06-04-2009, 01:40
Salut mes pioupious, 15 jours sans ballon doxygène et biquettes à lapproche de cette fin de saison palpitante, cest très long, une éternité. Surtout quand ce sont 15 jours sans vous. Mes petits arcs en ciel, cest que je vous connais sur les doigts de la main (Sur Edvige aussi mais elle cest une rapporteuse). Vous mavez manqué autant que ce club de fadas, sauf Foutcheubol le pécheur en eau douce. Je suis sur quinversement vous navez pas eu une petite pensée pour votre Mama dorée.
Saperlipopette, jai raison ?
Boudiou ! Après tout, je peux le comprendre. Vous ne me connaissez pas si bien que cela Hormis pour râler sur ce gougnafier de MBami qui le mérite amplement avec sa coupe de poulpe et ses pieds paquets. Cest pourquoi ce soir avant de parler cuir, pour faire plus ample connaissance, je voulais vous ouvrir mon cur, âme sensible sabstenir.
Pour les tacticiens sans amour, sauf pour le sorcier Belge. Les notes sont plus bas(ses), pour la pénitence vous me ferez 3 Lachuer et 5 je vous salue Paris, je vous absout quand même.
La Mamadonna de lombre. Open your heart to me, baby.
Il y a longtemps dans une galaxie lointaine, très lointaine, Mama fut la plus majestueuse des muses. Belle comme le jour, mystérieuse, jeune, svelte et souple, elle inspira moult éléphants de la chanson. Genesis, Charles Aznavour, Queen, en passant par Dalida et les tifosi du Napoli chantant lamour de leur dieu Diego dans lenfer de la curva B.
Passionnée et passionnante, aussi désirable et envoutante que discrète. Capable de transformer de vulgaires patates en fabuleux gratin Dauphinois tout en récitant par cur la bible du football, cétait un Messie au féminin.
La rumeur qui bruissait à lépoque dans les rues de Marseille disait que le grand Karl Heinz Förster ne serait venu chez nous seulement pour faire sa connaissance. Cantona que lamour, pour parler aux canons
Son apogée reste la chanson écrite et interprété pour elle lors de lEurovision par limmense Patrick Fiori (Voui mama à un peu de sang Corse, je vous fais confiance pour ne rien dire dans les gazettes) en 1993. Lannée de Munich en plus. Le septième ciel.
Ce soir, Mama est loin de tout cela. Elle ninspire physiquement plus grand monde, comme son club favori dailleurs*, mais elle amuse par contre, ou plutôt sa muse.
LAbbé Rézina, au taquet depuis lan pèbre, la suit fidèlement dans son chemin de croix phocéenne. Indéniablement, cest un de ses plus grands fans. Le soir seul dans son lit, ce brave homme regarde, effleure et hume religieusement comme un sacré graal la touffe de dessous de bras** collée sur cire que Mama avait négligemment jetée et oubliée dans un cendrier plein de Bastos un soir dOM-Lille.
Il laime damour comme dirait Ugolin.
Mamanon. Avec lui cest râteaux et contre-pied. Elle rêve dautres choses. Fini lidylle Platinique pour Monsieur C de Cassis depuis que Sainte Clara la pris en main. De toute façon même dans ses rêves, il tirait mal les coups francs.
Secrètement elle imagine un amour profond avec lévêque Mia, et pas seulement pour sa Fuego décapotable GTI. Cest toujours la même scène qui lui revient lorsque son esprit se laisse aller.
Lui, coupe Keeper avec nuque longue mais pas trop non plus, Ray Ban sur la tête, 4 pulvérisations de Axe senteur musk, soutane mi ouverte, poil du torse apparent, cinq doigts, six bagues, Stan Smith aux pieds, le regard froid mais langoureux, la classe...
Elle, robe osée juste sous les genoux, bas bleues, pilotis orange, écharpe des yankee sur les épaules recouvrant le bout de ses saints, 75 cl de laques Ellnet, légère moustache apparente, une noix de Shalimar, pas de pacotilles.
Des regards furtifs sont échangés. Un chêne en or qui brille du soleil reflétant sur ses feuilles les sépare. Sur celui ci dans un cur fléché elle grave leurs deux noms. Un ange passe, le sentiment de plénitude était présent, cétait presque le paradis.
