La nuit était sombre et brumeuse, comme une scène coupée d'un film noir où le héros aurait oublié sa lampe torche. Bob, conducteur aguerri, luttait contre la fatigue, clignant des paupières plus souvent qu'un néon défaillant dans un parking souterrain. La route luisait sous la pluie, aussi glissante qu'un escroc en fuite, et son réservoir d'essence affichait une réserve aussi vide que le frigo d'un étudiant en fin de mois.
Mais soudain, tel un miracle dans un désert d'asphalte, une station-service apparut au loin. Plus délabrée qu’un décor de western spaghetti, elle semblait tout droit sortie d’un film d'horreur à petit budget. Pourtant, faute d’option, Bob y fit escale. Il coupa le moteur dans un soupir qui ressemblait étrangement à celui du Faucon Millenium après une hyperpropulsion ratée.
À peine eut-il mis un pied dehors qu'un employé surgit des ombres, avec la nonchalance d’un figurant de "The Walking Dead" en pause café. Son badge indiquait "Denis"… Denis la Malice ? Espérons qu'il ne porte pas trop bien son nom.
Pendant que Denis faisait le plein, il fronça les sourcils en scrutant l’arrière du bus. Il était si absorbé qu'il en versa de l’essence sur ses chaussures, mais ne sembla pas s’en émouvoir, comme si l’odeur du sans-plomb était son eau de Cologne. Il releva la tête brusquement et lâcha, grave :
- C’est l’équipe de l’OM que vous transportez, monsieur ?
Bob haussa un sourcil. Soit Denis était un supporter passionné, soit il venait de voir une apparition mystique entre deux pompes à essence.
- Peut-être bien, pourquoi ?
Denis le saisit par le bras, ses yeux soudain aussi perçants qu’un coach en pleine causerie de vestiaire.
- Ils sont tous présents ? Pas de blessés ?
Bob le regarda, incrédule. Un silence pesant s'installa, aussi long qu'une VAR en Ligue 1. Puis, l’illumination :
- Vous parlez de leur motivation sur le terrain ?
Denis hocha la tête avec un air d’enquêteur qui vient de percer un mystère. Il sortit son téléphone et modifia son scorecast en vitesse. Un sourire en coin, il murmura :
- Si tout le monde est là, alors la victoire est possible…
Quelques minutes plus tard, Bob remonta dans le bus. Dans le rétro, il aperçut Denis, toujours absorbé par son téléphone, rafraîchissant frénétiquement le classement de la Ligue 1. Un frisson lui parcourut l’échine. Et si l’OM, à l’instar de son réservoir, risquait aussi la panne sèche ?
D’un coup d’accélérateur, il reprit la route vers Angers. Là-bas, un autre match se jouait : celui de l’équipe contre celle luttant pour son maintien et qui reste sur 7 points sur 9 à domicile.
Denis, quant à lui, croisa les doigts. Il avait peut-être misé sur le bon cheval… ou sur une nouvelle "remontada" digne d'un film catastrophe au niveau du classement. Les marseillais ont une belle occasion de reprendre la marche en avant en se rendant à Angers que l'OM n'avait pas réussi à battre à l'aller en faisant juste un nul.
L’OM devait garder son avance, et comme dirait un certain Doc Brown : "Il ne faut pas ralentir, Marty !". Dimanche attention d’Angers … 2 défaites consécutives nous retournerait au mois d'avril dernier.
Pas de discussion possible, Bob et Denis l'ont dit : 3 points et pis c'est tout !!!!
Les compositions possibles :
XI de départ ANGERS : Fofana - Lefort, Bamba, Biumla, Hanin - Aholou, Belkebla - Allevinah, Abdelli, Fehrat - Lepaul
XI de départ OM : Rulli - Murillo, Balerdi, Cornelius - Henrique, Hojbjerg, Rongier, Merlin - Greenwood, Gouiri, Rabiot
Mais soudain, tel un miracle dans un désert d'asphalte, une station-service apparut au loin. Plus délabrée qu’un décor de western spaghetti, elle semblait tout droit sortie d’un film d'horreur à petit budget. Pourtant, faute d’option, Bob y fit escale. Il coupa le moteur dans un soupir qui ressemblait étrangement à celui du Faucon Millenium après une hyperpropulsion ratée.
À peine eut-il mis un pied dehors qu'un employé surgit des ombres, avec la nonchalance d’un figurant de "The Walking Dead" en pause café. Son badge indiquait "Denis"… Denis la Malice ? Espérons qu'il ne porte pas trop bien son nom.
Pendant que Denis faisait le plein, il fronça les sourcils en scrutant l’arrière du bus. Il était si absorbé qu'il en versa de l’essence sur ses chaussures, mais ne sembla pas s’en émouvoir, comme si l’odeur du sans-plomb était son eau de Cologne. Il releva la tête brusquement et lâcha, grave :
- C’est l’équipe de l’OM que vous transportez, monsieur ?
Bob haussa un sourcil. Soit Denis était un supporter passionné, soit il venait de voir une apparition mystique entre deux pompes à essence.
- Peut-être bien, pourquoi ?
Denis le saisit par le bras, ses yeux soudain aussi perçants qu’un coach en pleine causerie de vestiaire.
- Ils sont tous présents ? Pas de blessés ?
Bob le regarda, incrédule. Un silence pesant s'installa, aussi long qu'une VAR en Ligue 1. Puis, l’illumination :
- Vous parlez de leur motivation sur le terrain ?
Denis hocha la tête avec un air d’enquêteur qui vient de percer un mystère. Il sortit son téléphone et modifia son scorecast en vitesse. Un sourire en coin, il murmura :
- Si tout le monde est là, alors la victoire est possible…
Quelques minutes plus tard, Bob remonta dans le bus. Dans le rétro, il aperçut Denis, toujours absorbé par son téléphone, rafraîchissant frénétiquement le classement de la Ligue 1. Un frisson lui parcourut l’échine. Et si l’OM, à l’instar de son réservoir, risquait aussi la panne sèche ?
D’un coup d’accélérateur, il reprit la route vers Angers. Là-bas, un autre match se jouait : celui de l’équipe contre celle luttant pour son maintien et qui reste sur 7 points sur 9 à domicile.
Denis, quant à lui, croisa les doigts. Il avait peut-être misé sur le bon cheval… ou sur une nouvelle "remontada" digne d'un film catastrophe au niveau du classement. Les marseillais ont une belle occasion de reprendre la marche en avant en se rendant à Angers que l'OM n'avait pas réussi à battre à l'aller en faisant juste un nul.
L’OM devait garder son avance, et comme dirait un certain Doc Brown : "Il ne faut pas ralentir, Marty !". Dimanche attention d’Angers … 2 défaites consécutives nous retournerait au mois d'avril dernier.
Pas de discussion possible, Bob et Denis l'ont dit : 3 points et pis c'est tout !!!!
Les compositions possibles :
XI de départ ANGERS : Fofana - Lefort, Bamba, Biumla, Hanin - Aholou, Belkebla - Allevinah, Abdelli, Fehrat - Lepaul
XI de départ OM : Rulli - Murillo, Balerdi, Cornelius - Henrique, Hojbjerg, Rongier, Merlin - Greenwood, Gouiri, Rabiot
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