20-12-2003, 12:07
Toujours Michel Henry, décidément en pleine bourre :allvert:
Grâce aux déclarations des anciens Olympiens Tony Cascarino et Chris Waddle dans la presse britannique (lire Libération de vendredi), on croit savoir pourquoi l'OM carburait autant au bon temps de Bernard Tapie : les Olympiens recevaient de bonnes piqûres (Tapie conteste vigoureusement). Depuis, on a perdu la recette. Mais le médecin de l'époque a gentiment donné la clé au journal la Provence : rien d'illégal. Ouf. Des vitamines, des «fortifiants autorisés», ou des «piqûres avec de l'eau», pour faire croire aux joueurs qu'on leur injectait un truc, tout en ne leur injectant rien, voyez la finesse. Le foot, c'est avant tout de la psychologie.
Les shoots à l'eau, voilà ce qui manque à Perrin, actuellement dans la seringue. La trêve arrive à point nommé. Deux semaines de piquouzes à la flotte pour tout le monde, et en janvier, l'OM pétera le feu. Sinon, Alain Perrin a promis soit de sourire, soit de manger sa collec' de cahiers Clairefontaine (il en a un paquet, et de grandes tailles), soit de prononcer dix fois le nom du prochain adversaire en coupe UEFA, Dnipropetrovsk, tout en épelant celui des joueurs (Poklonskyy, Yezerskyy, Maksymyuk, Valyayev, Komarnitskiy, Venhlinskyy, etc.). L'avantage ? Simple : pendant que les Marseillais seront à l'intraveineuse magique, les Ukrainiens, eux, ne fichent rien. Leur championnat est arrêté jusqu'en mars. Les 26 février et 3 mars, ils rentreront à peine de vacances pour se taper l'OM, une chance. Mieux ! Là-bas, ils ne peuvent pas se faire de piqûre à l'eau : ça gèle dans les tuyaux.
Grâce aux déclarations des anciens Olympiens Tony Cascarino et Chris Waddle dans la presse britannique (lire Libération de vendredi), on croit savoir pourquoi l'OM carburait autant au bon temps de Bernard Tapie : les Olympiens recevaient de bonnes piqûres (Tapie conteste vigoureusement). Depuis, on a perdu la recette. Mais le médecin de l'époque a gentiment donné la clé au journal la Provence : rien d'illégal. Ouf. Des vitamines, des «fortifiants autorisés», ou des «piqûres avec de l'eau», pour faire croire aux joueurs qu'on leur injectait un truc, tout en ne leur injectant rien, voyez la finesse. Le foot, c'est avant tout de la psychologie.
Les shoots à l'eau, voilà ce qui manque à Perrin, actuellement dans la seringue. La trêve arrive à point nommé. Deux semaines de piquouzes à la flotte pour tout le monde, et en janvier, l'OM pétera le feu. Sinon, Alain Perrin a promis soit de sourire, soit de manger sa collec' de cahiers Clairefontaine (il en a un paquet, et de grandes tailles), soit de prononcer dix fois le nom du prochain adversaire en coupe UEFA, Dnipropetrovsk, tout en épelant celui des joueurs (Poklonskyy, Yezerskyy, Maksymyuk, Valyayev, Komarnitskiy, Venhlinskyy, etc.). L'avantage ? Simple : pendant que les Marseillais seront à l'intraveineuse magique, les Ukrainiens, eux, ne fichent rien. Leur championnat est arrêté jusqu'en mars. Les 26 février et 3 mars, ils rentreront à peine de vacances pour se taper l'OM, une chance. Mieux ! Là-bas, ils ne peuvent pas se faire de piqûre à l'eau : ça gèle dans les tuyaux.