Petit conseil pratique : Ce topic est à parcourir un verre dalcool à la main et une boîte de prosac dans lautre, lalcool et les médicaments faisant généralement mauvais ménage, vous ne parviendrez sûrement pas, par chance, jusquà la fin de ce topic aussi inutile quennuyeux
A lheure du bilan hivernal sur la première moitié de notre championnat, les fourmis lyonnaises et monégasques ont grappillé les points dun dur labeur quand leurs homologues, cigales de Provence, les dilapidaient sans compter. Mais trêve de balivernes, il est grand temps de se remémorer les faits et moments marquants dun début de saison bien terne.
Août : On se voyait déjà en haut de laffiche
Auréolé dun recrutement judicieux en terme de qualité-quantité et à la fois bon marché, malgré quelques vices de formes sur certains nouveaux venus tel un Christ soignant les escarres liés à un séjour prolongé sur le banc catalan, larmada olympienne fait fière allure sur la ligne de départ de la L1, enfilant au passage lun des 3 maillots de favoris du championnat. Les deux autres étant naturellement dévolu aux bataillons dhyménoptères cités auparavant. Lhistoire débute par un déplacement victorieux et méritoire sur la plus courte des marges 1-0 au pays des bigoudènes guingampaises. Il sen suit la victoire des A (Auxerre et Austria) là aussi sur des scores similaires au précédent, puis survint la petite anicroche à Lens (2-1) malgré une grosse 1ère mi-temps, pas de quoi néanmoins atteindre le moral des troupes qui continueront leur bonhomme de chemin face à Sochaux (2-0) puis Vienne(0-0) pour une qualification laborieuse sur le retour, et pour terminer ce mois riche en points, un bon résultat obtenu à Ajaccio (1-0) avec « léclosion » en prime de Camel Meriem.
Septembre : le LDC nous réinvite à sa table.
Le tirage de la plus belle vitrine européenne qui soit, nous offre comme retour un groupe de la mort composé du grand Real, des vainqueurs de lUEFA Porto, et des plus modestes Partizan de Belgrade. Ce mois de Septembre commence par une dégustation sans retenue de rillette mancelle (5-0) avant daller se mesurer aux galacticos dans lantre de Bernabeu. Et là douche froide, 4 buts encaissés pour seulement 2 marqués par un attaquant à la cote déjà divoire Didier Drogba, une grosse désillusion qui marquera sans le savoir à cet instant le mental des joueurs marseillais. Dans lobligation deffacer rapidement cette gifle, lOM oublie totalement quun match démarre dès les premières minutes et perd à La Beaujoire (1-0). Ne pouvant pas terminer sur une mauvaise note ce mois ingrat, les joueurs se ressaisissent en croquetant sans grands talents laiglon niçois (2-1).
Octobre : des succès et des travers.
Le parfum de lEurope revient dans les chaumières dun Vélodrome paré de ses plus beaux artifices, les Partizans sous la houlette allemande de Matthaüs sinclineront sur un score sévère de 3-0 aidé en cela par une expulsion généreusement offerte par des visiteurs entreprenants. Vint ensuite Bastia toujours au Vel et au même tarif avant la réception capitale dans loptique de la qualification pour les 8ème de finale de la LDC du FC Porto. Un Porto laissant un goût amer de 2-3 qui ébranle un peu plus lédifice marseillais qui avait déjà essuyer 5 jours plus tôt les foudres de la Meinau (4-1). Le match suivant redora un peu le blason terni marseillais avec un succès 2-0 sur un Rennes stérile puis on pourra également citer pour lanecdote la victoire (2-0) face à léquipe B de lASM dans une rencontre en carton de la légendaire coupe à Le Graët. Autre fait marquant de cette période mi-figue mi-raisin, la blessure de Cédric Carasso lors dOM-France 98, secondaire me direz-vous, certainement moins lorsque lon sait que la non-venue de Barthez en remplacement de Carasso, puis finalement dun Runje peu en verve, conditionna la suite de la saison olympienne. Ce qui occasionne là, une autre cassure dont les conséquences furent mal perçues à cette époque de la saison.