Jusqu'à ce que le son des cloches du Père Peinard roi du tintamarre et accessoirement fan de Bonnart ne viennent la réveiller brutalement. « Debout Mama, cest pas le club Med ici, tu es aussi vive que Samassa dans la surface ! »
Heureusement pour lui avant la salade de phalanges, un Frère arriva : « Oh, comment tu parles à ma Sur ?! ». Nom di Diouf, vais le fumer tête à tête derrière les cyprès puis lattacher façon Dexter pour lui faire visionner un OM-Nancy commenté par Ferreri, ça lui fera les pieds. En plus aujourdhui il y a match contre les Saintétiennois, cest ce que lon appelle vraiment une double peine.
Je mégare (Six morts ? Pardon, décontrachté, le manque de sommeil certainement..) en vous racontant ce fantasme mes petits pioupious, mais lévêque et moi, mamamia.
Cétait létat desprit de vôtre Mama avant le match, une Mama qui parle delle à la troisième personne, une mama rêveuse, joueuse Une Mama lasse plutôt quune Mama cass, une Mama regardant la messe du Dimanche soir avachie comme une estrasse sur sa paillasse.
Vous nosez pas me le dire mais je lis dans vos pensées de petits insolents. Je vous saoule avec mes histoires de midinette nostalgique. Mèfi, vous nêtes pas loin de la nonne assistance à personne en danger damour.
Je passe directement à lessentiel pour vous, c'est-à-dire le match de ce soir que jai vu dun il distrait avec lesprit calé dans le rétroviseur dune Fuego qui annonçait un avenir radieux, ou pas.
Le pire dans toute cette histoire, cest que Mama la tête ailleurs recommence à êtres inspirée par ses petits santons comme elles les appellent affectueusement
A vous Cognacq-Jay pour les notes.
Le Film du Match : A nous la victoire avec Mandanda dans le rôle de Stallone.
Le mot de la vieille : Enorme pressing des verts pendant 7 minutes et 49 secondes donnant un gros rythme a ce début de match, avant que laraignée ne tisse sa toile calmement. Match serein dans lensemble avec une grosse maitrise en seconde période grâce à lapport dun Ben Arfa qui canalisa le jeu. Sobre mais influent, avec lui sur coté droit et Mamadou sur le coté gauche, cela devient difficile pour les défenses adverses. Cette fin de saison sent bon comme la garigue mais ne nous enflammons pas. Nous pourrons commencer après avoir atomisé Lyon 5 à 0 chez nous
Le gros mot de la vieille : Robert-Louis
Les notes des santons de Mama :
Mandanda (6.5) : Un match sobre mais pas facile. Aurait pu être battu sur un lob de Gomis si celui-ci sétait appliqué.
Mears (6) : Jai entendu Oc dire quil était paralysé de la passe et des jambes. Loin dêtre un échec, a failli faire le coup du père François sur un centre pour Brandao. Solide défensivement en se jetant seulement quand il le faut, une agréable surprise depuis sa titularisation. Quand jentends parler de Vignal, je laime encore plus.
Zubar (7,5) : Du Zubar sur la touche, du Zubar comme on laime.
Taiwo (7) : Sans contrôle, la puissance nest rien. Mais avec cela deviens difficile pour ses opposants directs comme pour le très bon Mirallas en première mi-temps. Joue comme un vieux briscard en sachant garder ses nerfs. Cest quand quune pétition symbolique pour le garder chez nous lan prochain voit le jour ? Il le mérite. Bien heureux sera son futur club.
Civelli (7) : Hormis une relance manquée en début de seconde mi-temps, a été utile avec ses longs ballons au ras du sol. Important dans le jeu aérien sur les coups de pieds arrêtés, presque auteur dune passe décisive sur le but de Niang de la tête. Le pale toque ne fait plus de vagues avec ses coups de Goudes, cladiateur rugueux apôtre du garra vinci code jusquau bout de la partie. A faire signer de toute urgence un nouveau contrat.
Hilton (6) : Une grosse erreur de placement sur le lob de Gomis après un dégagement de Janot, mais un match sérieux dans lensemble. Souvent bien placé, régulier dans ses relances, y est pour beaucoup dans la solidité défensive depuis la trêve.
Bonnart (2,5) : A tardé avant de recentrer le débat lors de lapéro davant match.
