08-03-2025, 18:37
(Dans une loge privée du Vélodrome, une lueur tamisée éclaire deux fauteuils. Bernard Tapie, costume impeccable, et Gervais Martel, chemise ouverte et veste sur les épaules, trinquent en regardant la pelouse où les joueurs s’échauffent.)
Tapie (souriant, regard perçant) : Ah, Gervais… Tu te rends compte ? On est encore là, comme si on ne pouvait pas lâcher ce foutu ballon. L’OM et Lens, ça ne nous quitte jamais…
Martel (amusé, regardant la pelouse) : Bernard, qu’est-ce que tu veux, quand t’as le foot dans le sang, c’est pour la vie. Regarde-moi cette ambiance, regarde ces maillots… Ça me rappelle nos grandes années.
Tapie (ravi) : Ouais, mais tu sais ce qui me chiffonne ? J’ai l’impression qu’on n’est plus dans le même monde… Le foot d’aujourd’hui, c’est plus du business que du sport.
Martel (hoche la tête) : C’est clair. Nous, on signait des joueurs avec le cœur, avec l’instinct. Maintenant, ça parle d’algorithmes, de trading de joueurs, de datas… Où est passée la folie, où est passée la passion ?
Tapie (haussant le ton) : La passion, c’est ça qui fait gagner ! Moi, j’avais Deschamps, Boli, Waddle… Des mecs qui avaient faim ! Aujourd’hui, les mecs comptent leurs followers avant de compter leurs titres !
Martel (riant) : C’est pas faux ! Nous, à Lens, on avait Sikora, Warmuz, Smicer… Des mecs qui mouillaient le maillot ! Mais bon, faut reconnaître que Will Still fait un sacré boulot avec nos Sang et Or.
Tapie (curieux) : Will Still, ouais… Un petit jeune, non ? J’ai entendu dire qu’il avait appris le foot sur Football Manager…
Martel (souriant) : Et il prouve qu’il connaît son affaire ! C’est un coach moderne, qui parle aux joueurs comme un grand frère, qui les pousse à tout donner.
Tapie (acquiesçant) : Intéressant… Et nous, on a De Zerbi ! Un artiste du foot, un mec qui veut que son équipe joue au ballon comme un orchestre symphonique. Mais ici, à Marseille, on aime aussi les guerriers. S’il veut réussir, il va devoir trouver le bon équilibre.
(Le stade commence à se remplir, les chants montent, l’atmosphère devient électrique. Tapie et Martel se penchent sur la rambarde, scrutant les joueurs à l’échauffement.)
Tapie (sérieux) : Toi et moi, on sait ce que c’est, jouer l’Europe. Ces soirées où le club dépasse le club, où une ville entière vit au rythme du ballon. Cette année, il faut que nos clubs y retournent, sinon…
Martel (acquiesçant) : Sinon, on se retrouve avec un foot français à la traîne. Regarde, l’Angleterre, l’Italie, l’Espagne… Ils ont compris qu’un grand club doit jouer l’Europe chaque saison.
Tapie (pointant le terrain du doigt) : Ce soir, c’est pas juste un match. C’est une bataille pour la Coupe d’Europe ! Et ça, j’espère que les joueurs l’ont bien compris.
Martel (souriant, regardant Tapie) : On parie ? Moi, je vois un 2-2 bien accroché, avec un Lens qui revient en fin de match.
Tapie (riant, provocateur) : Tu rêves ! Marseille va les plier en deuxième mi-temps, 3-1. Et tu sais pourquoi ? Parce que la gagne, c’est dans notre ADN !
(L’hymne du Vélodrome retentit, le "Jump" raisonne sous les tifos des supporters, les équipes entrent sur le terrain. Tapie et Martel se taisent un instant, savourant le moment. Puis Martel se tourne vers Tapie, un brin nostalgique.)
