06-06-2007, 23:12
Quand je pense à Fernande...
A trop forcer sur la boisson,
Bob a pris l'habitude,
De placer sous sa servitude
L'OM tel un vil échanson
On languit qu'il revende,
Qu'on l'pende, qu'on l'pende !
Quand j'pense à Ribéry,
Qu'on l'pende aussi !
Quand je pense aux météores,
Sur l'ambition, le store !
De Baka à Lulu,
Sans gain était l'afflux,
La pendaison papa
Ça n'se commande pas.
A l'époque où il est venu
Pour ranimer la flamme
J'attendais ému jusqu'au larmes
Les dollars du suisse inconnu.
De Gili à Fernande,
Qu'on l'pende, qu'on l'pende !
Quand j'pense à Flamini...
Qu'on l'pende aussi !
Quand je repense au Condor,
Robert veut nous voir morts.
Mais quand je pense à Lulu,
Là je n'en doute plus.
La pendaison papa
Ça n'se commande pas.
C'est l'Bob Denard du ballon rond,
Cette espèce de débile,
A cru débarquer sur une île,
Il s'est gouré de ponton
Dans sa Suisse romande
Il glande, il glande
Et quand il vient ici,
Il glande aussi.
Quand il recrute aux Comores
Ca prouve qu'il phosphore,
Mais de Drogba à Lulu,
Là ça nous troue le cul !
La pendaison papa
Ça n'se commande pas.
Et même que durant son procès,
Comme il est un peu triste,
Il se repent le content suisse
A genoux devant le prétoire.
Quand je pense à Rollande...
Qu'on l'pende, qu'on l'pende !
Quand j'pense à Bernardi...
Qu'on l'pende aussi !
Quand je pense à Moses,
Fiorese ou Gimenez...
Ou quand je pense à Lulu
En terme de plus-value...
La pendaison, papa
Ça n'se commande pas !
Et je vais mettre un point final
A ce chant funéraire,
En suggérant au milliardaire
D'en faire un hymne national.
On languit qu'il revende,
Qu'on l'pende, qu'on l'pende !
Quand j'pense à Ribéry,
Qu'on l'pende aussi !
Quand je pense qu'il déshonore,
Le maillot bleu, ça passe encore,
C'est comme le Port-Salut,
C'était écrit dessus,
La pendaison papa
Ça n'se commande pas.
A trop forcer sur la boisson,
Bob a pris l'habitude,
De placer sous sa servitude
L'OM tel un vil échanson
On languit qu'il revende,
Qu'on l'pende, qu'on l'pende !
Quand j'pense à Ribéry,
Qu'on l'pende aussi !
Quand je pense aux météores,
Sur l'ambition, le store !
De Baka à Lulu,
Sans gain était l'afflux,
La pendaison papa
Ça n'se commande pas.
A l'époque où il est venu
Pour ranimer la flamme
J'attendais ému jusqu'au larmes
Les dollars du suisse inconnu.
De Gili à Fernande,
Qu'on l'pende, qu'on l'pende !
Quand j'pense à Flamini...
Qu'on l'pende aussi !
Quand je repense au Condor,
Robert veut nous voir morts.
Mais quand je pense à Lulu,
Là je n'en doute plus.
La pendaison papa
Ça n'se commande pas.
C'est l'Bob Denard du ballon rond,
Cette espèce de débile,
A cru débarquer sur une île,
Il s'est gouré de ponton
Dans sa Suisse romande
Il glande, il glande
Et quand il vient ici,
Il glande aussi.
Quand il recrute aux Comores
Ca prouve qu'il phosphore,
Mais de Drogba à Lulu,
Là ça nous troue le cul !
La pendaison papa
Ça n'se commande pas.
Et même que durant son procès,
Comme il est un peu triste,
Il se repent le content suisse
A genoux devant le prétoire.
Quand je pense à Rollande...
Qu'on l'pende, qu'on l'pende !
Quand j'pense à Bernardi...
Qu'on l'pende aussi !
Quand je pense à Moses,
Fiorese ou Gimenez...
Ou quand je pense à Lulu
En terme de plus-value...
La pendaison, papa
Ça n'se commande pas !
Et je vais mettre un point final
A ce chant funéraire,
En suggérant au milliardaire
D'en faire un hymne national.
On languit qu'il revende,
Qu'on l'pende, qu'on l'pende !
Quand j'pense à Ribéry,
Qu'on l'pende aussi !
Quand je pense qu'il déshonore,
Le maillot bleu, ça passe encore,
C'est comme le Port-Salut,
C'était écrit dessus,
La pendaison papa
Ça n'se commande pas.
Solide comme un wok !