10-01-2007, 00:04
[SIZE=3]Comptes & Légendes
du Vieux-Port de Mars'
Promotion canapé
Chacun ses préoccupations. Quand les uns cherchent un sofa qui fasse crac-bou-hu, les autres se mettent en quête d'un poste d'entraîneur au kébab-Club, quitte à tribuler aux pays l'or noir et de l'argent pas vraiment blanc. Un sofa, c'est avant tout des femmes lascives sur un matelas garanti 10 ans. L'OM c'est Maîtesse Bernard à ton chevet pendant 13 ans. A choisir... Pendant ce temps, on se demande qui se cash derrière Jack Kachkar. Que les kébabistes soient rassurés. Ils auront du pain. En attendant le jeu.
mardi 2 janvier[/SIZE]
Une escalope à la crèmE
Le repas de midi avalé à l'heure du goûter avait décalé nos appétits. Comme Espigoulinha, je suis saisi par une envie de pizza en ce jour le plus chômé de l'année. Même les restaurateurs chinois sont fermés, alors-même que j'avais pris la bonne résolution de me brider à un cuik'n'toast par mois. Je prends mon Espigoulinha par la main, en quête d'une table solitaire. Seules quelques pizzérias aux patrons antipathiques et dégoutés de vivre sont ouvertes. Et quelques autres établissement aux contours bien trop faussement classieux pour être honnêtes. Une petite lueur rouge et verte dénote dans l'obscurité glaciale de la rue du Docteur Escat. Chaque fois que j'arpente la rue du cinéma, je repense à ce couple de vieillards, que j'avais vu se faire sauvagement assassiner à coup de tournevis dans le dos, alors que j'avais une dizaine d'années. Mais là n'est pas la question? Je lui épargne cette anecdote qui aurait pu lui coûter une fringale trop bien installée, même si tardive. Il est presque 22 heures. Le boui-boui aux allures de cantine, avec ses néons qui font un teint de bidet, est vide, mais ouvert. Un brave italien et sa fille nous accueillent gentiment. La petite ritale fait briller la modeste devanture tout en lorgnant sur moi. Cela en devient même assez gênant. Le pizzaïole est en congés. On se rabat sur la spécialité maison. Deux escalopes à la crème. Divines. Avec de belles frites en prime. Le tout pour 15€, sur fond de variété italienne, entre deux posters de Terrence Hill et Bud Spencer. Ca le fait. On se croirait à New York, la classe américaine en moins. Comme Plata, je réinvente le chabrot en épongeant avec des mouillettes, le fond de sauce gisant au fond de mon écuelle . Je peux enfin mettre ma serviette autour du cou, comme papa. Je crois même que je vais me laisser repousser la moustache, comme papa. Je bedonne, mais je suis irrésistible malgré ma braguette ouverte. Comme papa. C'est décidément le jour pour devenir l'idole des grosses. Et je m'en félicite.
Mercredi 3
Sofa away from homE
Fini de rôder autour des paillassons des braves gens, fini le tourisme immobilier. J'ai trouvé mon chez moi. Et par là-même, mon point fort intérieur. J'avais flashé sur un appartement de type piège à filles, mais ma mère trouvait que ça faisait maison de putes. Alors je l'ai écoutée. Bien m'en a pris, ma copine se serait posé des questions quant à mes desseins d'homme seul. Bref. Quand on est un branlo de la claire fontaine, les questions de la vie se débattent sur un canapé. Pas n'importe lequel. On néglige souvent cet aspect. Pas moi. J'ai bien conscience de la prime importance à accorder aux instruments de confort. La vie à Paris, c'était 20m² pour lutter contre le froid, assis sur un clic-clac trans-générationnel sur lequel se déroulait 90% de ma vie d'homme d'intérieur. Les 10% restant étaient partagés entre la salle de bain et la kitchenette. De ce même canapé-lit, je garderai le souvenir indélébile des amis venus me visiter et que je ne savais faire assoir ailleurs qu'à l'endroit où je dors, avec la grande peur qu'ils pètent là où je pose ma tête pour pioncer.