Cheyrou (7,5) : Au four et au moulin, le Rouchey de Lille enchante les Marseillais en 7 couplé à Niang sur le coté gauche. Vrai plaque tournante de cette équipe. Le jour de gloire est arrivé ?
Cana (6.5) : Je ne taime plus mon amour, je ne taime plus tous les jours résonnait en boucle dans ma tête avant ce match. A réussi à reconquérir mon cur par sa hargne.
Valbuena (6.5) : Très tonique, ennuyeux pour une défense, le petit vélo a fait le boulot ce soir, ce nest pas moi qui le dit cest Mamadou.
Ziani (8,5) : Apport indéniable à léquipe depuis son nouveau positionnement.
M'Bami (6) : Par charité chrétienne, nous ne dirons pas un mot. Surtout quil na pas beaucoup joué, ça tombe bien
Niang (7) : Le prophète est de retour. Sur le coté gauche il apporte indéniablement plus que dans laxe. Un pénalty a montrer dans toutes les écoles de football, impossible a prendre pour le gardien même en partant du bon coté. Ne partira pas en vacances avec le petit de Landru.
Koné (5) : Malgré un talent certain, le petit Baky napporte rien sur le coté droit. Capable dun exploit sur un éclair de génie, serait plus utile seul dans laxe pour le jeu en contre. Mais impossible pour lui de faire le travail de pressing offensif de Brandao. Sera quand même décisif pour lobtention possible du titre.
Remplacé à la 45e par [b]Ben Arfa (6.5) :[/b] A su mettre le pied sur le ballon pour construire. Sa présence a rassuré ses coéquipiers, présent au pressing, na pas répondu a quelques provocations, a failli marquer sans un arrêt de goal de Handball de Janot. Rien que pour cela, Bombardier mérite une amnistie pour venir nous dires tout le bien quil pense de lui.
Brandao (6.5) : Légère entorse au règlement, le ravi a réussi un but. Heureusement pour lui car avec ses deux loupés, Mama était prête à aller lui rendre visite à la Commanderie. Un poison pour la défense et le cur des supporters Marseillais. Quil garde les bras au ciel longtemps.
Samassa (?) : Quand on n'a que l'amour, a offrir en prière. Pour les maux de la terre, en simple troubadour@Jah Brêle
Gerets : Il na pas encore signé, cette semaine je prends laffaire en main (Si jose dire). Cela va vite évoluer dans le bon sens prés de chez vous. Il adoptera la position de la sègue lasse. Celui qui na jamais eu le rôle dex pour Mama aura raté sa vie
Larbitre M. Kalt au feu : Heureusement que le match était tard et que les minots ne pouvaient pas le voir. Car avec lui, un coup de pied dans un adversaire à terre devant sa figure ne vaut pas un carton jaune. Après tout ce nest pas méchant comme le dit Dugarry Rien à dire sur le reste hormis plusieurs tirages de maillots sur les corners ignorés en première mi-temps et un carton jaune oublié sur Tavlaridis coupable dun tacle avec cinq francs sur Valbuena.
Le notaire avec une cravate verte : Sobre et droit dans ses pompes, Monsieur de Fursac a gagné le duel de bogossitude des coachs, sa mèche soignée, son teint hâlé, les verts en bavent. Mama aussi En voila un qui na pas raté sa vie, lui !
Ladversaire : Très léger défensivement, capable de marquage élastique comme sur la tête de Niang en première mi temps ou sur le but de Brandao, une équipe qui mériterait un meilleur classement au championnat vu son potentiel offensif, mais pour cela il faut un mental et une cohésion plutôt quun empilage dindividualités. La poudre de Perrin pinpin met du temps à faire son effet, surtout que ce nest pas son recrutement.
Le public : Chaudron débordant de passion magique fanant devant la résistance dhéros nains sur la belouze.
Parcage Marseillais comme toujours au top.
Mention très bien : Cuperly
Bien : Spinosi, le vrai gagnant des candidats du meilleur job du monde. Jvous dis pas le prix du salaire cest indécent
Passable : Dugarry
Médiocre : Mathoux
1 pour la présence : La palette à Doudouce.
Bonus Track : Manimal, le Kung Fu animalier
Conclusion : On ira tous au paradis, même Ma.
* Pas ce soir.