Novembre : mois parisien à la sauce provençale.
Rythme effreiné et gros calibres au menu, mois décisif mais surtout pain noir pour lOM. Le cauchemar commence par la défaite annuelle programmée en terre girondine (1-0), scénario lancinant qui nen finit pas de se répéter. Un malheur narrivant jamais seul, lOM voit ses rêves dEurope senvoler à Porto (1-0) tandis que dans le même temps, Lyon et Monaco parviennent à dompter avec maestria les grands dEurope que sont le Bayern Munich à lOlympiastadion sil vous plaît et La Corogne sur un score de handball. Plus à une cassure près, la cinquième défaite de la saison face aux gones se profilent dans un climat pesant aux banderoles sans complaisances « supporters omniprésents, joueurs désespérants, turn-over game over ! ». Dans ce climat délétère, le résultat est sans appel (1-4), il nen faut pas plus à une frange de supporters pour demander la tête de Perrin oubliant jusquau pacte de stabilité entérinée avec son arrivée en 2002. Une mini trêve arrive ensuite à point nommé, lheure est alors à la décompression avant un dur déplacement en terre nordique. Mais la défaite à Lille naura pas lieu et cest ainsi que lOM sort la tête des eaux (2-0) préalablement à la réception du Real et des joueurs de la capitale. Avant dernière journée de ligue des champions face aux stars Madrilènes, lexploit tourne aussi court que le récit de cet évènement (défaite 2-1) mais la formation marseillaise retrouve peu à peu ses vertues du début de saison. Pour clôturer ce mois de novembre, lennemi juré vient de manière insolente nous voler les trois points de la vengeance (0-1) dans les ultimes minutes. Les Perrin démission sont alors légion
Décembre : vivement la trêve.
Quà cela ne tienne, le sursaut dorgueil est attendu face aux joueurs du Rocher mais, de désillusions en désillusions, lOM après avoir pourtant ouvert le score, perd le fil du match et sincline (1-2) dans un climat salourdissant de plus en plus. Alors que les heures du coach marseillais sont comptées, le match pour lobtention du ticket UEFA vient sauver la tête de lancien troyen grâce à un nul (1-1) où léquipe a montré quelques signes encourageants face à un Partizan néanmoins limité. Cette rencontre va également faire ressortir les stigmates de la blessure chez notre Christ mais surtout marquer la rupture définitive avec un Runje sorti de léquipe au profit dun Gavanon opportuniste. Malgré un moral quelque peu regonflé, la prudence est à lordre du jour, et comme un signe du destin, le navire olympien est sauvé bien tristement par les eaux héraultaises. Cette courte pause avant la visite chez Peugeot naura malheureusement pas eu deffets bénéfiques sur les joueurs, la cigale provençale succomba sous un rassemblement de lionceaux (1-0). Seconde élimination après celle en ligue des champions, un autre des lièvres courus en début de saison nous file entre les pattes. Et pour fermer les portes de ce triste début de saison, la réception dun TFC amputé par larbitre sachève sur prodigieux 1-0 qui restera dans la mémoire collective.
Pour conclure brièvement, espérons que les joueurs sauront recharger les accus, puis tourner la page dune première moitié de saison aussi funeste que décevante pour revenir plus fort en janvier et retrouver les sommets de la ligue 1. En cela le mercato dhiver devrait être décisif pour balayer définitivement les carences observées notamment en milieu de terrain, reste à nos dirigeants à bien distinguer le Belmadi du Zidane dans le troupeau de chèvres quon ne manquera pas dannoncer à lOM. Et même si pour certains dentre vous, il ne reste plus despoir, il reste beaucoup de futur.
A lheure du bilan hivernal sur la première moitié de notre championnat, les fourmis lyonnaises et monégasques ont grappillé les points dun dur labeur quand leurs homologues, cigales de Provence, les dilapidaient sans compter. Mais trêve de balivernes, il est grand temps de se remémorer les faits et moments marquants dun début de saison bien terne.
Août : On se voyait déjà en haut de laffiche
Auréolé dun recrutement judicieux en terme de qualité-quantité et à la fois bon marché, malgré quelques vices de formes sur certains nouveaux venus tel un Christ soignant les escarres liés à un séjour prolongé sur le banc catalan, larmada olympienne fait fière allure sur la ligne de départ de la L1, enfilant au passage lun des 3 maillots de favoris du championnat. Les deux autres étant naturellement dévolu aux bataillons dhyménoptères cités auparavant. Lhistoire débute par un déplacement victorieux et méritoire sur la plus courte des marges 1-0 au pays des bigoudènes guingampaises. Il sen suit la victoire des A (Auxerre et Austria) là aussi sur des scores similaires au précédent, puis survint la petite anicroche à Lens (2-1) malgré une grosse 1ère mi-temps, pas de quoi néanmoins atteindre le moral des troupes qui continueront leur bonhomme de chemin face à Sochaux (2-0) puis Vienne(0-0) pour une qualification laborieuse sur le retour, et pour terminer ce mois riche en points, un bon résultat obtenu à Ajaccio (1-0) avec « léclosion » en prime de Camel Meriem.
Septembre : le LDC nous réinvite à sa table.
Le tirage de la plus belle vitrine européenne qui soit, nous offre comme retour un groupe de la mort composé du grand Real, des vainqueurs de lUEFA Porto, et des plus modestes Partizan de Belgrade. Ce mois de Septembre commence par une dégustation sans retenue de rillette mancelle (5-0) avant daller se mesurer aux galacticos dans lantre de Bernabeu. Et là douche froide, 4 buts encaissés pour seulement 2 marqués par un attaquant à la cote déjà divoire Didier Drogba, une grosse désillusion qui marquera sans le savoir à cet instant le mental des joueurs marseillais. Dans lobligation deffacer rapidement cette gifle, lOM oublie totalement quun match démarre dès les premières minutes et perd à La Beaujoire (1-0). Ne pouvant pas terminer sur une mauvaise note ce mois ingrat, les joueurs se ressaisissent en croquetant sans grands talents laiglon niçois (2-1).
Octobre : des succès et des travers.
Le parfum de lEurope revient dans les chaumières dun Vélodrome paré de ses plus beaux artifices, les Partizans sous la houlette allemande de Matthaüs sinclineront sur un score sévère de 3-0 aidé en cela par une expulsion généreusement offerte par des visiteurs entreprenants. Vint ensuite Bastia toujours au Vel et au même tarif avant la réception capitale dans loptique de la qualification pour les 8ème de finale de la LDC du FC Porto. Un Porto laissant un goût amer de 2-3 qui ébranle un peu plus lédifice marseillais qui avait déjà essuyer 5 jours plus tôt les foudres de la Meinau (4-1). Le match suivant redora un peu le blason terni marseillais avec un succès 2-0 sur un Rennes stérile puis on pourra également citer pour lanecdote la victoire (2-0) face à léquipe B de lASM dans une rencontre en carton de la légendaire coupe à Le Graët. Autre fait marquant de cette période mi-figue mi-raisin, la blessure de Cédric Carasso lors dOM-France 98, secondaire me direz-vous, certainement moins lorsque lon sait que la non-venue de Barthez en remplacement de Carasso, puis finalement dun Runje peu en verve, conditionna la suite de la saison olympienne. Ce qui occasionne là, une autre cassure dont les conséquences furent mal perçues à cette époque de la saison.
Novembre : mois parisien à la sauce provençale.
Rythme effreiné et gros calibres au menu, mois décisif mais surtout pain noir pour lOM. Le cauchemar commence par la défaite annuelle programmée en terre girondine (1-0), scénario lancinant qui nen finit pas de se répéter. Un malheur narrivant jamais seul, lOM voit ses rêves dEurope senvoler à Porto (1-0) tandis que dans le même temps, Lyon et Monaco parviennent à dompter avec maestria les grands dEurope que sont le Bayern Munich à lOlympiastadion sil vous plaît et La Corogne sur un score de handball. Plus à une cassure près, la cinquième défaite de la saison face aux gones se profilent dans un climat pesant aux banderoles sans complaisances « supporters omniprésents, joueurs désespérants, turn-over game over ! ». Dans ce climat délétère, le résultat est sans appel (1-4), il nen faut pas plus à une frange de supporters pour demander la tête de Perrin oubliant jusquau pacte de stabilité entérinée avec son arrivée en 2002. Une mini trêve arrive ensuite à point nommé, lheure est alors à la décompression avant un dur déplacement en terre nordique. Mais la défaite à Lille naura pas lieu et cest ainsi que lOM sort la tête des eaux (2-0) préalablement à la réception du Real et des joueurs de la capitale. Avant dernière journée de ligue des champions face aux stars Madrilènes, lexploit tourne aussi court que le récit de cet évènement (défaite 2-1) mais la formation marseillaise retrouve peu à peu ses vertues du début de saison. Pour clôturer ce mois de novembre, lennemi juré vient de manière insolente nous voler les trois points de la vengeance (0-1) dans les ultimes minutes. Les Perrin démission sont alors légion
Décembre : vivement la trêve.
Quà cela ne tienne, le sursaut dorgueil est attendu face aux joueurs du Rocher mais, de désillusions en désillusions, lOM après avoir pourtant ouvert le score, perd le fil du match et sincline (1-2) dans un climat salourdissant de plus en plus. Alors que les heures du coach marseillais sont comptées, le match pour lobtention du ticket UEFA vient sauver la tête de lancien troyen grâce à un nul (1-1) où léquipe a montré quelques signes encourageants face à un Partizan néanmoins limité. Cette rencontre va également faire ressortir les stigmates de la blessure chez notre Christ mais surtout marquer la rupture définitive avec un Runje sorti de léquipe au profit dun Gavanon opportuniste. Malgré un moral quelque peu regonflé, la prudence est à lordre du jour, et comme un signe du destin, le navire olympien est sauvé bien tristement par les eaux héraultaises. Cette courte pause avant la visite chez Peugeot naura malheureusement pas eu deffets bénéfiques sur les joueurs, la cigale provençale succomba sous un rassemblement de lionceaux (1-0). Seconde élimination après celle en ligue des champions, un autre des lièvres courus en début de saison nous file entre les pattes. Et pour fermer les portes de ce triste début de saison, la réception dun TFC amputé par larbitre sachève sur prodigieux 1-0 qui restera dans la mémoire collective.
Pour conclure brièvement, espérons que les joueurs sauront recharger les accus, puis tourner la page dune première moitié de saison aussi funeste que décevante pour revenir plus fort en janvier et retrouver les sommets de la ligue 1. En cela le mercato dhiver devrait être décisif pour balayer définitivement les carences observées notamment en milieu de terrain, reste à nos dirigeants à bien distinguer le Belmadi du Zidane dans le troupeau de chèvres quon ne manquera pas dannoncer à lOM. Et même si pour certains dentre vous, il ne reste plus despoir, il reste beaucoup de futur.
Starfuckers
Some men need some killer weed, some men need cocaine ...
My God sits in the back of the limousine.
It's better to burn out than to fade away
You, Sarkozy and the Devil Makes 3.
Some men need some killer weed, some men need cocaine ...
My God sits in the back of the limousine.
It's better to burn out than to fade away
You, Sarkozy and the Devil Makes 3.