27-07-2004, 21:41
Je crois pas que cela est été publié :mf_doctor
27-07-2004, 21:41
Je crois pas que cela est été publié :mf_doctor
27-07-2004, 21:46
Pas si sûr, j'ai pas souvenir d'avoir vu la trace d'une quelconque oeuvre.
Starfuckers
Some men need some killer weed, some men need cocaine ... My God sits in the back of the limousine. It's better to burn out than to fade away You, Sarkozy and the Devil Makes 3.
10-10-2004, 20:36
ça y est, c'est en publication sur l'oeuf... le moins que l'on puisse dire est qu'on est heureux de ne pas avoir participé... :mf_bluesb
10-10-2004, 20:43
Tu m'etonnes :hum:
10-10-2004, 20:47
Dav_ a écrit :Tu m'etonnes :hum:le téléth'OM, pas vraiment l'esprit d'ici...
10-10-2004, 21:09
Voici mon "oeuvre" puisque j'ai perdu...
Elle est là, toujours là, quand j'ai besoin d'elle. Ma vie est calquée sur la sienne. Mon amour est éternel, malgré mes nombreuses peines. Mon coeur vibre sans cesse, on peut même dire qu'il palpite. Et quand du regard je la caresse, c'est tout mon corps qui s'agite. Oh, elle m'en aura donné du bonheur, du vrai du pur, un coktail un bouquet de fleurs, et ceci sans fioritures. Non, jamais oh grand jamais elle ne me décevra. Ses infidélités n'y changerons rien, car je l'ai en moi. Non, elle craint dégun, et grande est sa foi. Comment pourrais-je vivre sans elle ? C'est impossible, c'est comme ma ville, c'est comme Marseille. Elle est là, près de moi. Je pourrais la toucher si je tendais le bras. Mais l'effleurer ne ferait qu'attiser les foudres des autres prétendants. Et son vieillissement ne fait qu'accroître ses courtisans. La concurrence est rude, cela n'est franchement pas anodin. Et son embellissement n'y est certainement pas pour rien. Mais peu importe ses futures actions, l'infidélité n'est même pas pensable, car elle sera remplacée par le pardon, mon amour étant à vie immuable. Jamais notre passion ne sera qualifiée d'idylle, malgré quelques incompréhensions réciproques, nous ne sommes pas séniles, il faut vivre avec son époque ! Elle est là, à la beautée formelle. L'effleurer est une hérésie, y penser est criminel, son pouvoir semble infini. Son sex appeal n'a pas de limite, tout le monde tombe sous son charme. Ses déplacements sont une voie bénite, les locaux devant-elle se pâment. Si elle n'existait pas, on l'aurait inventée. Si elle n'était pas là, je n'aurais qu'à prier. Bonne mère, bénis soient les dieux. Peu chère, grâce à elle nous sommes tous pieux. Sa légende n'est pas palpable, elle est pourtant réelle. De tout elle est capable, mais point d'excès de zèle. Allez vous en manants, elle n'est en rien soumise. Allez vous en perdants, sa victoire est de mise. Elle est là, à jamais. Nous ferons tout pour son bonheur, et elle le sait. De rien elle n'a peur, droit au but est son credo. Certains pensent se l'accaparer, mais ce ne sont que des faux dévots. Elle n'aime pas la pitié, seule la passion l'anime. Rien ne l'arrêtera, même en état de cacochyme. On remarque certaines pseudo concurrentes, fièrent de leur attirail, mais ce ne sont que des étoiles filantes, dotées d'un léger bail. La notre, celle qui nous a enchanté, celle qui nous a emporté, est immortelle. Elle certaine, à moins d'un cauchemar éveillé, qu'elle ne goûtera pas aux chrysanthèmes. Elle est là, dans son antre majestueux. Toujours bondé, plein à craquer, nous venons pour ses beaux yeux, car il n'est pas question d'abjurer. Ses lignes courbes fascinent, ses formes sont pulpeuses. Chaque semaine ils trépignent, avec leurs mains baladeuses. Entrer chez elle est sacré, mieux vaut avoir un ticket, afin de mieux chavirer, et de ne pas être excommunié. L'importuner n'est pas notre but, seul son environnement compte. Et peu importe sa chute, jamais nous n'en aurons honte. Sa présence nous suffit, nous enchante. Son esprit nous nourrit, il nous hante. Son bonheur se partage, son malheur est le notre. Elle réunit et partage, nous ne sommes que ses apôtres. Je suis las, quelques fois, de nos rapports si laconiques. Je remarque, malgré moi, notre amour en sens unique. Pourquoi ne me rend t-elle pas, ne serait-ce qu'au dixième, tout mon amour et ma joie, prouvés par ce poème ? Que lui faut-il, que dois-je faire ? Que m'arrive t-il, hein bonne mère ? Je me pose des questions, trop peut-être. Me manque t-il la raison ? Ho mon maître ! Donne moi un signe, un indice, un repère ! Ho mon dieu ! Pouvez-vous m'indiquer ce que je dois faire, vous qui êtes aux cieux ? Le mal est