Le texte est sublime, la photo estra, et le titrte absolumment parfait.
Messieurs les FARC suisses, libérez Campana ! Je l'imagine la larme à l'oeil, triste comme une vache sur un canapé Cuir Center. Allez Campana, courage, quand tu reviendras nous ferons une virée chez Roche-Bobois. :echarpe-o
Médecin malgré lui, il était détenu dans une clinique suisse où il devait opérer à la queue leu leu façon Bézu tout ce qui alentour bougeait encore. Mais à la différence du regretté ténor, son tempo à lui, c'était le rythme cardiaque du patient, son instrument, un bistouri en or massif, sa mélodie, le chant d'une aide-soignante à jamais dévêtue… Libérez Campana ? Certes, mais aviez-vous pensé frère Merlot au syndrome de Stockholm ? :hum: