06-08-2004, 15:12
(Modification du message : 06-08-2004, 15:14 par Georges Profond.)
Conférence de presse :
Equipe en tête ?
(Sourire)
Bien sur que j’ai mon équipe dans ma tête. Elle est prête. Il y a encore un point ou deux sur lesquels on réfléchit mais j’ai travaillé toute la semaine. Leyti N’Diaye et Costa suspendus ne seront pas dans le groupe ainsi que Liza qui n’est pas prêt. Moi je parle avec mes joueurs, je sais lorsque ça va ou ça ne va pas. Lui il se connaît très bien, il sait qu’à Marseille il y a des connaisseurs dans les tribunes. On ne peut pas leur proposer un joueur qui est à 50% nous on à envie de le montrer sous son meilleur jour et lui aussi. Il y a une échéance retardée, mais avec Salomon Olembé on est parés.
L’OM encore favori ?
(Il perd le sourire)
Bien sûr, beaucoup de mes confrères ont le souci d’évacuer leur pression personnelle et la balancent sur l’OM. C’est le vide ordure du championnat l’OM. Aujourd’hui chacun doit revenir à des choses plus réalistes et le championnat se jouera à cinq. LOM n'est pas le seul favori, même si on joue le titre et même si on joue une place en Champions League, ce que nous assumons volontiers. Mais je crois que les autres devraient assumer un peu leur part. C’est à dire : Paris joue le Titre, Lyon joue le titre. Lens jouera une place en Champions League, Monaco jouera le titre aussi, c’est un championnat ouvert.
Une pression particulière ?
Ca commence un peu à monter mais cette sensation, on en a parlé dans le vestiaire, elle nous fait du bien et du mal à la fois c’est l’approche de la compétition. Vous avez l’envie de jouer et dans un même temps vous avez cet espèce de n½ud, cette adrénaline qui monte qui vous fait… on vit pour ça. Moi je vis pour des moments comme ça, ça me plait. Le jour où je ne l’aurai plus je ferai avec mais je ne m’en plains pas. Je disais à Pape, prépare toi à ça parce que tu vas le découvrir.
Tu voudrais en être ou ?
Pas à la fin. J’aimerais être au départ et voir ce qui va se passer. Je ne veux pas le savoir déjà, j’ai envie de le vivre. Je crois que les choses vont se passer comme elles doivent se passer. Chaque moment est un moment qui doit être vécu. Après 21 jours de stage plus la reprise, on a vraiment envie que ça commence maintenant.
Tu as rêvé de cette équipe ?
Je n’ai pas à me plaindre. j’ai obtenu tout ce que je voulais au niveau joueur. Bien entendu j’aurais préféré obtenir tout ça et garder Didier, mais c’était pas possible donc on a fait ce qu’il fallait pour être au mieux possible avec l’absence de Didier. On n’a pas à se plaindre parce que Peguy Luyindula, à mon avis, aura le potentiel pour au moins être le pendant de Didier cette saison.
Bordal, bordel ?
On connaît Bordeaux, comme Pavon nous connaît aussi. On n’invente rien. Il y a des images, elles parlent. Le problème pour nous c’est de trouver la faille de Bordeaux. Michel Pavon pense certainement trouver la faille chez nous et après les éléments, ce sont les joueurs qui les donnent. Si vous avez en face un Peguy Luyindula intenable ou un Bamogo en état de grâce, ils plient le match et c'est pareil de l’autre côté.
On connaît tous les deux nos systèmes, il connaît le mien, je connais le sien, je sais comment il fonctionne. Je m’attends à jouer sur une moitié de terrain, parce que c’est comme ça que ça va se passer. Je ne le vois pas venir me presser et les contres seront parfois dangereux pour nous. Il faut s‘adapter.
Façon de faire ?
Il faudra être attentif. Il y a deux façons de jouer, la première journée…
La première façon c’est une équipe qui subit et la deuxième, c’est celle qui a envie d’être le patron dans un match et moi j’ai vraiment envie qu’on soit les patrons du match. Je crois que c’est dans les caractéristiques du club et on a le potentiel joueur pour pouvoir le faire. On doit se comporter comme des patrons, ne pas subir et avoir la volonté d’emballer le match, de le maîtriser… Après, arrivera ce qui arrivera mais au moins on aura tout fait tout ce qu’on avait prévu.
On aura la manière. Cette équipe plus elle va jouer, meilleure elle sera. Elle a un gros potentiel technique, de la vitesse, elle est différente par rapport à l’an dernier. On construisait tout notre schéma autour de Didier. Elle proposera plus de jeu avec une qualité de passes, certainement meilleure. L’objectif et la priorité pour nous resteront de perdre un minimum de point à Marseille tout au long de l’année. Si on veut être champions il faut gagner le plus possible à la maison. Je crois que dehors on sera armés parce qu’on sera solides. Mais à la maison, comme il faut souvent aller chercher le résultat et que vous vous découvrez, vous vous exposez à des choses un peu bizarres. C’est plus facile d’aller prendre des points à l’extérieur si vous avez une équipe qui est très costaud derrière.
Le Groupe
Barthez Gavanon, Ferreira, Beye, Meïté Dehu, Olembe, Ribault, S.N’Diaye, Hemdani, Pédretti, Battles, Marlet, Bamogo, Cheyrou, Koke, Luyindula
Equipe en tête ?