J'ai choisi un canapé-lit, mais le lit désormais, c'est pour les amis. Il me faut un punaise de sofa. Pas un truc digne des vitrines du Juste Prix. Un truc qui fasse la différence dans un salon, comme le cuik'n'toast fait la différence avec un sandwich au thon pourtant populaire dans le milieu de la maçonnerie. J'en ai ai vu un énorme, difforme et bien kitsch. Mais il n'existe pas en revêtement léopard. Alors je me suis rabattu sur un monstras dont la profondeur permet de mâter Colombo les jambes allongées droit devant. Autant dire que ce spécimen constitue un véritable appel au meurtre sexuel. Et c'est bien cela qui m'intéresse. Ma femme me dira merci. Avec ce sofa, elle appréciera la Ligue des Champions. J'ai l'équivalent de Mickael Pagis en canapé.
Jeudi 4
Salim alé kouM
Première conférence de presse pour notre Pibe du Rhin gauche, Salim Arrache.
L'hirsute Salim aurait promis de couper ses cheveux sous huitaine.
Mais le successeur de Valbuéna aurait refusé de couper ses ongles proéminents.
Motif : sa lime arrache.
[SIZE=1]Vendredi 5
Coup de canapé dans l'eaU
Alors que je poursuis ma quête effrénée d'un canapé du domaine de l'appel à la violence sexuelle, il me vient une idée bidonnante et diablement bien pansée. Ce sofa orange et marron, je ne suis pas certain de le supporter. Il est super pratique, sans doute un bon compromis entre fulgurance et convivialité, mais il manque un peu de "mojo". Pour achever de m'en convaincre, j'enfile ma chemise orange-stadier et un futal marron-pâte-à-fion. Et comme Alain Perrin, je m'évade dans des rêveries salaces, en alignant mentalement le thon sur ton. Au deuxième jour, je me sens volatile tel le mâle faisan. A moi les chevauchées où je deviens la viande préférée des femmes. Mais à forcer le mojo, il se barre aussitôt. Non, canapé ne fera pas l'unanimité chez les femmes des cinq continents. C'est ça qui m'emmerde. Il n'a rien qui choque, le tout passe devant l'oeil autant qu'il le lasse. Et je hais le compromis dans ces affaires-là. Je ne serai jamais un Chamouleaux d'appartement. Que ce soit dit. Finir ses jours avec un canapé marron et orange ?, Qué malheur ! Campana a beau objecter que le cravatte en cuir agrémentera mon art de vivre, moi je dis qu'on m'offrirait la sécurité de l'emploi, que je répondrais par un non ferme et définitif. Dommage, sofa orange. Tu n'auras pas mon rab de bretzels lors des soirs de Champions' League. Tu finiras chez un couple de gynécos qui t'offrira moultes vulves de vieilles en l'attente d'un frotti. [/SIZE]
[SIZE=1]Samedi 6
Golmon et les cris de chaT
Quand j'avais entre 10 et 14 ans, je partais tous les étés en colo avec Cousin Machin. J'avais toujours un tête de Turc. Il fallait sans y voir là les prémices de ma vocation kébabiste malgré mon penchant juvénile pour le pain d'espice. Cette année là, j'avais décidé de rendre fou un type déjà complètement à la masse, proche de l'encephalogramme plat malgré ses 14 ans. Pendant quasiment deux semaines, je ne lui ai adressé la parole qu'en miaulant. Le cri du chat vraiment pas content. Strident et stressant. Je l'ai fait craquer. Je n'ai jamais cherché à savoir comment il s'appelait. C'était Golmon. Il m'a griffé le bras en me traîtant de chat de goutières en me postillonant dessus. Y a des fois où, en regardant en arrière on ne sait pas expliquer pourquoi on a fait ça. Pourquoi les minots sont-ils forcément des cons avant de devenir de grands messieurs...
