23-10-2003, 13:26
OM 2 - Porto 3 : Veni, vidi, vin cuit
Et de trois qui font sept... Et une défaite de plus dans la musette de coach Perrin, dont l'incapacité chronique à transcender un groupe qu'il a façonné à son image dès que le niveau s'élève va finir par se voir...
Ainsi donc l'annonce du (vrai-faux ?) transfert de Fabien Barthez quelques jours seulement avant ces deux matchs de la plus haute importance n'aurait en rien perturbé l'équilibre du groupe ni la préparation de son gardien titulaire... Clair, l'équipe alignée mercredi soir respirait la sérénité, et la détente exceptionnelle du Croate au sang chaud sur le deuxième but portugais démontre à quel point il n'a perdu ni sa confiance, ni son talent...
Ainsi donc Abdoulaye Meité serait VRAIMENT joueur professionnel ? Ainsi donc serait-il possible d'aligner sans rire l'inénarrable Johnny Ecker au poste de latéral gauche ? Ainsi donc, Sylvain N'Diaye, régulièrement élu parmi les deux ou trois meilleurs milieux défensifs de L1 ces dernières saisons, serait moins performant que ne l'est notre charismatique et ô combien emblématique capitaine ?
Ainsi donc l'Ohaime s'en retourne a casa la queue entre les jambes, récoltant une défaite au goût madère après avoir encaissé trois buts sur les trois occasions et demi de Portugais aussi talentueux que truqueurs... Un scénario estampillé OM 2003-2004, soit un savant cocktail de décoction dite "à la madrilène" (je marque le premier et je prends une veste derrière) mâtinée d'infusion dite "à la strasbourgeoise" (et hop, deux buts en cinq minutes)... Sacrée biture au demeurant, de l'acabit de celles que l'on voudrait s'enfiler devant le spectacle affligeant de la passivité résignée de certains joueurs, trop occupés à regarder jouer les Portugais et à admirer l'art Deco (do you hear me, Johnny ?)... Rien à redire donc, tant les faiblesses mentales, techniques, et tactiques affichées par les Olympiens ont éclaté au grand jour, facilitant le travail de Lusitaniens certes solides, expérimentés et réalistes, mais qui n'en demandaient sans doute pas tant... Seuil de compétence ou nouvel accident de parcours, l'avenir nous le dira mais les belles promesses estivales s'étiolent doucement et les points perdus ne se rattrapent pas...
Allez, il y a aura des jours meilleurs... Et dès samedi, pour oublier la gifle portugaise, il serait bienvenu que les Rennais s'en retournent en Bretagne avec dans leurs valises, un carton...
Et de trois qui font sept... Et une défaite de plus dans la musette de coach Perrin, dont l'incapacité chronique à transcender un groupe qu'il a façonné à son image dès que le niveau s'élève va finir par se voir...
Ainsi donc l'annonce du (vrai-faux ?) transfert de Fabien Barthez quelques jours seulement avant ces deux matchs de la plus haute importance n'aurait en rien perturbé l'équilibre du groupe ni la préparation de son gardien titulaire... Clair, l'équipe alignée mercredi soir respirait la sérénité, et la détente exceptionnelle du Croate au sang chaud sur le deuxième but portugais démontre à quel point il n'a perdu ni sa confiance, ni son talent...
Ainsi donc Abdoulaye Meité serait VRAIMENT joueur professionnel ? Ainsi donc serait-il possible d'aligner sans rire l'inénarrable Johnny Ecker au poste de latéral gauche ? Ainsi donc, Sylvain N'Diaye, régulièrement élu parmi les deux ou trois meilleurs milieux défensifs de L1 ces dernières saisons, serait moins performant que ne l'est notre charismatique et ô combien emblématique capitaine ?
Ainsi donc l'Ohaime s'en retourne a casa la queue entre les jambes, récoltant une défaite au goût madère après avoir encaissé trois buts sur les trois occasions et demi de Portugais aussi talentueux que truqueurs... Un scénario estampillé OM 2003-2004, soit un savant cocktail de décoction dite "à la madrilène" (je marque le premier et je prends une veste derrière) mâtinée d'infusion dite "à la strasbourgeoise" (et hop, deux buts en cinq minutes)... Sacrée biture au demeurant, de l'acabit de celles que l'on voudrait s'enfiler devant le spectacle affligeant de la passivité résignée de certains joueurs, trop occupés à regarder jouer les Portugais et à admirer l'art Deco (do you hear me, Johnny ?)... Rien à redire donc, tant les faiblesses mentales, techniques, et tactiques affichées par les Olympiens ont éclaté au grand jour, facilitant le travail de Lusitaniens certes solides, expérimentés et réalistes, mais qui n'en demandaient sans doute pas tant... Seuil de compétence ou nouvel accident de parcours, l'avenir nous le dira mais les belles promesses estivales s'étiolent doucement et les points perdus ne se rattrapent pas...
Allez, il y a aura des jours meilleurs... Et dès samedi, pour oublier la gifle portugaise, il serait bienvenu que les Rennais s'en retournent en Bretagne avec dans leurs valises, un carton...