Après le match d’hier soir, Lyon t’a marqué plus encore ?
Ils ne m’ont pas marqué, mais je pense que même si le match était assez difficile, Juninho le rend plus facile. C’est une équipe où tous les éléments sont complets. Si les attaquants ne marquent pas il y a les milieux qui marquent de 20 mètres comme Tiago l’a fait à Bordeaux, ils ont une panoplie assez intéressante. Une force que peut avoir une grande équipe.
Juninho est très fort ?
Il a débloqué le match d’hier en mettant un ballon de 23 mètres dans la lunette, il l’a mis le ballon où n’importe quel gardien ne pouvait pas l’attraper. C’est un phénomène là-dessus. Ce garçon a une telle confiance en lui que s’il a dix coups de pieds à frapper, s’il en met neuf à côté, le dixième, il a encore cette confiance pour la mettre au fond. Ça fait partie de la race des grands joueurs. Il y aura danger.
Qu’avez-vous travaillé ce matin ?
On a travaillé, récupéré un peu tout ce qui est préparation athlétique au niveau des joueurs, ceux qui ont peu joué, ceux qui ont trop joué. On a travaillé le jeu, parce que le jeu met de la confiance dans les esprits et petit à petit on va rentrer dans le match, pas tellement tactiquement parce qu’on va rester dans notre domaine de jeu, dans notre organisation de jeu, mais petit à petit on va travailler au niveau psychologique. On rencontre une belle équipe, mais le championnat ne s’arrête pas à Lyon, après il restera encore beaucoup de journées.
Vous pourrez rivaliser ?
Est ce que nous on va pouvoir mettre exactement la même chose. On a des joueurs qui individuellement peuvent mettre le danger dans cette équipe de Lyon. A nous de leur mettre le danger, de les perturber, de les mettre en difficulté que ce soit sur la largeur ou la profondeur et répondre présent pendant 95 minutes surtout au niveau des courses des joueurs excentrés, de la lecture de jeu et d’être très vigilants au niveau de la surface de réparation. Je pense qu’on a une équipe pour perturber Lyon.
Tu peux modifier ta formation selon l’équipe alignée par Lyon ?
Non. Moi je vais essayer de mettre des joueurs qui puissent justement perturber cette équipe-là. Lyon essaye d’imposer son jeu dès que les joueurs entrent sur le terrain. Ils se mettent en place petit à petit dans le match et si on les laisse faire, on voit très peu le ballon. Mais nous, on est aussi une équipe qui n’est pas dans l’obligation de faire le jeu, l’intérêt c’est de marquer des buts et surtout un de plus que Lyon.
C’est angoissant de recevoir Lyon ?
Ce n’est pas plus angoissant que d’aller à Paris l’année dernière avec l’équipe des minots. Le championnat ne s’arrête pas après ce match. Même si on gagne et je pense qu’on va gagner, ça sera très difficile après de faire les 28 autres matchs.
Trois points vous permettraient de revenir sur Lyon...
Il ne faut pas rentrer dans ce système de dire si on prend trois points, on se rapproche de Lyon. Non. Il faut faire un très, très bon match de football, le gagner parce qu’on est chez nous, il faut qu’on garde cette invincibilité et si ce match a un grand parfum de match de gala pour nous c’est un match à gagner surtout à partir du moment où on est bien concentrés dans notre jeu. Il ne faut pas le faire avant ou se dire si on le perd ce n’est pas grave. Oui c’est grave parce que contre Lyon dimanche, même si c’est une belle équipe, on se doit au départ de vouloir gagner ce match.
Se payer Lyon serait motivant...
Lyon, ça ne s’achète pas… C’est cher. Mais c’est pas se payer Lyon, c’est réaliser une belle performance contre cette belle équipe qui règne sur le football français depuis 5 ans. Ça serait motivant, mais ça serait aussi une base importante pour l’OM. On dirait, on est compétitifs depuis le début de saison et on le reste même contre les grosses équipes.
Quel match ?
Ça sera surtout un défi de qualité technique au niveau des contrôles, des passes, des dribbles, de tout ce qui est possible quand le joueur individuellement veut imposer son talent. Ça ne sera pas la même approche que le match de Lens où il y a eu un défi physique. Là il y aura un gros, gros, gros défi technique.
Ribéry risque d’être perturbé ?
J’espère qu’il sera motivé devant Lyon.
On compare ce match comme était le choc contre le PSG ?
On a bien travaillé cette semaine, on a la possibilité de travailler. Malheureusement on est éliminés en UEFA. On a la chance de préparer ce match à la maison, à la Commanderie. Tout le monde peut se remettre dans une santé acceptable pour courir énormément dimanche.
Vous auriez souhaité que Lyon se fasse accrocher hier ?
C’est pareil pour nous. Même s’ils se font accrocher, ils peuvent rebondir très vite. Ils ont un groupe de compétiteurs qui peuvent réagir très vite. Ce n’est pas un gros problème.
Ribéry est absent ?
Un petit torticolis… à la cheville. Non je rigole.
