01-12-2006, 14:32
Les blessés ?
Cantareil est malheureusement toujours blessé, Micka est suspendu.
Où est Ribery ?
Vous n’avez pas été averti. Son papa a été hospitalisé on lui a donné la possibilité de rester au chevet de son père.
Le groupe ?
Demain. On a le temps
Sochaux ça ne sera pas facile ?
C’est vrai que c’est un match qui est notre deuxième sortie. On ne peut pas revenir sans rien après le nul de Troyes. Ca nous éloignerait du haut du tableau.
Cette équipe ne voudra rien lâcher non plus, elle est proche du haut du tableau et ça laisse un suspens très important. On verra si notre travail de la semaine a payé ou va payer.
Tous les joueurs savent depuis lundi qu’on affronte le troisième du classement nous ne somme pas dans l’obligation totale de faire un résultat mais au moins de faire le match qu’il faut, d’avoir l’envergure et la rigueur nécessaire pendant 95 minutes, un enthousiasme énorme.
Il faudra un état d’esprit très fort pour rencontrer cette équipe.
Le passage à vide ?
A un moment donné on a des passages à vide et si on gagne, les passages à vide ça se rattrape rapidement. Mais on est dans l’obligation de faire un résultat.
Match ouvert ou fermé ?
On ne peut pas dire que ça va être un match fermé. C’est une équipe à vocation offensive avec deux joueurs sur les côtés qui sont Leroy et Ziani. S’ils jouent… Ils ont deux attaquants de pointe que ce soit Quercia ou Santos ou Le Tallec, ce sont des joueurs de rupture qui vont vite de l’avant, qui sont des joueurs aériens, adroits dans les 18 mètres. Ils ont des latéraux qui apportent toujours une supériorité numérique au niveau offensif, nous on va être obligés d’être présent au niveau des duels, au niveau tactique et en plus faire du jeu parce qu’on est une équipe qui fait du jeu.
Perrin ?
C’est les joueurs qui sont sur le terrain qui sont important. C’est l’OM qui rencontre Sochaux, pas Alain Perrin qui rencontre Albert Emon.
Tu peux un jour faire une défense à cinq ?
Pourquoi pas. Dans l’absolu, mais il faut avoir des joueurs et des raisons pour jouer comme ça. Peut-être qu’à un moment donné j’aurais eu des raisons de le faire. Maintenant j’en ai un peu moins.
Le milieu ?
Ca peut être un triangle avec deux plus un, deux derrière devant la défense plus un ou un devant la défense et deux au dessus. On ne peut pas dire ça. C’est confidentiel, ça reste pour moi, pour le staff.
On a pas mal travaillé là-dessus cette semaine et on va mettre la meilleure organisation possible. Je peux la changer aussi sur le terrain.
A un moment donné il y a une réflexion sur le jeu, une anticipation qui peut se faire même par les joueurs et comme ils savent jouer dans deux ou trois organisations sans pour autant négliger le jeu et mettre l’équilibre en danger donc ils peuvent anticiper ça.
La finition ?
C’est vrai qu’actuellement on pêche dans le dernier geste. Toifilou n’a pas eu énormément d’occasion à Troyes mais il faut savoir que chaque joueur à vocation offensive n’aura qu’une ou deux occasions de but, il faut qu’il se conditionne pour en mettre une.
C’est la logique des matchs à l’extérieur, on est assez loin des buts adverses et les joueurs qui sont à vocation offensive, n’auront pas cinquante occasions. Ils n’en auront qu’une, deux, voire trois. Ils devront être efficaces.
L’agressivité qu’on a constatée ?
Le changement si un changement devait avoir lieu, c’est surtout dans l’implication individuelle. C’est tout.
Samir dit trop revenir ?
Je n’ai jamais donné une liberté totale aux joueurs. A un moment donné ils le sentent par rapport au marquage, à la situation de la séquence de jeu qui peut se faire. Mais un joueur offensif qui vit à 60 mètres du but adverse ne marquera jamais.
Un mot sur les dérives dans le foot ?
Ca me touche parce que ça touche les gens qui viennent voir tranquillement le matchs avec leurs enfants. Un match de foot c’est un spectacle comme on va voir un dessin animé etc. Je pense que les gamins peuvent être frustrés, malheureux, ou en danger.
Ca c’est dramatique. Le football ne doit pas apporter ces évènements.
Un match de foot c’est la joie ou la tristesse à la fin mais la tristesse ne doit pas empêcher la convivialité quand même. Un match perdu c’est pas une maladie.
Ca doit toucher les gens ils doivent ensuite discuter autour d‘une table avec des amis, mais ça ne doit pas aller plus loin.
Il peut y avoir des surprises dimanche dans ton équipe ?
Non.
Carrasso sera dans les buts ?