Dimanche 7
Dubaï commerciaL
Le soleil irisant l'eau du port de Marseille donne une couleur chatoyante aux hydrocarbures gisant à sa surface. Si j'étais Beckham, c'est là que j'achèterais un appartement, planqué dans ce doux tumulte. 5 mois après la fin de l'été, Marseille baigne toujours dans la lumière et défie les changements de saisons. Comme si l'été était maintenu sous cloche en attendant que la neige fonde dans le glaçon naturel que sont les Alpes. Comme tous les dimanches, il n'y a rien d'autre à faire que de se la couler douce et brûnir de la nasole, attablé au café comme les cancres. Moi aussi, j'aimerais aller à Dubai faire du tourisme avec Olembé et Bocaly. Je me ferais un golf persique avec Victoria, sous l'oeil bienveillant de David, mari transi de la spice di kounass qui préfère Hollywood. J'irais miser piécette sur un maigre poney sur les conseils à viser de Sven Goran. Je signerais des Cheiks sans provision tout en régalant la multitude.
Lundi 8
Döner de la guerrE
Dubai, c'est le berceau d'un kébabisme entretenu. Une destination qui ne doit rien au hasard. Quand l'imam Omar Troussier laissait espérer les paëllas madrilènes afin d'en finir avec les régimes-kébab forcés, les petits olympiens persistaient dans le culte du pain rond, celui livré en rémission des pêchés, lors de frugales campagnes intertotales voire ouéfistes. La régence la caution Marseillaise-papale n'aura pas changé la donne. La stabilité, on a déjà döner. Döner c'est döner et rprendre c'est Völler, est-il encore bvesoind e rappeller l'adage ? Mais avec l'entrée en jeu du grillé Suédois et du Kachkar au beurre, c'est tout la tradition de la diète éthique marseillaise qui se voit menacée de disparition. Le Pape et José, furieux après un SGE prenant des notes pendant la déconfiture aux fraises des Olympiens. La recette ancestrale du kébab phocéen en passe d'être volée ?
A part ça, l'Ohème se fait étriller 3 à 1 par la Lazio dès son premier matche de Kébab-League. Les 500 000€ s'éloignent. A nous les 100 000€, pas besoin dep assser par le Juste Prix. C'est toujours ça de gagné pour cet été sur la prime à la signature de Jérôme Lafourcade. En attendant la déroute de Lorient, on fait tourner la roue de l'infortune histoire de marier le pain au jeu. On se charge du pain, faîtes vos jeux.
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du Vieux-Port de Mars'
Promotion canapé
Chacun ses préoccupations. Quand les uns cherchent un sofa qui fasse crac-bou-hu, les autres se mettent en quête d'un poste d'entraîneur au kébab-Club, quitte à tribuler aux pays l'or noir et de l'argent pas vraiment blanc. Un sofa, c'est avant tout des femmes lascives sur un matelas garanti 10 ans. L'OM c'est Maîtesse Bernard à ton chevet pendant 13 ans. A choisir... Pendant ce temps, on se demande qui se cash derrière Jack Kachkar. Que les kébabistes soient rassurés. Ils auront du pain. En attendant le jeu.
mardi 2 janvier[/SIZE]
Une escalope à la crèmE
Le repas de midi avalé à l'heure du goûter avait décalé nos appétits. Comme Espigoulinha, je suis saisi par une envie de pizza en ce jour le plus chômé de l'année. Même les restaurateurs chinois sont fermés, alors-même que j'avais pris la bonne résolution de me brider à un cuik'n'toast par mois. Je prends mon Espigoulinha par la main, en quête d'une table solitaire. Seules quelques pizzérias aux patrons antipathiques et dégoutés de vivre sont ouvertes. Et quelques autres établissement aux contours bien trop faussement classieux pour être honnêtes. Une petite lueur rouge et verte dénote dans l'obscurité glaciale de la rue du Docteur Escat. Chaque fois que j'arpente la rue du cinéma, je repense à ce couple de vieillards, que j'avais vu se faire sauvagement assassiner à coup de tournevis dans le dos, alors que j'avais une dizaine d'années. Mais là n'est pas la question? Je lui épargne cette anecdote qui aurait pu lui coûter une fringale trop bien installée, même si tardive. Il est presque 22 heures. Le boui-boui aux allures de cantine, avec ses néons qui font un teint de bidet, est vide, mais ouvert. Un brave italien et sa fille nous accueillent gentiment. La petite ritale fait briller la modeste devanture tout en lorgnant sur moi. Cela en devient même assez gênant. Le pizzaïole est en congés. On se rabat sur la spécialité maison. Deux escalopes à la crème. Divines. Avec de belles frites en prime. Le tout pour 15€, sur fond de variété italienne, entre deux posters de Terrence Hill et Bud Spencer. Ca le fait. On se croirait à New York, la classe américaine en moins. Comme Plata, je réinvente le chabrot en épongeant avec des mouillettes, le fond de sauce gisant au fond de mon écuelle . Je peux enfin mettre ma serviette autour du cou, comme papa. Je crois même que je vais me laisser repousser la moustache, comme papa. Je bedonne, mais je suis irrésistible malgré ma braguette ouverte. Comme papa. C'est décidément le jour pour devenir l'idole des grosses. Et je m'en félicite.