présent, il m'envahit, il me traverse de toute part. Il est toujours là, il s'amplifie, on dirait presque un vivipare. Je suis las, quelques fois, de ce mal qui me ronge. Inch'Allah, mais peut-être est-ce un songe ? Non c'est impossible, la douleur est trop forte. Serait-ce si risible, qu'un jour elle m'emporte ? D'autres ont déjà sombré, moi je tiendrais coûte que coûte. Certains ont cru rester, mais leur union s'est dissoute. Je dois tenir, devenir plus fort. Je ne veux partir, ni à bâbord ni à tribord. Je m'agripperais jusqu'à en saigner, car ma vie est entre ses mains. Tant que je ne lui fait pas pitier, alors je n'ai plus peur de rien. Tous mes soucis seront envolés, toutes mes questions sans importance. La paix aura dès lors éclatée, je serais dorénavant sa pitance. Le rythme s'accélère, mon sang bouillonne, mon coeur explose. J'y vois très clair, dieu me pardonne, cette fois-ci j'ose ! Je me prépare la confiance retrouvée, je suis prêt, je le sais, elle le sait ! Tout se passera bien, l'échec semble impossible. Ne pas jouer au plus malin, l'échec serait terrible. Non, je suis sûr de moi, rien ne pourra m'arrêter. Oui, elle ne partira pas, car je dois l'embrasser. Plus vite nous nous rencontrerons, moins vite mon coeur battra. Jamais nous nous tromperons, car nous avons fait le bon choix. Elle est là, elle m'attend assurément. Où est-ce moi, qui rêvasse éperdument ? Le rendez-vous approche, sa présence envahit les lieux. Elle ne m'a pas dans sa poche, à moins qu'elle ne me rende heureux. Où peut-elle être, où se cache t-elle ? Peut-elle se permettre, de ne pas se faire belle ? Impossible, tout doit être parfait, calculé, au millimètre. Je vacille, je ne puis entrer ! Je m'en vais paître... Je ne peux abandonner, ce n'est pas mon genre. Je dois m'activer, et admirer son antre. Tant de peine et d'effort, et pour être mis au ban ? Peut-être qu'elle s'endort ? Et j'ai les bras ballants ! Je n'suis pas un héros. Mes faux pas me collent à la peau. Je n'suis pas un héros. Faut pas croire ce que disent les journaux. Et enfin elle est là ! Je la vois, majestueuse. Oui, elle est là, pour moi, et elle est heureuse. Mais je ne suis pas seul, d'autres sont aussi là ! Voilà je suis en deuil, et en fait, je suis las... Mon coeur balance. Ai-je bien fait de lui accorder ma confiance ? Ayez patience, ce sont les mots de ma délivrance. Que dois-je faire alors ? Attendre ou agir ? Mon amour sera t-il assez fort ? Trop jeune pour mourir. La douleur est insupportable, mélange de mal et de bien. Mon amour est palpable, je ne suis qu'un humain. Je m'approche, je ne suis qu'à un doigt. Elle m'accroche, et soudain je meurs dans la joie. L'OM ! Je t'aime !
10-10-2004, 21:30
Râpeur, on sent le cri du choeur... :hum:
10-10-2004, 21:37
boeuf mode a écrit :ça y est, c'est en publication sur l'oeuf... le moins que l'on puisse dire est qu'on est heureux de ne pas avoir participé... :mf_bluesb C'est triste à mourir ...manque plus que la p'tite fille pied nus dans la neige allant chercher de l'eau au puit...[url=javascript:emoticon(':cray:')][/url]
10-10-2004, 21:55
boeuf mode a écrit :Râpeur, on sent le cri du choeur... :hum:C'est pas si facile de faire autant de rimes (pourquoi rapeur, et pas poète ).
10-10-2004, 22:55
Je viens de zieutez l'off ...
C'est assez traître de dire ça puisque je n'ai rien branlé pour ce concours, mais les deux textes actuellements sur l'oeuf sont consternants.
11-10-2004, 05:54
Nil Sanyas a écrit :C'est pas si facile de faire autant de rimes (pourquoi rapeur, et pas poète ). attend , ce sera p'têt toi le troisième texte ! champagne ?
11-10-2004, 09:32
Vu les deux autres, je serais sûr de gagner non ? (puis ils m'ont rien envoyé ).
11-10-2004, 09:46
Il fut un temps ou un cabot racontait des histoires...
C'était bien
11-10-2004, 09:51
Ernesto a écrit :Il fut un temps ou un cabot racontait des histoires...lequel ?
De la 16 !
Edit: c'est grace à lui que je suis arriver sur opiOM. http://www.opiom.net/forums/showpost.php...ostcount=1 Poster par pixie mais c'est bien Cabot!:paysan:
11-10-2004, 13:02
11-10-2004, 13:07
Tonton à une plume ? oui mais ou ça ?
11-10-2004, 13:08
zorg a écrit :De la 16 ! Hé oui z'avez qu'à lancer une pétition pour qu'il revienne
11-10-2004, 13:12
Pixie a écrit :Tonton à une plume ? oui mais ou ça ?doit-il gémir en ce moment :Pixie
11-10-2004, 13:40
Pixie a écrit :Hé oui z'avez qu'à lancer une pétition pour qu'il revienne Bonne idée, mais à qui l'adresser ? |