**Selon nos dernières informations provenant dune dépêche AFP de mon quartier, la provenance des poils sur cire de mama nétait pas le dessous de bras, le mystère demeure mais les odeurs restent.
Allez en paix mes enfants, jespère que maintenant vous penserez à moi entre deux matches.
P.S : Pape démission. (Le vrai)
Saperlipopette, jai raison ?
Boudiou ! Après tout, je peux le comprendre. Vous ne me connaissez pas si bien que cela Hormis pour râler sur ce gougnafier de MBami qui le mérite amplement avec sa coupe de poulpe et ses pieds paquets. Cest pourquoi ce soir avant de parler cuir, pour faire plus ample connaissance, je voulais vous ouvrir mon cur, âme sensible sabstenir.
Pour les tacticiens sans amour, sauf pour le sorcier Belge. Les notes sont plus bas(ses), pour la pénitence vous me ferez 3 Lachuer et 5 je vous salue Paris, je vous absout quand même.
La Mamadonna de lombre. Open your heart to me, baby.
Il y a longtemps dans une galaxie lointaine, très lointaine, Mama fut la plus majestueuse des muses. Belle comme le jour, mystérieuse, jeune, svelte et souple, elle inspira moult éléphants de la chanson. Genesis, Charles Aznavour, Queen, en passant par Dalida et les tifosi du Napoli chantant lamour de leur dieu Diego dans lenfer de la curva B.
Passionnée et passionnante, aussi désirable et envoutante que discrète. Capable de transformer de vulgaires patates en fabuleux gratin Dauphinois tout en récitant par cur la bible du football, cétait un Messie au féminin.
La rumeur qui bruissait à lépoque dans les rues de Marseille disait que le grand Karl Heinz Förster ne serait venu chez nous seulement pour faire sa connaissance. Cantona que lamour, pour parler aux canons
Son apogée reste la chanson écrite et interprété pour elle lors de lEurovision par limmense Patrick Fiori (Voui mama à un peu de sang Corse, je vous fais confiance pour ne rien dire dans les gazettes) en 1993. Lannée de Munich en plus. Le septième ciel.
Ce soir, Mama est loin de tout cela. Elle ninspire physiquement plus grand monde, comme son club favori dailleurs*, mais elle amuse par contre, ou plutôt sa muse.
LAbbé Rézina, au taquet depuis lan pèbre, la suit fidèlement dans son chemin de croix phocéenne. Indéniablement, cest un de ses plus grands fans. Le soir seul dans son lit, ce brave homme regarde, effleure et hume religieusement comme un sacré graal la touffe de dessous de bras** collée sur cire que Mama avait négligemment jetée et oubliée dans un cendrier plein de Bastos un soir dOM-Lille.
Il laime damour comme dirait Ugolin.
Mamanon. Avec lui cest râteaux et contre-pied. Elle rêve dautres choses. Fini lidylle Platinique pour Monsieur C de Cassis depuis que Sainte Clara la pris en main. De toute façon même dans ses rêves, il tirait mal les coups francs.
Secrètement elle imagine un amour profond avec lévêque Mia, et pas seulement pour sa Fuego décapotable GTI. Cest toujours la même scène qui lui revient lorsque son esprit se laisse aller.
Lui, coupe Keeper avec nuque longue mais pas trop non plus, Ray Ban sur la tête, 4 pulvérisations de Axe senteur musk, soutane mi ouverte, poil du torse apparent, cinq doigts, six bagues, Stan Smith aux pieds, le regard froid mais langoureux, la classe...
Elle, robe osée juste sous les genoux, bas bleues, pilotis orange, écharpe des yankee sur les épaules recouvrant le bout de ses saints, 75 cl de laques Ellnet, légère moustache apparente, une noix de Shalimar, pas de pacotilles.
Des regards furtifs sont échangés. Un chêne en or qui brille du soleil reflétant sur ses feuilles les sépare. Sur celui ci dans un cur fléché elle grave leurs deux noms. Un ange passe, le sentiment de plénitude était présent, cétait presque le paradis.
