 1914 les italiens de Marseille furent naturalisé en recevant leur ordre de mobilisation…et leur pantalons rouges Ce sont là nos indigènes ! Mais le pire événement lié à la haine anti-italienne s'est déroulé le 17 août 1893 à Aigues-Mortes. Dès le matin de cette sinistre journée, des litiges éclataient sans cesse entre ouvriers français et italiens dans les salins de la Fangouse, au sud des murailles de la ville. Les rapports de police évoquent « un ouvrier italien qui reproche à un ouvrier français de son équipe de ne point charger suffisamment sa brouette, (...) un ouvrier français qui se plaint d'un ouvrier italien manoeuvrant intentionnellement sa brouette de manière à la frôler à chaque instant au talon... » Des chicaneries en somme qui vont peu à peu exacerber des sentiments haineux de part et d'autres. A la pause de midi, quelques Français jettent du sable sur les Italiens. Un Italien va laver son mouchoir dans un baquet d'eau potable. Un Français lui en fait le reproche. «Je m'en fous de toi et de tes camarades», rétorque l'Italien. Un bagarre éclate alors. Sept Français sont blessés (dont un a reçu trois coups de couteau). Vers deux heures, le juge de paix d'Aigues-Mortes se rend sur les lieux avec trois gendarmes et parvient à ramener tout son monde à la raison. Le travail reprend. L'excitation des esprits reste pourtant à son comble. En ville, les habitants ont appris les événements de la Fangouse. Une bonne partie d'eux décident de s'associer à des ouvriers des salins et entament une chasse à l'Italien. Des centaines de personnes s'affrontent dans les rues, déchaînant une violence sans limite. Là aussi le bilan est très controversé, c’est encore en Angleterre que je suis allé chercher des chiffres crédibles, tant ceux donnés en France semblent minimalistes, ils font état de 8 morts, les Anglais parlent de 50 (souce "le Time") Voilà, mes chers amis une tranche de votre passé, merci de vous y être arrêté quelques instants et merci aussi à Cobl pour avoir remonté ce topic des abysses
Cum igitur Massilis et fama rerum gestarum et abundantia opum et uirium gloria uirente floreret, repente finitimi populi ad nomen Massiliensium delendum uelut ad commune extinguendum incendium concurrunt.
Trogue Pompée.
L'Histoire de la Provence et de Marseille en particulier n'ai jamais rien eu d'acceuillant pour "l'étranger". Ca me surprend toujours d'entendre parler de Marseille comme un lieu d'intégration, de brassage des cultures. Certes, il y a des échanges mais la ville si elle s'est construite avec l'apport d'étrangers à toujours eu une antipathie certaine pour la dernière communauté arrivée (regroupant par là-même les immigrés précédents et les plus anciens... d'ailleurs dans l'exemple précédents, une bonne part des ouvriers à l'époque ont pour origine les Alpes, l'Alsace et la Lorraine, le reste de l'Occitanie...).
Maintenant, chacun peut penser ce qu'il veut mais pour le peu que j'ai lu et que je connaisse de ma ville, c'est un truc que j'ai remarqué. Pour aller plus loin, Marseille a longtemps était séparée en villages puis en quartiers avec des communautés dans chacun d'entre eux (Catalans vers Endoume et aux catalans, Italiens et corses au Panier, Suisses et quelques Italiens au Roucas - quartier pauvre à l'époque (XIXeme), etc). Donc, le brassage c'est dans la durée... la très longue durée.
Trempatz la trempa, se volètz; Mai laissatz chimar Jubilet!
16-01-2007, 00:14
Faut dire qu'ente les italiens et les arabes on a jamais été gaté...
(c'est de l'humour)
En tout cas ils pouront chambrer demain ils faisaient moins les malins en finale de coupe de france y a pas si longtemps les marseillais ! J'espère qu'on les retrouvera en coupe de l'UEFA après les poules.... s'ils en sortent !!!! Bande de Nazes ! Bande de Marseillais bourrés au Pastis ! Bande de joueurs de pétanque ! Bande de grandes gueules ! Bande de fainéants du Sud ! Bande de prétentieux ! Bande de petits Angio ! Bande de drogués du soleil ! Bref, Bande de tout ce que je déteste chez les Marseillais !!!!! @ Fiorese la tapette sur le forum Allpsg aprés le 1-3
16-01-2007, 02:19
Pythéas a écrit :Voilà, mes chers amis une tranche de votre passé, merci de vous y être arrêté quelques instants et merci aussi à Cobl pour avoir remonté ce topic des abysses.Salut Pythéas, ça fait plaisir de te revoir. :) J'ai scanné et j'étais a deux doigts de mettre dans ce topic la carte de travail d'un immigré et de sa médaille du travail obtenu en 1961. Celui qui m'a donné son nom. Un "babi" effectivement qui a bossé dur en fond de cale des bateaux. Il n'a pas profité de sa retraite française. il est mort avant que le boulot de docker ne soit mieux considéré. Il est clair que pour certains français il était plus que rabaissant de faire des tranchées ou de tenir un marteau piqueur, ayant travaillé tout jeune sur des chantiers et dans les travaux publics, j'ai vu parfois comment était utilisé la main d'oeuvre étrangère. mais je pense que ça reste des plaies française et pas spécialement marseillaises, sans rien oter au drame auquel tu fais référence. Pour répondre à Jubilet Jubilet a écrit :Certes, il y a des échanges mais la ville si elle s'est construite avec l'apport d'étrangers à toujours eu une antipathie certaine pour la dernière communauté arrivéeJe doute que ce soit aujourd'hui encore dans les mentalités. Marseille a ses quartiers qui étaient des villages effectivement, qui ont été reliés et on pourrait rajouter Baumont et St Antoine pour les arméniens, mais que je sache les grandes villes du monde des pays démocratiques ont aussi leurs communautés, à la différénce près, que Marseille est plus petite que Londres, Los Angeles, Paris ou autre et que le brassage et le métissage est plus inscrit ici qu'ailleurs. Une preuve par l'image dans ma signature.