Mercredi 3
Sofa away from homE
Fini de rôder autour des paillassons des braves gens, fini le tourisme immobilier. J'ai trouvé mon chez moi. Et par là-même, mon point fort intérieur. J'avais flashé sur un appartement de type piège à filles, mais ma mère trouvait que ça faisait maison de putes. Alors je l'ai écoutée. Bien m'en a pris, ma copine se serait posé des questions quant à mes desseins d'homme seul. Bref. Quand on est un branlo de la claire fontaine, les questions de la vie se débattent sur un canapé. Pas n'importe lequel. On néglige souvent cet aspect. Pas moi. J'ai bien conscience de la prime importance à accorder aux instruments de confort. La vie à Paris, c'était 20m² pour lutter contre le froid, assis sur un clic-clac trans-générationnel sur lequel se déroulait 90% de ma vie d'homme d'intérieur. Les 10% restant étaient partagés entre la salle de bain et la kitchenette. De ce même canapé-lit, je garderai le souvenir indélébile des amis venus me visiter et que je ne savais faire assoir ailleurs qu'à l'endroit où je dors, avec la grande peur qu'ils pètent là où je pose ma tête pour pioncer.
J'ai choisi un canapé-lit, mais le lit désormais, c'est pour les amis. Il me faut un punaise de sofa. Pas un truc digne des vitrines du Juste Prix. Un truc qui fasse la différence dans un salon, comme le cuik'n'toast fait la différence avec un sandwich au thon pourtant populaire dans le milieu de la maçonnerie. J'en ai ai vu un énorme, difforme et bien kitsch. Mais il n'existe pas en revêtement léopard. Alors je me suis rabattu sur un monstras dont la profondeur permet de mâter Colombo les jambes allongées droit devant. Autant dire que ce spécimen constitue un véritable appel au meurtre sexuel. Et c'est bien cela qui m'intéresse. Ma femme me dira merci. Avec ce sofa, elle appréciera la Ligue des Champions. J'ai l'équivalent de Mickael Pagis en canapé.
Jeudi 4
Salim alé kouM
Première conférence de presse pour notre Pibe du Rhin gauche, Salim Arrache.
L'hirsute Salim aurait promis de couper ses cheveux sous huitaine.
Mais le successeur de Valbuéna aurait refusé de couper ses ongles proéminents.
Motif : sa lime arrache.