(Sourire)
Bien sur que j’ai mon équipe dans ma tête. Elle est prête. Il y a encore un point ou deux sur lesquels on réfléchit mais j’ai travaillé toute la semaine. Leyti N’Diaye et Costa suspendus ne seront pas dans le groupe ainsi que Liza qui n’est pas prêt. Moi je parle avec mes joueurs, je sais lorsque ça va ou ça ne va pas. Lui il se connaît très bien, il sait qu’à Marseille il y a des connaisseurs dans les tribunes. On ne peut pas leur proposer un joueur qui est à 50% nous on à envie de le montrer sous son meilleur jour et lui aussi. Il y a une échéance retardée, mais avec Salomon Olembé on est parés.
L’OM encore favori ?
(Il perd le sourire)
Bien sûr, beaucoup de mes confrères ont le souci d’évacuer leur pression personnelle et la balancent sur l’OM. C’est le vide ordure du championnat l’OM. Aujourd’hui chacun doit revenir à des choses plus réalistes et le championnat se jouera à cinq. LOM n'est pas le seul favori, même si on joue le titre et même si on joue une place en Champions League, ce que nous assumons volontiers. Mais je crois que les autres devraient assumer un peu leur part. C’est à dire : Paris joue le Titre, Lyon joue le titre. Lens jouera une place en Champions League, Monaco jouera le titre aussi, c’est un championnat ouvert.
Une pression particulière ?
Ca commence un peu à monter mais cette sensation, on en a parlé dans le vestiaire, elle nous fait du bien et du mal à la fois c’est l’approche de la compétition. Vous avez l’envie de jouer et dans un même temps vous avez cet espèce de n½ud, cette adrénaline qui monte qui vous fait… on vit pour ça. Moi je vis pour des moments comme ça, ça me plait. Le jour où je ne l’aurai plus je ferai avec mais je ne m’en plains pas. Je disais à Pape, prépare toi à ça parce que tu vas le découvrir.
Tu voudrais en être ou ?
Pas à la fin. J’aimerais être au départ et voir ce qui va se passer. Je ne veux pas le savoir déjà, j’ai envie de le vivre. Je crois que les choses vont se passer comme elles doivent se passer. Chaque moment est un moment qui doit être vécu. Après 21 jours de stage plus la reprise, on a vraiment envie que ça commence maintenant.
Tu as rêvé de cette équipe ?
Je n’ai pas à me plaindre. j’ai obtenu tout ce que je voulais au niveau joueur. Bien entendu j’aurais préféré obtenir tout ça et garder Didier, mais c’était pas possible donc on a fait ce qu’il fallait pour être au mieux possible avec l’absence de Didier. On n’a pas à se plaindre parce que Peguy Luyindula, à mon avis, aura le potentiel pour au moins être le pendant de Didier cette saison.
Bordal, bordel ?
On connaît Bordeaux, comme Pavon nous connaît aussi. On n’invente rien. Il y a des images, elles parlent. Le problème pour nous c’est de trouver la faille de Bordeaux. Michel Pavon pense certainement trouver la faille chez nous et après les éléments, ce sont les joueurs qui les donnent. Si vous avez en face un Peguy Luyindula intenable ou un Bamogo en état de grâce, ils plient le match et c'est pareil de l’autre côté.
On connaît tous les deux nos systèmes, il connaît le mien, je connais le sien, je sais comment il fonctionne. Je m’attends à jouer sur une moitié de terrain, parce que c’est comme ça que ça va se passer. Je ne le vois pas venir me presser et les contres seront parfois dangereux pour nous. Il faut s‘adapter.
Façon de faire ?
Il faudra être attentif. Il y a deux façons de jouer, la première journée…
La première façon c’est une équipe qui subit et la deuxième, c’est celle qui a envie d’être le patron dans un match et moi j’ai vraiment envie qu’on soit les patrons du match. Je crois que c’est dans les caractéristiques du club et on a le potentiel joueur pour pouvoir le faire. On doit se comporter comme des patrons, ne pas subir et avoir la volonté d’emballer le match, de le maîtriser… Après, arrivera ce qui arrivera mais au moins on aura tout fait tout ce qu’on avait prévu.
On aura la manière. Cette équipe plus elle va jouer, meilleure elle sera. Elle a un gros potentiel technique, de la vitesse, elle est différente par rapport à l’an dernier. On construisait tout notre schéma autour de Didier. Elle proposera plus de jeu avec une qualité de passes, certainement meilleure. L’objectif et la priorité pour nous resteront de perdre un minimum de point à Marseille tout au long de l’année. Si on veut être champions il faut gagner le plus possible à la maison. Je crois que dehors on sera armés parce qu’on sera solides. Mais à la maison, comme il faut souvent aller chercher le résultat et que vous vous découvrez, vous vous exposez à des choses un peu bizarres. C’est plus facile d’aller prendre des points à l’extérieur si vous avez une équipe qui est très costaud derrière.
Le Groupe
Barthez Gavanon, Ferreira, Beye, Meïté Dehu, Olembe, Ribault, S.N’Diaye, Hemdani, Pédretti, Battles, Marlet, Bamogo, Cheyrou, Koke, Luyindula
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