Tout le monde est là ?
À part Civelli...
Ils ne m’ont pas marqué, mais je pense que même si le match était assez difficile, Juninho le rend plus facile. C’est une équipe où tous les éléments sont complets. Si les attaquants ne marquent pas il y a les milieux qui marquent de 20 mètres comme Tiago l’a fait à Bordeaux, ils ont une panoplie assez intéressante. Une force que peut avoir une grande équipe.
Juninho est très fort ?
Il a débloqué le match d’hier en mettant un ballon de 23 mètres dans la lunette, il l’a mis le ballon où n’importe quel gardien ne pouvait pas l’attraper. C’est un phénomène là-dessus. Ce garçon a une telle confiance en lui que s’il a dix coups de pieds à frapper, s’il en met neuf à côté, le dixième, il a encore cette confiance pour la mettre au fond. Ça fait partie de la race des grands joueurs. Il y aura danger.
Qu’avez-vous travaillé ce matin ?
On a travaillé, récupéré un peu tout ce qui est préparation athlétique au niveau des joueurs, ceux qui ont peu joué, ceux qui ont trop joué. On a travaillé le jeu, parce que le jeu met de la confiance dans les esprits et petit à petit on va rentrer dans le match, pas tellement tactiquement parce qu’on va rester dans notre domaine de jeu, dans notre organisation de jeu, mais petit à petit on va travailler au niveau psychologique. On rencontre une belle équipe, mais le championnat ne s’arrête pas à Lyon, après il restera encore beaucoup de journées.
Vous pourrez rivaliser ?
Est ce que nous on va pouvoir mettre exactement la même chose. On a des joueurs qui individuellement peuvent mettre le danger dans cette équipe de Lyon. A nous de leur mettre le danger, de les perturber, de les mettre en difficulté que ce soit sur la largeur ou la profondeur et répondre présent pendant 95 minutes surtout au niveau des courses des joueurs excentrés, de la lecture de jeu et d’être très vigilants au niveau de la surface de réparation. Je pense qu’on a une équipe pour perturber Lyon.
Tu peux modifier ta formation selon l’équipe alignée par Lyon ?
Non. Moi je vais essayer de mettre des joueurs qui puissent justement perturber cette équipe-là. Lyon essaye d’imposer son jeu dès que les joueurs entrent sur le terrain. Ils se mettent en place petit à petit dans le match et si on les laisse faire, on voit très peu le ballon. Mais nous, on est aussi une équipe qui n’est pas dans l’obligation de faire le jeu, l’intérêt c’est de marquer des buts et surtout un de plus que Lyon.
C’est angoissant de recevoir Lyon ?
Ce n’est pas plus angoissant que d’aller à Paris l’année dernière avec l’équipe des minots. Le championnat ne s’arrête pas après ce match. Même si on gagne et je pense qu’on va gagner, ça sera très difficile après de faire les 28 autres matchs.
Trois points vous permettraient de revenir sur Lyon...
Il ne faut pas rentrer dans ce système de dire si on prend trois points, on se rapproche de Lyon. Non. Il faut faire un très, très bon match de football, le gagner parce qu’on est chez nous, il faut qu’on garde cette invincibilité et si ce match a un grand parfum de match de gala pour nous c’est un match à gagner surtout à partir du moment où on est bien concentrés dans notre jeu. Il ne faut pas le faire avant ou se dire si on le perd ce n’est pas grave. Oui c’est grave parce que contre Lyon dimanche, même si c’est une belle équipe, on se doit au départ de vouloir gagner ce match.
Se payer Lyon serait motivant...
Lyon, ça ne s’achète pas… C’est cher. Mais c’est pas se payer Lyon, c’est réaliser une belle performance contre cette belle équipe qui règne sur le football français depuis 5 ans. Ça serait motivant, mais ça serait aussi une base importante pour l’OM. On dirait, on est compétitifs depuis le début de saison et on le reste même contre les grosses équipes.
Quel match ?
Ça sera surtout un défi de qualité technique au niveau des contrôles, des passes, des dribbles, de tout ce qui est possible quand le joueur individuellement veut imposer son talent. Ça ne sera pas la même approche que le match de Lens où il y a eu un défi physique. Là il y aura un gros, gros, gros défi technique.
Ribéry risque d’être perturbé ?
J’espère qu’il sera motivé devant Lyon.
On compare ce match comme était le choc contre le PSG ?
On a bien travaillé cette semaine, on a la possibilité de travailler. Malheureusement on est éliminés en UEFA. On a la chance de préparer ce match à la maison, à la Commanderie. Tout le monde peut se remettre dans une santé acceptable pour courir énormément dimanche.
Vous auriez souhaité que Lyon se fasse accrocher hier ?
C’est pareil pour nous. Même s’ils se font accrocher, ils peuvent rebondir très vite. Ils ont un groupe de compétiteurs qui peuvent réagir très vite. Ce n’est pas un gros problème.
Ribéry est absent ?
Un petit torticolis… à la cheville. Non je rigole.
Tout le monde est là ?
À part Civelli...
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