[SIZE=1]Vendredi 5
Coup de canapé dans l'eaU
Alors que je poursuis ma quête effrénée d'un canapé du domaine de l'appel à la violence sexuelle, il me vient une idée bidonnante et diablement bien pansée. Ce sofa orange et marron, je ne suis pas certain de le supporter. Il est super pratique, sans doute un bon compromis entre fulgurance et convivialité, mais il manque un peu de "mojo". Pour achever de m'en convaincre, j'enfile ma chemise orange-stadier et un futal marron-pâte-à-fion. Et comme Alain Perrin, je m'évade dans des rêveries salaces, en alignant mentalement le thon sur ton. Au deuxième jour, je me sens volatile tel le mâle faisan. A moi les chevauchées où je deviens la viande préférée des femmes. Mais à forcer le mojo, il se barre aussitôt. Non, canapé ne fera pas l'unanimité chez les femmes des cinq continents. C'est ça qui m'emmerde. Il n'a rien qui choque, le tout passe devant l'oeil autant qu'il le lasse. Et je hais le compromis dans ces affaires-là. Je ne serai jamais un Chamouleaux d'appartement. Que ce soit dit. Finir ses jours avec un canapé marron et orange ?, Qué malheur ! Campana a beau objecter que le cravatte en cuir agrémentera mon art de vivre, moi je dis qu'on m'offrirait la sécurité de l'emploi, que je répondrais par un non ferme et définitif. Dommage, sofa orange. Tu n'auras pas mon rab de bretzels lors des soirs de Champions' League. Tu finiras chez un couple de gynécos qui t'offrira moultes vulves de vieilles en l'attente d'un frotti. [/SIZE]
[SIZE=1]Samedi 6
Golmon et les cris de chaT
Quand j'avais entre 10 et 14 ans, je partais tous les étés en colo avec Cousin Machin. J'avais toujours un tête de Turc. Il fallait sans y voir là les prémices de ma vocation kébabiste malgré mon penchant juvénile pour le pain d'espice. Cette année là, j'avais décidé de rendre fou un type déjà complètement à la masse, proche de l'encephalogramme plat malgré ses 14 ans. Pendant quasiment deux semaines, je ne lui ai adressé la parole qu'en miaulant. Le cri du chat vraiment pas content. Strident et stressant. Je l'ai fait craquer. Je n'ai jamais cherché à savoir comment il s'appelait. C'était Golmon. Il m'a griffé le bras en me traîtant de chat de goutières en me postillonant dessus. Y a des fois où, en regardant en arrière on ne sait pas expliquer pourquoi on a fait ça. Pourquoi les minots sont-ils forcément des cons avant de devenir de grands messieurs...
Dimanche 7
Dubaï commerciaL
Le soleil irisant l'eau du port de Marseille donne une couleur chatoyante aux hydrocarbures gisant à sa surface. Si j'étais Beckham, c'est là que j'achèterais un appartement, planqué dans ce doux tumulte. 5 mois après la fin de l'été, Marseille baigne toujours dans la lumière et défie les changements de saisons. Comme si l'été était maintenu sous cloche en attendant que la neige fonde dans le glaçon naturel que sont les Alpes. Comme tous les dimanches, il n'y a rien d'autre à faire que de se la couler douce et brûnir de la nasole, attablé au café comme les cancres. Moi aussi, j'aimerais aller à Dubai faire du tourisme avec Olembé et Bocaly. Je me ferais un golf persique avec Victoria, sous l'oeil bienveillant de David, mari transi de la spice di kounass qui préfère Hollywood. J'irais miser piécette sur un maigre poney sur les conseils à viser de Sven Goran. Je signerais des Cheiks sans provision tout en régalant la multitude.
Lundi 8
Döner de la guerrE
Dubai, c'est le berceau d'un kébabisme entretenu. Une destination qui ne doit rien au hasard. Quand l'imam Omar Troussier laissait espérer les paëllas madrilènes afin d'en finir avec les régimes-kébab forcés, les petits olympiens persistaient dans le culte du pain rond, celui livré en rémission des pêchés, lors de frugales campagnes intertotales voire ouéfistes. La régence la caution Marseillaise-papale n'aura pas changé la donne. La stabilité, on a déjà döner. Döner c'est döner et rprendre c'est Völler, est-il encore bvesoind e rappeller l'adage ? Mais avec l'entrée en jeu du grillé Suédois et du Kachkar au beurre, c'est tout la tradition de la diète éthique marseillaise qui se voit menacée de disparition. Le Pape et José, furieux après un SGE prenant des notes pendant la déconfiture aux fraises des Olympiens. La recette ancestrale du kébab phocéen en passe d'être volée ?
A part ça, l'Ohème se fait étriller 3 à 1 par la Lazio dès son premier matche de Kébab-League. Les 500 000€ s'éloignent. A nous les 100 000€, pas besoin dep assser par le Juste Prix. C'est toujours ça de gagné pour cet été sur la prime à la signature de Jérôme Lafourcade. En attendant la déroute de Lorient, on fait tourner la roue de l'infortune histoire de marier le pain au jeu. On se charge du pain, faîtes vos jeux.
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Solide comme un wok !