02-02-2008, 18:19
Les 7 jours de José au Pays des OM en Slip
Le puissant Pape Diouf avait décidé de mandater des yeux partout. Et même ailleurs.
José de Nazareth avait-il reçu le message sceptre sur sceptre ?
Segunda-feira
José partit siffler une bière en haut sur la colline du Corcovado.
Le triste rédempteur méditait et se mettait en quête d'un acolyte pour le pôtre Cissé.
Qui sait... peut-être qu'un jour, à Rio de Janeiro, Kapo erra.
Terça-feira
José de Nazareth devait trouver un arrière droit. Car la défense marseillaise, c'est avant tout du flanc.
Flétri par l'indice des prix brésilien qui ne correspondait pas du tout mais alors pas du tout à la réalité économique du dernier jeu de l'entraîneur, José déviait son itinéraire et échouait en Argentine. Mais avec Krupoviesa, José ravivait en son nom la tradition olypienne des arrières gauches.
Quarta-feira
José se promettait de déjouer les plans du mâle intentionné Eric Gerets, qui réclamait des joueurs confirmés. Treize énervé, José voulutt rendre coup pour coup. Pas question de prendre un attaquant belge. Convaincu que le football, c'est un truc marseillo-brésilien, José partit débusquer Wagner Love à São Paulo.
Quinta-feira
José tombait dans le piège. Love joue à Moscou depuis 3 ans... Pareille mésaventure était survenue en juillet dernier à Porto, où José était parti chercher Nani, alors mancunien depuis déjà un an.
A l'aéroport de Guarulhos, José croise Bernard Lacombe et éprouve un sentiment de honte durable.
Sexta-feira
Sur son Tam-Tam, José reçoit un texto de Pape : "Botafogo/Resende, 15h30, Maracaná. Prendre contact avec le père de Grandinho, future star. Mouve-toi l'oignon, Caen est déjà dessus". Il n'est pas encore aguerri, mais dans 3 mois, il aura l'accent. Tuyauté par Pape, José tentait de faire sien ce succès qui lui tendait les bras. Il noya l'indice et cacha ça.
Sábado
Afin de commuter au plus vite entre São Paulo et Rio de Janeiro, José loue une voiture.
Selon Thiago Paredetala, éminent journaliste du journal d'investigation pauliste, le véhicule serait une Corsa grise, immatriculée à Curitiba.
En mois d'un semaine, le cours de l'Euro s'est platement écrasé. Tel un pâle tréponème sur une vulve fânée@Campanão.
L'achat d'une star brésilienne se profile comme une opération de moins en moins rentable sur le plan financier. Et la Corsa est tombée en panne en haut d'une côte. Bravant les vicissitudes d'un périple contrarié, José joint bout-à-bout les indices afin de vaincre les aléas désastreux : tacot, panne, côte... punaise !!!! AKALÉ !!!!
Domingo
La quête du Triste Rédempteur touchait à sa fin. Sans succés, mais sans démériter non plus. A l'approche du Carnaval, les prix allaient encore tripler. Même pour un joueur lamb(a)da.
De toute façon, il n'avait point trouvé tong à son pied. Alors, à l'heure où les géants de papier embarquent sur les grands chars pour défiler, José décidait d'envoyer un ultime SMS à Pape. "Le Carnaval approche et on n'a toujours pas d'arrière-droit... Demain je me lève Hutteau et je file à Libourne ?"
- "Laisse tOMber, José... le mercato, ici on samba les coroñes"
Le puissant Pape Diouf avait décidé de mandater des yeux partout. Et même ailleurs.
José de Nazareth avait-il reçu le message sceptre sur sceptre ?
Segunda-feira
José partit siffler une bière en haut sur la colline du Corcovado.
Le triste rédempteur méditait et se mettait en quête d'un acolyte pour le pôtre Cissé.
Qui sait... peut-être qu'un jour, à Rio de Janeiro, Kapo erra.
Terça-feira
José de Nazareth devait trouver un arrière droit. Car la défense marseillaise, c'est avant tout du flanc.
Flétri par l'indice des prix brésilien qui ne correspondait pas du tout mais alors pas du tout à la réalité économique du dernier jeu de l'entraîneur, José déviait son itinéraire et échouait en Argentine. Mais avec Krupoviesa, José ravivait en son nom la tradition olypienne des arrières gauches.
Quarta-feira
José se promettait de déjouer les plans du mâle intentionné Eric Gerets, qui réclamait des joueurs confirmés. Treize énervé, José voulutt rendre coup pour coup. Pas question de prendre un attaquant belge. Convaincu que le football, c'est un truc marseillo-brésilien, José partit débusquer Wagner Love à São Paulo.
Quinta-feira
José tombait dans le piège. Love joue à Moscou depuis 3 ans... Pareille mésaventure était survenue en juillet dernier à Porto, où José était parti chercher Nani, alors mancunien depuis déjà un an.
A l'aéroport de Guarulhos, José croise Bernard Lacombe et éprouve un sentiment de honte durable.
Sexta-feira
Sur son Tam-Tam, José reçoit un texto de Pape : "Botafogo/Resende, 15h30, Maracaná. Prendre contact avec le père de Grandinho, future star. Mouve-toi l'oignon, Caen est déjà dessus". Il n'est pas encore aguerri, mais dans 3 mois, il aura l'accent. Tuyauté par Pape, José tentait de faire sien ce succès qui lui tendait les bras. Il noya l'indice et cacha ça.
Sábado
Afin de commuter au plus vite entre São Paulo et Rio de Janeiro, José loue une voiture.
Selon Thiago Paredetala, éminent journaliste du journal d'investigation pauliste, le véhicule serait une Corsa grise, immatriculée à Curitiba.
En mois d'un semaine, le cours de l'Euro s'est platement écrasé. Tel un pâle tréponème sur une vulve fânée@Campanão.
L'achat d'une star brésilienne se profile comme une opération de moins en moins rentable sur le plan financier. Et la Corsa est tombée en panne en haut d'une côte. Bravant les vicissitudes d'un périple contrarié, José joint bout-à-bout les indices afin de vaincre les aléas désastreux : tacot, panne, côte... punaise !!!! AKALÉ !!!!
Domingo
La quête du Triste Rédempteur touchait à sa fin. Sans succés, mais sans démériter non plus. A l'approche du Carnaval, les prix allaient encore tripler. Même pour un joueur lamb(a)da.
De toute façon, il n'avait point trouvé tong à son pied. Alors, à l'heure où les géants de papier embarquent sur les grands chars pour défiler, José décidait d'envoyer un ultime SMS à Pape. "Le Carnaval approche et on n'a toujours pas d'arrière-droit... Demain je me lève Hutteau et je file à Libourne ?"
- "Laisse tOMber, José... le mercato, ici on samba les coroñes"
Solide comme un wok !