Jusqu'à ce que le son des cloches du Père Peinard roi du tintamarre et accessoirement fan de Bonnart ne viennent la réveiller brutalement. « Debout Mama, cest pas le club Med ici, tu es aussi vive que Samassa dans la surface ! »
Heureusement pour lui avant la salade de phalanges, un Frère arriva : « Oh, comment tu parles à ma Sur ?! ». Nom di Diouf, vais le fumer tête à tête derrière les cyprès puis lattacher façon Dexter pour lui faire visionner un OM-Nancy commenté par Ferreri, ça lui fera les pieds. En plus aujourdhui il y a match contre les Saintétiennois, cest ce que lon appelle vraiment une double peine.
Je mégare (Six morts ? Pardon, décontrachté, le manque de sommeil certainement..) en vous racontant ce fantasme mes petits pioupious, mais lévêque et moi, mamamia.
Cétait létat desprit de vôtre Mama avant le match, une Mama qui parle delle à la troisième personne, une mama rêveuse, joueuse Une Mama lasse plutôt quune Mama cass, une Mama regardant la messe du Dimanche soir avachie comme une estrasse sur sa paillasse.
Vous nosez pas me le dire mais je lis dans vos pensées de petits insolents. Je vous saoule avec mes histoires de midinette nostalgique. Mèfi, vous nêtes pas loin de la nonne assistance à personne en danger damour.
Je passe directement à lessentiel pour vous, c'est-à-dire le match de ce soir que jai vu dun il distrait avec lesprit calé dans le rétroviseur dune Fuego qui annonçait un avenir radieux, ou pas.
Le pire dans toute cette histoire, cest que Mama la tête ailleurs recommence à êtres inspirée par ses petits santons comme elles les appellent affectueusement
A vous Cognacq-Jay pour les notes.
Le Film du Match : A nous la victoire avec Mandanda dans le rôle de Stallone.
Le mot de la vieille : Enorme pressing des verts pendant 7 minutes et 49 secondes donnant un gros rythme a ce début de match, avant que laraignée ne tisse sa toile calmement. Match serein dans lensemble avec une grosse maitrise en seconde période grâce à lapport dun Ben Arfa qui canalisa le jeu. Sobre mais influent, avec lui sur coté droit et Mamadou sur le coté gauche, cela devient difficile pour les défenses adverses. Cette fin de saison sent bon comme la garigue mais ne nous enflammons pas. Nous pourrons commencer après avoir atomisé Lyon 5 à 0 chez nous
Le gros mot de la vieille : Robert-Louis
Les notes des santons de Mama :
Mandanda (6.5) : Un match sobre mais pas facile. Aurait pu être battu sur un lob de Gomis si celui-ci sétait appliqué.
Mears (6) : Jai entendu Oc dire quil était paralysé de la passe et des jambes. Loin dêtre un échec, a failli faire le coup du père François sur un centre pour Brandao. Solide défensivement en se jetant seulement quand il le faut, une agréable surprise depuis sa titularisation. Quand jentends parler de Vignal, je laime encore plus.
Zubar (7,5) : Du Zubar sur la touche, du Zubar comme on laime.
Taiwo (7) : Sans contrôle, la puissance nest rien. Mais avec cela deviens difficile pour ses opposants directs comme pour le très bon Mirallas en première mi-temps. Joue comme un vieux briscard en sachant garder ses nerfs. Cest quand quune pétition symbolique pour le garder chez nous lan prochain voit le jour ? Il le mérite. Bien heureux sera son futur club.
Civelli (7) : Hormis une relance manquée en début de seconde mi-temps, a été utile avec ses longs ballons au ras du sol. Important dans le jeu aérien sur les coups de pieds arrêtés, presque auteur dune passe décisive sur le but de Niang de la tête. Le pale toque ne fait plus de vagues avec ses coups de Goudes, cladiateur rugueux apôtre du garra vinci code jusquau bout de la partie. A faire signer de toute urgence un nouveau contrat.
Hilton (6) : Une grosse erreur de placement sur le lob de Gomis après un dégagement de Janot, mais un match sérieux dans lensemble. Souvent bien placé, régulier dans ses relances, y est pour beaucoup dans la solidité défensive depuis la trêve.
Bonnart (2,5) : A tardé avant de recentrer le débat lors de lapéro davant match.
Cheyrou (7,5) : Au four et au moulin, le Rouchey de Lille enchante les Marseillais en 7 couplé à Niang sur le coté gauche. Vrai plaque tournante de cette équipe. Le jour de gloire est arrivé ?