Exactement.
Cantareil est malheureusement toujours blessé, Micka est suspendu.
Où est Ribery ?
Vous n’avez pas été averti. Son papa a été hospitalisé on lui a donné la possibilité de rester au chevet de son père.
Le groupe ?
Demain. On a le temps
Sochaux ça ne sera pas facile ?
C’est vrai que c’est un match qui est notre deuxième sortie. On ne peut pas revenir sans rien après le nul de Troyes. Ca nous éloignerait du haut du tableau.
Cette équipe ne voudra rien lâcher non plus, elle est proche du haut du tableau et ça laisse un suspens très important. On verra si notre travail de la semaine a payé ou va payer.
Tous les joueurs savent depuis lundi qu’on affronte le troisième du classement nous ne somme pas dans l’obligation totale de faire un résultat mais au moins de faire le match qu’il faut, d’avoir l’envergure et la rigueur nécessaire pendant 95 minutes, un enthousiasme énorme.
Il faudra un état d’esprit très fort pour rencontrer cette équipe.
Le passage à vide ?
A un moment donné on a des passages à vide et si on gagne, les passages à vide ça se rattrape rapidement. Mais on est dans l’obligation de faire un résultat.
Match ouvert ou fermé ?
On ne peut pas dire que ça va être un match fermé. C’est une équipe à vocation offensive avec deux joueurs sur les côtés qui sont Leroy et Ziani. S’ils jouent… Ils ont deux attaquants de pointe que ce soit Quercia ou Santos ou Le Tallec, ce sont des joueurs de rupture qui vont vite de l’avant, qui sont des joueurs aériens, adroits dans les 18 mètres. Ils ont des latéraux qui apportent toujours une supériorité numérique au niveau offensif, nous on va être obligés d’être présent au niveau des duels, au niveau tactique et en plus faire du jeu parce qu’on est une équipe qui fait du jeu.
Perrin ?
C’est les joueurs qui sont sur le terrain qui sont important. C’est l’OM qui rencontre Sochaux, pas Alain Perrin qui rencontre Albert Emon.
Tu peux un jour faire une défense à cinq ?
Pourquoi pas. Dans l’absolu, mais il faut avoir des joueurs et des raisons pour jouer comme ça. Peut-être qu’à un moment donné j’aurais eu des raisons de le faire. Maintenant j’en ai un peu moins.
Le milieu ?
Ca peut être un triangle avec deux plus un, deux derrière devant la défense plus un ou un devant la défense et deux au dessus. On ne peut pas dire ça. C’est confidentiel, ça reste pour moi, pour le staff.
On a pas mal travaillé là-dessus cette semaine et on va mettre la meilleure organisation possible. Je peux la changer aussi sur le terrain.
A un moment donné il y a une réflexion sur le jeu, une anticipation qui peut se faire même par les joueurs et comme ils savent jouer dans deux ou trois organisations sans pour autant négliger le jeu et mettre l’équilibre en danger donc ils peuvent anticiper ça.
La finition ?
C’est vrai qu’actuellement on pêche dans le dernier geste. Toifilou n’a pas eu énormément d’occasion à Troyes mais il faut savoir que chaque joueur à vocation offensive n’aura qu’une ou deux occasions de but, il faut qu’il se conditionne pour en mettre une.
C’est la logique des matchs à l’extérieur, on est assez loin des buts adverses et les joueurs qui sont à vocation offensive, n’auront pas cinquante occasions. Ils n’en auront qu’une, deux, voire trois. Ils devront être efficaces.
L’agressivité qu’on a constatée ?
Le changement si un changement devait avoir lieu, c’est surtout dans l’implication individuelle. C’est tout.
Samir dit trop revenir ?
Je n’ai jamais donné une liberté totale aux joueurs. A un moment donné ils le sentent par rapport au marquage, à la situation de la séquence de jeu qui peut se faire. Mais un joueur offensif qui vit à 60 mètres du but adverse ne marquera jamais.
Un mot sur les dérives dans le foot ?
Ca me touche parce que ça touche les gens qui viennent voir tranquillement le matchs avec leurs enfants. Un match de foot c’est un spectacle comme on va voir un dessin animé etc. Je pense que les gamins peuvent être frustrés, malheureux, ou en danger.
Ca c’est dramatique. Le football ne doit pas apporter ces évènements.
Un match de foot c’est la joie ou la tristesse à la fin mais la tristesse ne doit pas empêcher la convivialité quand même. Un match perdu c’est pas une maladie.
Ca doit toucher les gens ils doivent ensuite discuter autour d‘une table avec des amis, mais ça ne doit pas aller plus loin.
Il peut y avoir des surprises dimanche dans ton équipe ?
Non.
Carrasso sera dans les buts ?
Exactement.
Le top des taupes !