Martel : Bernard… Si seulement on pouvait redescendre sur le terrain, gueuler un bon coup dans les vestiaires…
Tapie (sourire en coin) : T’inquiète pas, mon vieux… Nos âmes sont là, dans chaque tifo, dans chaque clameur. Nos clubs, c’est notre héritage. Ce soir, qu’ils gagnent ou qu’ils perdent, tant qu’ils jouent avec le cœur, on sera fiers.
(Ils trinquent une dernière fois. Le coup de sifflet retentit. Le match commence. Le destin de l’OM et du RC Lens est en jeu.)
(Le coup de sifflet final retentit. L’OM l’emporte dans un Vélodrome en fusion. Les supporters chantent à pleins poumons, les joueurs exultent, tandis que sur le terrain, les Lensois accusent le coup avec dignité.)
Tapie (triomphant, regardant la pelouse avec un sourire satisfait) : Ah, ça, c’est l’OM que j’aime ! De la grinta, du spectacle, et surtout… la victoire !
Martel (secouant la tête, mi-dépité, mi-amusé) : T’as gagné ton pari, Bernard. Mais tu sais quoi ? Lens n’a pas démérité. Et cette équipe-là, elle reviendra plus forte.
Tapie (tapotant l’épaule de Martel) : Je n’en doute pas, mon vieux. Mais ce soir, c’est Marseille qui chante… et qui file vers l’Europe !
(Dans le brouhaha des célébrations, les deux légendes trinquent une dernière fois, savourant ensemble ce football qu’ils aiment tant. Le Vélodrome continue de vibrer, témoin d’une nouvelle page écrite dans l’histoire de l’OM.)
La compo possible des équipes :
OM : Rulli - Rongier, Balerdi (cap), Kondogbia - Henrique, Höjbjerg, Bennacer, Merlin - Greenwood, Gouiri, Rabiot.
RCL : Ryan - Gradit, Sarr, Bah - Aguilar, El-Aynaoui, Diouf, Machado - Sotoca (cap), Saïd, Zaroury.
Tapie (souriant, regard perçant) : Ah, Gervais… Tu te rends compte ? On est encore là, comme si on ne pouvait pas lâcher ce foutu ballon. L’OM et Lens, ça ne nous quitte jamais…
Martel (amusé, regardant la pelouse) : Bernard, qu’est-ce que tu veux, quand t’as le foot dans le sang, c’est pour la vie. Regarde-moi cette ambiance, regarde ces maillots… Ça me rappelle nos grandes années.
Tapie (ravi) : Ouais, mais tu sais ce qui me chiffonne ? J’ai l’impression qu’on n’est plus dans le même monde… Le foot d’aujourd’hui, c’est plus du business que du sport.
Martel (hoche la tête) : C’est clair. Nous, on signait des joueurs avec le cœur, avec l’instinct. Maintenant, ça parle d’algorithmes, de trading de joueurs, de datas… Où est passée la folie, où est passée la passion ?
Tapie (haussant le ton) : La passion, c’est ça qui fait gagner ! Moi, j’avais Deschamps, Boli, Waddle… Des mecs qui avaient faim ! Aujourd’hui, les mecs comptent leurs followers avant de compter leurs titres !
Martel (riant) : C’est pas faux ! Nous, à Lens, on avait Sikora, Warmuz, Smicer… Des mecs qui mouillaient le maillot ! Mais bon, faut reconnaître que Will Still fait un sacré boulot avec nos Sang et Or.
Tapie (curieux) : Will Still, ouais… Un petit jeune, non ? J’ai entendu dire qu’il avait appris le foot sur Football Manager…
Martel (souriant) : Et il prouve qu’il connaît son affaire ! C’est un coach moderne, qui parle aux joueurs comme un grand frère, qui les pousse à tout donner.
Tapie (acquiesçant) : Intéressant… Et nous, on a De Zerbi ! Un artiste du foot, un mec qui veut que son équipe joue au ballon comme un orchestre symphonique. Mais ici, à Marseille, on aime aussi les guerriers. S’il veut réussir, il va devoir trouver le bon équilibre.