Cana (6.5) : Je ne taime plus mon amour, je ne taime plus tous les jours résonnait en boucle dans ma tête avant ce match. A réussi à reconquérir mon cur par sa hargne.
Valbuena (6.5) : Très tonique, ennuyeux pour une défense, le petit vélo a fait le boulot ce soir, ce nest pas moi qui le dit cest Mamadou.
Ziani (8,5) : Apport indéniable à léquipe depuis son nouveau positionnement.
M'Bami (6) : Par charité chrétienne, nous ne dirons pas un mot. Surtout quil na pas beaucoup joué, ça tombe bien
Niang (7) : Le prophète est de retour. Sur le coté gauche il apporte indéniablement plus que dans laxe. Un pénalty a montrer dans toutes les écoles de football, impossible a prendre pour le gardien même en partant du bon coté. Ne partira pas en vacances avec le petit de Landru.
Koné (5) : Malgré un talent certain, le petit Baky napporte rien sur le coté droit. Capable dun exploit sur un éclair de génie, serait plus utile seul dans laxe pour le jeu en contre. Mais impossible pour lui de faire le travail de pressing offensif de Brandao. Sera quand même décisif pour lobtention possible du titre.
Remplacé à la 45e par [b]Ben Arfa (6.5) :[/b] A su mettre le pied sur le ballon pour construire. Sa présence a rassuré ses coéquipiers, présent au pressing, na pas répondu a quelques provocations, a failli marquer sans un arrêt de goal de Handball de Janot. Rien que pour cela, Bombardier mérite une amnistie pour venir nous dires tout le bien quil pense de lui.
Brandao (6.5) : Légère entorse au règlement, le ravi a réussi un but. Heureusement pour lui car avec ses deux loupés, Mama était prête à aller lui rendre visite à la Commanderie. Un poison pour la défense et le cur des supporters Marseillais. Quil garde les bras au ciel longtemps.
Samassa (?) : Quand on n'a que l'amour, a offrir en prière. Pour les maux de la terre, en simple troubadour@Jah Brêle
Gerets : Il na pas encore signé, cette semaine je prends laffaire en main (Si jose dire). Cela va vite évoluer dans le bon sens prés de chez vous. Il adoptera la position de la sègue lasse. Celui qui na jamais eu le rôle dex pour Mama aura raté sa vie
Larbitre M. Kalt au feu : Heureusement que le match était tard et que les minots ne pouvaient pas le voir. Car avec lui, un coup de pied dans un adversaire à terre devant sa figure ne vaut pas un carton jaune. Après tout ce nest pas méchant comme le dit Dugarry Rien à dire sur le reste hormis plusieurs tirages de maillots sur les corners ignorés en première mi-temps et un carton jaune oublié sur Tavlaridis coupable dun tacle avec cinq francs sur Valbuena.
Le notaire avec une cravate verte : Sobre et droit dans ses pompes, Monsieur de Fursac a gagné le duel de bogossitude des coachs, sa mèche soignée, son teint hâlé, les verts en bavent. Mama aussi En voila un qui na pas raté sa vie, lui !
Ladversaire : Très léger défensivement, capable de marquage élastique comme sur la tête de Niang en première mi temps ou sur le but de Brandao, une équipe qui mériterait un meilleur classement au championnat vu son potentiel offensif, mais pour cela il faut un mental et une cohésion plutôt quun empilage dindividualités. La poudre de Perrin pinpin met du temps à faire son effet, surtout que ce nest pas son recrutement.
Le public : Chaudron débordant de passion magique fanant devant la résistance dhéros nains sur la belouze.
Parcage Marseillais comme toujours au top.
Mention très bien : Cuperly
Bien : Spinosi, le vrai gagnant des candidats du meilleur job du monde. Jvous dis pas le prix du salaire cest indécent
Passable : Dugarry
Médiocre : Mathoux
1 pour la présence : La palette à Doudouce.
Bonus Track : Manimal, le Kung Fu animalier
Conclusion : On ira tous au paradis, même Ma.
* Pas ce soir.
**Selon nos dernières informations provenant dune dépêche AFP de mon quartier, la provenance des poils sur cire de mama nétait pas le dessous de bras, le mystère demeure mais les odeurs restent.
Allez en paix mes enfants, jespère que maintenant vous penserez à moi entre deux matches.
P.S : Pape démission. (Le vrai)