16-01-2007, 04:16
j'ai vu le programme de C+,
et il me semble que la diaspora qui précède est souvent bourreau de la diaspora qui arrive et ceci depuis la nuit des temps. la place est si difficile à faire mais en regardant les victimes algériennes de ces ratonades, je me demandais comment en quelques 30 ans la ville avait transformé ces méditerranéens quelconques en vrais marseillais avec des expressions empruntées à PAGNOL jamais aucune phrase en l'encontre de la ville c'est peut être ça l'intégration malgré tout?
16-01-2007, 07:41
Vu aussi: impressionnant! Petite pensée au passage pour Ceccaldi...
nOMen est OMen @ nemOmen
16-01-2007, 09:36
deepbluebdr a écrit :Pour répondre à Jubilet Qu'il y ait brassage et métissage effectivement il y a. Mais dire que Marseille accueille facilement et est ouverte, ben là j'ai plus de mal. Je n'irai pas jusqu'à citer les chiffres du borgne mais bon ça c'est un fait. Mais ce sujet est très complexe. Je vais d'ailleurs me mettre à la lecture du très volumineux (4 tomes) Histoire des migrations à Marseille pour ne pas me retrouver sans argument. I'll be back (mais bon, là j'en ai pour un mois héhé).
Trempatz la trempa, se volètz; Mai laissatz chimar Jubilet!
16-01-2007, 10:09
chauvet a écrit :j'ai vu le programme de C+, Précision historique : L'origine du mot diaspora précise que pour qu'il y ait diasparo, le résultat de la dispersion doit être supérieur quantitativement au bassin originel de peuplement des membres d'une communauté. On emploie ce mot par méconnaissance parfois et il n'existe que très peu de diasporas. La diaspora juive en est un bon exemple. Voilà pour cette petite parenthèse.
16-01-2007, 10:15
16-01-2007, 10:22
chauvet a écrit :http://fr.wikipedia.org/wiki/Diaspora J'ai regardé oui juste avant, mais il y a des erreurs justement figure-toi. Pour avoir étudié la question d'un point de vue historique, je sais ce qu'il en est :Pixie . Et c'est toujours le problème de wikipédia, encyclopédie libre...
16-01-2007, 10:34
Jubilet a écrit :Mais dire que Marseille accueille facilement et est ouverte, ben là j'ai plus de mal. Je n'irai pas jusqu'à citer les chiffres du borgne mais bon ça c'est un fait.C'est un mal français, malheureusement. Marseille n'a pas l'exclusivité ou n'avait pas l'exclusivité, car je me répète les "julot" en tricot de corps marcel après la collaboration voulaient continuer un combat. Les Italiens comme les esganols qui ont fuits Mussolini et Franco, n'ont pas été compris dans leur peur. Maintenant c'est sur, si l'on s'arrête au regard de canal plus sur Marseille tout est possible....."il veulent même cloner le Christ".... Mais bon je ne suis ni écrivain, ni historien, c'est simplement ce que je perçois depuis 52 ans. Bonne journée. deepbluebdr a écrit :C'est un mal français, malheureusement. Marseille n'a pas l'exclusivité ou n'avait pas l'exclusivité, car je me répète les "julot" en tricot de corps marcel après la collaboration voulaient continuer un combat. Les Italiens comme les esganols qui ont fuits Mussolini et Franco, n'ont pas été compris dans leur peur. Pour le regard de c+ je ne sais pas.. je n'ai regardé qu'un bout d'emission. Et c+, j'ai des petits problèmes avec leur objectivité et leur mise en perspective très centraliste (avis perso). Quand je repense au reportage dans l'effet papillon sur les chinois qui font un train pour aller coloniser les tibétains et qui y envoient leur fonctionnaires et que c'est une honte, ça me fait doucement marrer (le TGV Med' c'est pas pareil ? Ah ben non ici c'est la France, c'est pas pareil, c'est une démocratie alors on le fait pour le bien de nos concitoyens. Ok, c'est cool alors. hum hum). Donc je te rassure sur un point c+ c'est pas mon dealer principal d'infos. En fait, au début, ma réaction c'était plus sur le long papier et donc sur l'Histoire. Aujourd'hui, il y a une évolution certaine et c'est tant mieux (pour les résultats électoraux, les facteurs doivent être évoqués dans le reportage)
Trempatz la trempa, se volètz; Mai laissatz chimar Jubilet!
16-01-2007, 18:19
Jubilet a écrit :Pour le regard de c+ je ne sais pas.. je n'ai regardé qu'un bout d'emission. Et c+, j'ai des petits problèmes avec leur objectivité et leur mise en perspective très centraliste (avis perso). Quand je repense au reportage dans l'effet papillon sur les chinois qui font un train pour aller coloniser les tibétains et qui y envoient leur fonctionnaires et que c'est une honte, ça me fait doucement marrer (le TGV Med' c'est pas pareil ? Ah ben non ici c'est la France, c'est pas pareil, c'est une démocratie alors on le fait pour le bien de nos concitoyens. Ok, c'est cool alors. hum hum). Mine de rien, deep et Jubilet, vous me donneriez bien là un sujet de maîtrise ! :Pixie :paysan: |
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