(Le stade commence à se remplir, les chants montent, l’atmosphère devient électrique. Tapie et Martel se penchent sur la rambarde, scrutant les joueurs à l’échauffement.)
Tapie (sérieux) : Toi et moi, on sait ce que c’est, jouer l’Europe. Ces soirées où le club dépasse le club, où une ville entière vit au rythme du ballon. Cette année, il faut que nos clubs y retournent, sinon…
Martel (acquiesçant) : Sinon, on se retrouve avec un foot français à la traîne. Regarde, l’Angleterre, l’Italie, l’Espagne… Ils ont compris qu’un grand club doit jouer l’Europe chaque saison.
Tapie (pointant le terrain du doigt) : Ce soir, c’est pas juste un match. C’est une bataille pour la Coupe d’Europe ! Et ça, j’espère que les joueurs l’ont bien compris.
Martel (souriant, regardant Tapie) : On parie ? Moi, je vois un 2-2 bien accroché, avec un Lens qui revient en fin de match.
Tapie (riant, provocateur) : Tu rêves ! Marseille va les plier en deuxième mi-temps, 3-1. Et tu sais pourquoi ? Parce que la gagne, c’est dans notre ADN !
(L’hymne du Vélodrome retentit, le "Jump" raisonne sous les tifos des supporters, les équipes entrent sur le terrain. Tapie et Martel se taisent un instant, savourant le moment. Puis Martel se tourne vers Tapie, un brin nostalgique.)
Martel : Bernard… Si seulement on pouvait redescendre sur le terrain, gueuler un bon coup dans les vestiaires…
Tapie (sourire en coin) : T’inquiète pas, mon vieux… Nos âmes sont là, dans chaque tifo, dans chaque clameur. Nos clubs, c’est notre héritage. Ce soir, qu’ils gagnent ou qu’ils perdent, tant qu’ils jouent avec le cœur, on sera fiers.
(Ils trinquent une dernière fois. Le coup de sifflet retentit. Le match commence. Le destin de l’OM et du RC Lens est en jeu.)
(Le coup de sifflet final retentit. L’OM l’emporte dans un Vélodrome en fusion. Les supporters chantent à pleins poumons, les joueurs exultent, tandis que sur le terrain, les Lensois accusent le coup avec dignité.)
Tapie (triomphant, regardant la pelouse avec un sourire satisfait) : Ah, ça, c’est l’OM que j’aime ! De la grinta, du spectacle, et surtout… la victoire !
Martel (secouant la tête, mi-dépité, mi-amusé) : T’as gagné ton pari, Bernard. Mais tu sais quoi ? Lens n’a pas démérité. Et cette équipe-là, elle reviendra plus forte.
Tapie (tapotant l’épaule de Martel) : Je n’en doute pas, mon vieux. Mais ce soir, c’est Marseille qui chante… et qui file vers l’Europe !
(Dans le brouhaha des célébrations, les deux légendes trinquent une dernière fois, savourant ensemble ce football qu’ils aiment tant. Le Vélodrome continue de vibrer, témoin d’une nouvelle page écrite dans l’histoire de l’OM.)
La compo possible des équipes :
OM : Rulli - Rongier, Balerdi (cap), Kondogbia - Henrique, Höjbjerg, Bennacer, Merlin - Greenwood, Gouiri, Rabiot.
RCL : Ryan - Gradit, Sarr, Bah - Aguilar, El-Aynaoui, Diouf, Machado - Sotoca (cap), Saïd, Zaroury.
![[Image: OM-Lens-comment-voir-le-match-en-streami...505513.jpg]](https://images.bfmtv.com/wTOOpFgM4bS5FAvRkFdbHEVQxIs=/6x69:1254x771/1600x0/images/OM-Lens-comment-voir-le-match-en-streaming-et-en-direct-ce-samedi-1505513.jpg)
![[Image: opiom-restaurant-club-biarritz.jpeg]](https://opiomclub.com/wp-content/uploads/2023/07/opiom-restaurant-club-biarritz.jpeg)