04-03-2024, 00:21
On dit souvent que resservir le couvert avec une ex n'est pas une bonne idée.
Mais moi, je connais un OM qui lui remettrait bien un coup.
Marcelino. Le studieux prof de gym, qui même en costard De Fursac a toujours eu l'air de porter un survêtement Domyos.
Ou alors le costume en question était-il trop grand ?
Toujours est-il qu'il est parti en courant, le Petit Débardeur.
Sans même mot dire aux hommes qu'il avait choisis.
Du premier mot de travers des virages, l'Ibère a pris ombrage.
Alors qu'il n'était pas présent d'une virgule, lors du fameux apostrophage.
Le ténébreux tacticien au 4-2-4 revient à Marseille, avec son schéma périmé comme mon dernier Babybel,
celui avec l'image Panini de Joseph-Antoine Bell.
On n'avait plus vu ça depuis la chute du Samos 99 et du Six de Savoie.
Voire depuis la prise Péritel...
L'erreur de casting, l'ombre au Pablo...
Le natif des Asturies a pris ses jambonneaux à son cou, fuyant l'avarie qu'il a provoquée avec son ami Longoria.
Complicité et connivences. Ca sent Netflix.
Forcément, les retrouvailles rissolent. Elles sont bouillantes. Crépitantes, même. Sans éclaboussure malvenue, on l'espère.
On sent déjà poindre le malaise de Longoria, quand le speaker annoncera Marcelino au micro.
Après nous avoir pris pour des jambons en charcutant nos talents, Pablo espérera éviter les coups de fuet.
Pas une mince affaire. Avec un virage Nord fermé. Et les Winners juste en face...
Sur le papier, Marseille et Villareal sortent de la même semaine.
Un succès 5-1 contre un semi-mongolien du Championnat local comme l'est clairement Clermont.
Avec un triplé du Norvégien Sorloth, pressenti pour succéder à Vitinha cet été...
Marcelino a donc étrillé Grenade. Espérons qu'elle lui pète enfin à la gueule avec un triplé de Sarr.
Bref, il va falloir leur peler le jonc comme à Eric Bailly en limousine.
Bon sinon... Je me suis rendu chez Micromania avec mon fils.
Un détail important : l'afflux d'ados fait que ça y sent toujours l'acétone et le mouflon.
La fin d'un conseil municipal mal ventilé, en somme.
Je passe pour un vieux pet avec mon t-shirt SEGA. Et mon pins' des Houston Oilers. Bien mérité.
Le Marcelino du jeu vidéo. Avec deux manches.
Mais moi, je connais un OM qui lui remettrait bien un coup.
Marcelino. Le studieux prof de gym, qui même en costard De Fursac a toujours eu l'air de porter un survêtement Domyos.
Ou alors le costume en question était-il trop grand ?
Toujours est-il qu'il est parti en courant, le Petit Débardeur.
Sans même mot dire aux hommes qu'il avait choisis.
Du premier mot de travers des virages, l'Ibère a pris ombrage.
Alors qu'il n'était pas présent d'une virgule, lors du fameux apostrophage.
Le ténébreux tacticien au 4-2-4 revient à Marseille, avec son schéma périmé comme mon dernier Babybel,
celui avec l'image Panini de Joseph-Antoine Bell.
On n'avait plus vu ça depuis la chute du Samos 99 et du Six de Savoie.
Voire depuis la prise Péritel...
L'erreur de casting, l'ombre au Pablo...
Le natif des Asturies a pris ses jambonneaux à son cou, fuyant l'avarie qu'il a provoquée avec son ami Longoria.
Complicité et connivences. Ca sent Netflix.
Forcément, les retrouvailles rissolent. Elles sont bouillantes. Crépitantes, même. Sans éclaboussure malvenue, on l'espère.
On sent déjà poindre le malaise de Longoria, quand le speaker annoncera Marcelino au micro.
Après nous avoir pris pour des jambons en charcutant nos talents, Pablo espérera éviter les coups de fuet.
Pas une mince affaire. Avec un virage Nord fermé. Et les Winners juste en face...
Sur le papier, Marseille et Villareal sortent de la même semaine.
Un succès 5-1 contre un semi-mongolien du Championnat local comme l'est clairement Clermont.
Avec un triplé du Norvégien Sorloth, pressenti pour succéder à Vitinha cet été...
Marcelino a donc étrillé Grenade. Espérons qu'elle lui pète enfin à la gueule avec un triplé de Sarr.
Bref, il va falloir leur peler le jonc comme à Eric Bailly en limousine.
Bon sinon... Je me suis rendu chez Micromania avec mon fils.
Un détail important : l'afflux d'ados fait que ça y sent toujours l'acétone et le mouflon.
La fin d'un conseil municipal mal ventilé, en somme.
Je passe pour un vieux pet avec mon t-shirt SEGA. Et mon pins' des Houston Oilers. Bien mérité.
Le Marcelino du jeu vidéo. Avec deux manches.
Solide comme un wok !